Null École française du XIXè siècle, d’après François Rude (1784-1855)

Le Vieux…
Description

École française du XIXè siècle, d’après François Rude (1784-1855) Le Vieux guerrier gaulois Guerrier d’après le groupe du Départ des Volontaires en 1792 ou La Marseillaise, haut relief ornant l’Arc de Triomphe, Paris. Modèle créé en 1835 Buste en plâtre Signé " F. RUDE " sur l’épaule gauche H. 40 cm Petits éclats Au sein du large corpus d’œuvres réalisées par François Rude, Le départ des volontaires de 1792 ornant l’Arc de Triomphe de l’Etoile tient une place majeure. L’évènement révolutionnaire y est célébré par une représentation aux allures antiques dans laquelle la Marseillaise ou la Victoire, sous les traits d’une allégorie féminine, surplombe un groupe de guerriers, parmi lesquels se trouve notre gaulois. Imprégnée d’une forte émotion et d’une grande vivacité, cette figure centrale de la composition dévoilée en 1836, incarne une force guerrière intemporelle.

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École française du XIXè siècle, d’après François Rude (1784-1855) Le Vieux guerrier gaulois Guerrier d’après le groupe du Départ des Volontaires en 1792 ou La Marseillaise, haut relief ornant l’Arc de Triomphe, Paris. Modèle créé en 1835 Buste en plâtre Signé " F. RUDE " sur l’épaule gauche H. 40 cm Petits éclats Au sein du large corpus d’œuvres réalisées par François Rude, Le départ des volontaires de 1792 ornant l’Arc de Triomphe de l’Etoile tient une place majeure. L’évènement révolutionnaire y est célébré par une représentation aux allures antiques dans laquelle la Marseillaise ou la Victoire, sous les traits d’une allégorie féminine, surplombe un groupe de guerriers, parmi lesquels se trouve notre gaulois. Imprégnée d’une forte émotion et d’une grande vivacité, cette figure centrale de la composition dévoilée en 1836, incarne une force guerrière intemporelle.

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