Null BONAPARTE, Louis, comte de Saint-Leu (1778-1846). P.S. Duplicata contenant …
Description

BONAPARTE, Louis, comte de Saint-Leu (1778-1846). P.S. Duplicata contenant l’état de succession de sa femme, la Reine Hortense de Beauharnais, duchesse de Saint-Leu (1783-1837), fille de Joséphine de Beauharnais et mère du futur empereur Napoléon III. Munich, 16 décembre 1837 et Arenenberg, 21 décembre 1837. 1 p. in-folio oblong. Deux beaux cachets armoriés de cire noire conservés. Quelques minimes effrangures. Très intéressant document (expédition) contenant les détails de la succession d’Hortense de Beauharnais, signé par son mari « Napoléon Louis Bonaparte » et par Berüst (armoiries hibou, clé et ancre marine). Le montant total de l’héritage s’élève à 24 557, 16 florins d’Empire et 8051, 22 francs, provenant de divers produits et rentes, notamment : rente viagère de la Cour de Bavière, rente viagère de la Cour de Russie, produit de la vente de 67 « vieilles promesses » d’actions de la Banque de Bavière, etc. Belles armes de Louis Bonaparte : écartelé : I et IV, de gueules, au lion d’or couronné du même, tenant dans sa patte dextre un faisceau de sept flèches d’argent, pointées et empennées d’or, et dans sa patte sénestre, une épée d’argent, garnie d’or ; II et III, d’azur, à l’aigle d’or, la tête contournée, au vol abaissé, empiétant un foudre du même.

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BONAPARTE, Louis, comte de Saint-Leu (1778-1846). P.S. Duplicata contenant l’état de succession de sa femme, la Reine Hortense de Beauharnais, duchesse de Saint-Leu (1783-1837), fille de Joséphine de Beauharnais et mère du futur empereur Napoléon III. Munich, 16 décembre 1837 et Arenenberg, 21 décembre 1837. 1 p. in-folio oblong. Deux beaux cachets armoriés de cire noire conservés. Quelques minimes effrangures. Très intéressant document (expédition) contenant les détails de la succession d’Hortense de Beauharnais, signé par son mari « Napoléon Louis Bonaparte » et par Berüst (armoiries hibou, clé et ancre marine). Le montant total de l’héritage s’élève à 24 557, 16 florins d’Empire et 8051, 22 francs, provenant de divers produits et rentes, notamment : rente viagère de la Cour de Bavière, rente viagère de la Cour de Russie, produit de la vente de 67 « vieilles promesses » d’actions de la Banque de Bavière, etc. Belles armes de Louis Bonaparte : écartelé : I et IV, de gueules, au lion d’or couronné du même, tenant dans sa patte dextre un faisceau de sept flèches d’argent, pointées et empennées d’or, et dans sa patte sénestre, une épée d’argent, garnie d’or ; II et III, d’azur, à l’aigle d’or, la tête contournée, au vol abaissé, empiétant un foudre du même.

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