Null BALZAC (HONORÉ DE)
Les Chouans
Paris, Émile Testard et Cie, 1889. In-8, bro…
Description

BALZAC (HONORÉ DE) Les Chouans Paris, Émile Testard et Cie, 1889. In-8, broché, non coupé. 103 illustrations de Julien Le Blant gravées sur bois par Léveillé. Tirage de luxe à 110 exemplaires : un des 75 de tête sur Japon, non numéroté, avec la suite des 103 gravures sous chemise in-4 en toile rouge (lacets manquants). Il est enrichi de 2 calques et un lavis de J. Le Blant, non signés, et du prospectus.

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BALZAC (HONORÉ DE) Les Chouans Paris, Émile Testard et Cie, 1889. In-8, broché, non coupé. 103 illustrations de Julien Le Blant gravées sur bois par Léveillé. Tirage de luxe à 110 exemplaires : un des 75 de tête sur Japon, non numéroté, avec la suite des 103 gravures sous chemise in-4 en toile rouge (lacets manquants). Il est enrichi de 2 calques et un lavis de J. Le Blant, non signés, et du prospectus.

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Auguste RODIN (1840-1917) Balzac, étude de tête C, avec découpe de la sculpture poitrine en pointe, circa 1916 Sculpture en bronze patinée brun noir richement nuancé Cachet « A. RODIN » Signé en relief « Auguste Rodin » sous la sculpture Cachet de fondeur : Alexis RUDIER Fondeur Édition ancienne du vivant de l’artiste, vers 1916 (source : Galerie Univers Du Bronze, Paris) H. 27 cm ; L. 15 cm Repose sur un socle en marbre beige veiné en forme de piédouche PROVENANCE : - Galerie Univers Du Bronze, Paris - Collection particulière, Paris NOTE : - Un certificat d’authenticité de la Galerie Univers Du Bronze, Paris, sera remis à l’acquéreur. - La Société des gens de lettres commande à Auguste RODIN une statue du grand écrivain Honoré de BALZAC. - Auguste RODIN fait le choix non conventionnel de mettre en avant la puissance du génie de l’écrivain par une sculpture imposante, loin de l’image que se faisaient les commanditaires de l’écrivain. Auguste RODIN dût affronter la polémique de l’affaire DREYFUS, l’obligeant à dépasser les délais de réception imposés, il fut contraint de rembourser l’avance perçue. Le monument à Honoré de BALZAC, lors de son exposition en 1898, fut très mal accueilli par le public. La Société des gens de lettres la refuse, la désignant comme un « menhir millénaire », un « pingouin » ou encore « un sac à charbon ». Les admirateurs soutiennent l’artiste. Émile ZOLA ou Claude MONET écrivent que « c’est absolument beau et grand , c’est superbe ». Le temps a permis de considérer cette sculpture comme un manifeste de l’art moderne.