Null RENNES 1725 - 1726
Paire de salières en argent. Rare modèle français rappel…
Description

RENNES 1725 - 1726 Paire de salières en argent. Rare modèle français rappelant celui des salières de Liège dites «diabolo». Elles reposent sur une base hexagonale à pans coupés en rappel sur la bordure supérieure, repoussée d’oves et d’entrelacs sur un fond amati. La partie inférieure sur les doucines est gravée des armoiries de jeune fille de René-Caroline-Victoire de Froulay (1714 - 1803), mariée en 1737 au marquis de Créquy (1686 - 1741). Elle tint salon à Paris durant tout le XVIIIe siècle. Maître orfèvre : Jacques-Eloy PIGEON, reçu en 1725 Poinçons : poinçonnée deux fois du maître orfèvre dans le fond et la base, décharge entre 1722 et 1726. État : deux petits trous aux deux angles supérieurs d’une salière Poids : 219 g - hauteur : 6,5 cm - longueur : 8 cm - largeur : 6,5 cm

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RENNES 1725 - 1726 Paire de salières en argent. Rare modèle français rappelant celui des salières de Liège dites «diabolo». Elles reposent sur une base hexagonale à pans coupés en rappel sur la bordure supérieure, repoussée d’oves et d’entrelacs sur un fond amati. La partie inférieure sur les doucines est gravée des armoiries de jeune fille de René-Caroline-Victoire de Froulay (1714 - 1803), mariée en 1737 au marquis de Créquy (1686 - 1741). Elle tint salon à Paris durant tout le XVIIIe siècle. Maître orfèvre : Jacques-Eloy PIGEON, reçu en 1725 Poinçons : poinçonnée deux fois du maître orfèvre dans le fond et la base, décharge entre 1722 et 1726. État : deux petits trous aux deux angles supérieurs d’une salière Poids : 219 g - hauteur : 6,5 cm - longueur : 8 cm - largeur : 6,5 cm

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