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(MUSIQUE) Partition musicale "Grande-Duchesse Charlotte", Marche pour Piano par Fernand MERTENS, Maître de Chapelle de la Cour, Linden Hansen, Imprimeurs, Luxembourg 1933

(MUSIQUE) Partition musicale "Grande-Duchesse Charlotte", Marche pour Piano par Fernand MERTENS, Maître de Chapelle de la Cour, Linden Hansen, Imprimeurs, Luxembourg 1933

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DUTILLEUX (Henri). 2 manuscrits autographes (dont un avec notations musicales), et un volume imprimé avec envoi autographe signé. – Manuscrit autographe intitulé « Analyse de la Sonate pour piano » (9 pp. 2/3 grand in-folio sur papier réglé, avec nombreuses citations musicales). Commentaire intégral et détaillé : « Ier mouv[emen]t : Allegro con moto. Le 1er thème, très simple, tient dans une sixte et utilise le mode dorien (transposé en fa #) [notation musicale] L’harmonisation présente la particularité du la #, frottant avec le la ♮ de la ligne mélodique. 1er thème [notation musicale]. Il tourne volontairement en rond, en particulier dans ses prolongements en valeur de croche [notation musicale]... Son contour mélodique se modifie un peu, en cours de développement, ainsi [notation musicale] et l’alternance de mesures à 3/2 2/2 7/8 4/8 (la valeur de la [croche] restant toujours la même) accuse la liberté du rythme pendant ces premières pages. Le thème se déforme de plus en plus, les éléments secondaires s’étant intégrés à lui, ainsi [notation musicale] et il reprend parfois sa physionomie initiale. Puis un second motif intervient (ce n’est pas encore un 2d thème) assez voisin du thème initial puisqu’on retrouve chez lui des cellules identiques [notation musicale]... » – Manuscrit autographe intitulé « Quelques notes (pour mieux situer à quel stade d’évolution cette sonate se place par rapport à mes travaux antérieurs et postérieurs) » (environ 5 pp. 1/2 sur 6 ff. in-4). Henri Dutilleux resitue sa Sonate pour piano dans son Œuvre mais aussi dans la musique française de son époque, il affirme son goût pour le piano et souligne sa tentation de s’affronter à la difficulté de la forme sonate. Il évoque également Bach, Beethoven, Frank et Dukas, mais aussi Webern et Schönberg avec commentaires sur son propre rapport au dodécaphonisme, etc. – Sonate pour piano. Paris, Durand Cie, octobre 1949. In-folio, (2 dont la seconde blanche)-55-(3 dont les 2 premières blanches) pp., en feuilles sous chemise imprimée. Édition originale. Envoi autographe signé : « À Bernard Gavoty qui assista aux tous premiers pas de cette sonate et sut lui faire prendre le bon départ. En hommage amical... 9. 11. 49 » Organiste et musicologue, Bernard Gavoty (1908-1981) succéda à Reynaldo Hahn comme critique musical au Figaro, sous le pseudonyme de « Clarendon ».