Null SALON DE MONSIEUR LE CHEVALIER SUCHET MOBILIER DE SALON comprenant la réuni…
Description

SALON DE MONSIEUR LE CHEVALIER SUCHET MOBILIER DE SALON comprenant la réunion d’une suite de quatre fauteuils et d’une suite de quatre chaises à dossier plat en bois redoré mouluré et sculpté, de feuilles de lotus de fleurons et de pastilles, les accotoirs droits à manchette sont supportés par un pilastre de forme balustre, la ceinture légèrement cintrée, les fauteuils reposent sur des pieds antérieurs en pilastre de forme balustre , les chaises sur des pieds fuselés légèrement balustre , à bagues et des pieds postérieurs arqués. Estampillé JACOB D./RUE MESLEE. Un fauteuil présente une ancienne étiquette manuscrite à l’encre « Salon de Monsieur le Chevalier Suchet », et une chaise avec avec F au pochoir noir. Époque Empire (accidents, restaurations et éclats) Fauteuil : H: 99 L :65 P:66 cm Chaise H: 92 L :50 P:50 cm Il a été garni d’une soie jaune à décor d’une large rosace dans une couronne de laurier pour l’assise et d’un vase cerné par deux branches de laurier réunies par un fleuron (quelques tâches et usures) Provenance - Gabriel Catherine SUCHET (1773-1835), il s’agit du Chevalier d’Empire en 1808, administrateur des tabacs de 1811 à 1815, puis Maître de Requêtes au Conseil d’État et député de l’Ardèche en 1815, aide de camp de son frère le Maréchal Suchet, duc d’Albufera. - Vente Paris Drouot, 25 octobre 2017, n° 246. L’estampille JACOB D rue Meslée est utilisée par François-Honoré-Georges JACOB et Georges JACOB de 1803 à 1813

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SALON DE MONSIEUR LE CHEVALIER SUCHET MOBILIER DE SALON comprenant la réunion d’une suite de quatre fauteuils et d’une suite de quatre chaises à dossier plat en bois redoré mouluré et sculpté, de feuilles de lotus de fleurons et de pastilles, les accotoirs droits à manchette sont supportés par un pilastre de forme balustre, la ceinture légèrement cintrée, les fauteuils reposent sur des pieds antérieurs en pilastre de forme balustre , les chaises sur des pieds fuselés légèrement balustre , à bagues et des pieds postérieurs arqués. Estampillé JACOB D./RUE MESLEE. Un fauteuil présente une ancienne étiquette manuscrite à l’encre « Salon de Monsieur le Chevalier Suchet », et une chaise avec avec F au pochoir noir. Époque Empire (accidents, restaurations et éclats) Fauteuil : H: 99 L :65 P:66 cm Chaise H: 92 L :50 P:50 cm Il a été garni d’une soie jaune à décor d’une large rosace dans une couronne de laurier pour l’assise et d’un vase cerné par deux branches de laurier réunies par un fleuron (quelques tâches et usures) Provenance - Gabriel Catherine SUCHET (1773-1835), il s’agit du Chevalier d’Empire en 1808, administrateur des tabacs de 1811 à 1815, puis Maître de Requêtes au Conseil d’État et député de l’Ardèche en 1815, aide de camp de son frère le Maréchal Suchet, duc d’Albufera. - Vente Paris Drouot, 25 octobre 2017, n° 246. L’estampille JACOB D rue Meslée est utilisée par François-Honoré-Georges JACOB et Georges JACOB de 1803 à 1813

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Deux documents anciens, en bon état: Copie d'époque d'une correspondance adressée au Marquis d'Huxelles par Monseigneur de Louvois le 13 mars 1689 : -" Sur ce qu'il a fait à l'égard de Monsieur de Choisy ce que vous désiriez. - Sur ce que Monsieur de Montclar doit marcher sur les postes que les ennemis occupent sur le Rhin; -Sur le départ des trois bataillons du Roy. -Sur le quartier ou est l'hospital sur Mayence -Sur l'estat ou est Oberwezel -Et faire les bresches a Binhen et Baccarat de manière que les ennemis n'ayent point envie de s'y poster -Sur l'execution de l'ordre au sujet des grains. 21 par 32 cm. 4 pages. Avec Copie d'époque d'une correspondance adressée à Monsieur le Chevalier de Saint-André par le roi Louis XV le 20 octobre 1758 où le roi ayant demandé aux archevêques et évêques de son royaume de faire chanter le Te Deum dans les églises de leurs diocèses, demande au Chevalier de Saint-André d'assister à celui qui est chanté dans la principale église de la place où il réside, qu'il tienne la main à ce que les officiers de justice et autres y assistent et pareillement de ceux des autres villes de son commandement, qu'il fasse tirer le canon, faire des feux de joye et donner toutes les marques de réjouissance publique. 21 par 33 cm. avec un sceau en papier. "Ecrit à Versailles, le 20 octobre 1758, signé Louis et plus bas le Maréchal duc de Belleisle et sur le dos à Monsieur le Chevalier de Saint André, lieutenant général, commandant pour mon service en Alsace. Fiche réalisée avec l'aide de Marie-Ange Villeret.