CAPPIELLO LEONETTO Si vous tenez à votre santé, buvez l'eau Vercingétorix du bas…
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CAPPIELLO LEONETTO

Si vous tenez à votre santé, buvez l'eau Vercingétorix du bassin de Vichy. 1923. Affiche lithographique. Imprimerie Publicité Etabts Vercasson Paris. Création Mars 1923. Non entoilée, assez bon état : petites rousseurs, pliures et déchirures dans les marges, une déchirure en partie haute descendant dans l'image (16 cm), papier légèrement marqué, couleurs vives et fraîches. 120 x 80 cm (on ne tient pas compte du bandeau inférieur). Marie-Laure et Pierre Cappiello. Cappiello Catalogue raisonné des Affiches. “Eau de source du bassin de Vichy située à Saint-Priest-Bramefant recommandée pour les maladies de l'estomac et de l'anémie”. Très rare affiche de Leonetto Cappiello que nous ne retrouvons qu'une seule autre fois en vente publique à ma connaissance.

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CAPPIELLO LEONETTO

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PROUST (Marcel). Lettre autographe signée « Marcel Proust » à l’administrateur de la Nrf, Gustave Tronche. [Paris, peu avant le 11 janvier 1921]. S.l.n.d. 4 pp. in-12, papier un peu jauni. « Cher ami, je ne peux pas vous dire comme cela m’aurait fait plaisir. Mais je suis dans une terrible passe de santé, en ce moment. C’est même pour cela que je vous dis si brièvement, "c’est impossible". Si par hasard dans la soirée j’étais en état, je viendrais un peu dans la soirée. Mais c’est si improbable que je vous prie de ne vous déranger en rien, si vous comptez sortir, etc. Il n’y a pas une chance sur mille pour que je vienne, et si je venais (mais je ne viendrai pas) ce serait pour une promenade d’aller chez vous, et même si vous n’étiez pas là, cela ne m’aurait pas dérangé. J’aurais été très heureux de dire à monsieur Romains tout ce que je pense de son admirable talent [Gustave Tronche a dû inviter Marcel Proust à rencontrer Jules Romains]. Je m’arrête par fatigue bien que je n’aie rien dit de ce que je voudrais. Excusez-moi auprès de Gaston [Gallimard] à qui je dois une lettre, mais comme c’est une longue lettre, j’attends un moment de repos pour lui écrire. Je lui envoie en attendant, par vos soins, toute mon affection. Vous ne connaissez pas M. Baur [sic pour Gérard Bauër] de l’Écho de Paris ? Si c’est non, comme il est à peu près certain, ne me répondez pas. VOUS NE ME TENEZ PLUS AU COURANT DES SOUSCRIPTIONS AUX LUXE, et comme vous vendez aussi aux libraires, comment voulez-vous que je m’y reconnaisse [allusion à l’édition de luxe d’À l’Ombre des jeunes filles en fleurs publiée chez Gallimard en 1920]... Très amicalement à vous... »