Null Claire de VERGENNES, Comtesse de RÉMUSAT, femme de lettres. Claire Élisabet…
Description

Claire de VERGENNES, Comtesse de RÉMUSAT, femme de lettres. Claire Élisabeth Jeanne Gravier de Vergennes, Comtesse de Rémusat (1780-1821), est une femme de lettres, mémorialiste et épistolière, dame du palais de l’Impératrice Joséphine. Elle est la fille de Charles Gravier de Vergennes, conseiller au parlement de Bourgogne, Maître des requêtes, Intendant d'Auch, puis directeur des Impositions à Paris et d'Adélaïde de Bastard, fille d’un conseiller au parlement de Toulouse. Elle est la petite-nièce de Charles Gravier de Vergennes qui fut un grand ministre de Louis XVI. A la Révolution, Son père, faussement accusé d'émigration, et son grand-père sont guillotinés le 24 juillet 1794. Elle épouse le 9 février 1796 Auguste Laurent Comte de Rémusat, un homme politique - Lettre A.S. Concernant le général Gentil signée « Vergennes Rémusat ». Sans date : « Le Général GENTIL me faire dire aujourd’hui qu’il ne doit pas l’Impôt des portes et fenêtres, Monsieur. Mon mari en partant a mis sur la note qu’il dut le devoir… »

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Claire de VERGENNES, Comtesse de RÉMUSAT, femme de lettres. Claire Élisabeth Jeanne Gravier de Vergennes, Comtesse de Rémusat (1780-1821), est une femme de lettres, mémorialiste et épistolière, dame du palais de l’Impératrice Joséphine. Elle est la fille de Charles Gravier de Vergennes, conseiller au parlement de Bourgogne, Maître des requêtes, Intendant d'Auch, puis directeur des Impositions à Paris et d'Adélaïde de Bastard, fille d’un conseiller au parlement de Toulouse. Elle est la petite-nièce de Charles Gravier de Vergennes qui fut un grand ministre de Louis XVI. A la Révolution, Son père, faussement accusé d'émigration, et son grand-père sont guillotinés le 24 juillet 1794. Elle épouse le 9 février 1796 Auguste Laurent Comte de Rémusat, un homme politique - Lettre A.S. Concernant le général Gentil signée « Vergennes Rémusat ». Sans date : « Le Général GENTIL me faire dire aujourd’hui qu’il ne doit pas l’Impôt des portes et fenêtres, Monsieur. Mon mari en partant a mis sur la note qu’il dut le devoir… »

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