Null SAINT-DOMINGUE. L.A.S. Par J. SUREAU, au Cap français, 21 et 28 avril 1792,…
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SAINT-DOMINGUE. L.A.S. par J. SUREAU, au Cap français, 21 et 28 avril 1792, à J. Lafargue, négociant à Bordeaux ; 2 pages et demie in-4, adresse avec marque postale colonies. Lafargue ayant vendu une de ses barriques de sucres, il préfère qu'il garde les autres « plustot que de les vendre en assignats » et le félicite du prix de vente ; il souhaiterait qu'il les vende toutes au même prix « si j'avais toute confiance dans votre papier monnoie ; je ne puis vous dissimuler mes craintes à cet égard, elles sont établies sur l'état où se trouve la France & sur la continuité de nos malheurs qui s'aggravent de plus en plus ». Le 28 avril, la situation n'a pas évolué : « les révoltés continuent d'être maitres de la plaine et de la montagne ». Qu'il attende pour vendre « à moins que vous ou Mr Poupet de La Rochelle ne trouviés à placer le produit de mes denrées dans un fond de terre.[…] Le nombre des émigrés qui partent de France doivent rendre ce me semble ces sortes d'acquisitions assez faciles »…

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SAINT-DOMINGUE. L.A.S. par J. SUREAU, au Cap français, 21 et 28 avril 1792, à J. Lafargue, négociant à Bordeaux ; 2 pages et demie in-4, adresse avec marque postale colonies. Lafargue ayant vendu une de ses barriques de sucres, il préfère qu'il garde les autres « plustot que de les vendre en assignats » et le félicite du prix de vente ; il souhaiterait qu'il les vende toutes au même prix « si j'avais toute confiance dans votre papier monnoie ; je ne puis vous dissimuler mes craintes à cet égard, elles sont établies sur l'état où se trouve la France & sur la continuité de nos malheurs qui s'aggravent de plus en plus ». Le 28 avril, la situation n'a pas évolué : « les révoltés continuent d'être maitres de la plaine et de la montagne ». Qu'il attende pour vendre « à moins que vous ou Mr Poupet de La Rochelle ne trouviés à placer le produit de mes denrées dans un fond de terre.[…] Le nombre des émigrés qui partent de France doivent rendre ce me semble ces sortes d'acquisitions assez faciles »…

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[ARMÉE DE SAINT-DOMINGUE] – Papiers de Louis Nicolas VERRIER Inspecteur général des Hôpitaux Militaires à ST-DOMINGUE – Ensemble 7 pièces : 1) Copie de l’ordre de service du Commissaire ordonnateur-en-chef Préfet Colonial DAURE pour le Citoyen Louis Nicolas VERRIER de se rendre dans le plus bref délai à BREST à l’effet d’être employé à la suite de l’Expédition de Saint-Domingue en qualité de Directeur de 1ière Classe des Hôpitaux Militaire – PARIS, le 1er Brumaire an 10 (23 Oct. 1801) – 1p in folio manuscrite – Lettre signée, pour copie conforme, PERROUD (Ordonnateur de la Police des armées) cosignée VASSIEUX Ex-agent en Chef des Hôpitaux + 2) Lettre signée Hector DAURE (1774-1846) Préfet Colonial de la partie de l’Ouest de ST-DOMINGUE, Ordonnateur en Chef de l’armée en-tête impr. – Au CAP, le 30 niv.se an 11 – 3pp in folio à l’en-tête de l’Administration Générale de la Guerre – Lettre avec l’Arrêt (en 4 articles) sur le choix et les fonctions du Citoyen VERRIER comme Inspecteur-général des Hôpitaux par le Préfet Colonial DAURE et le Général en Chef ROCHAMBEAU + 3) Grand Mémoire de Services et Campagnes nommant le Citoyen Louis Nicolas VERRIER Inspecteur Général des Hôpitaux Militaires à l’en-tête de la République Française - Pièce Signée DAURE (1774-1846) Préfet Colonial Commissaire Ordonnateur en Chef de l’Armée de Saint-Domingue contresignée avec Apostille. A. S. BOYER (Belfort 1772-1851) Général de Brigade Chef d’État-major général de l’Armée – Délivré au CAP, le 1ier pluviôse an 11 – 1 p Grand in folio (48 x 32cm) + 4) Pièce signée THOUVENOT (Toul 1757-1817) comme Général de Brigade, Chef de l’État-major général de l’Armée de St Domingue. DUPLICATA DE SA NOMINATION comme Inspecteur-général des Hôpitaux du Sieur VERRIER faite par Hector DAURE Préfet Colonial et signée de sa main– Au QG du CAP, le 30 nivôse an 11 – 1p grand in folio manuscrite avec cachet à l’encre de l’État-major de l’Armée + 5) Lettre autographe signée demandant un congé pour les fatigues de guerre et rentrer en France. PARIS an 12 + 6) Joint une Lettre Autographe signée De CRESSAC au Gros-Morne 26 brumaire an 9 un billet signé du receveur MAURES au Gros Morne An 9 – lettre DUTREUIL Capitaine 26ème de ligne – Au CAP An 9.