Null Oushebti portant les instruments aratoires

Fritte très érodée 12.7 cm

Egy…
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Oushebti portant les instruments aratoires Fritte très érodée 12.7 cm Egypte probablement Basse Epoque XXVI-XXXème dynastie

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Oushebti portant les instruments aratoires Fritte très érodée 12.7 cm Egypte probablement Basse Epoque XXVI-XXXème dynastie

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Grande statuette funéraire, oushebti Égypte Nouvel Empire, XVIIIe-XXe Dynastie, 1550-1186 avant J.-C. Bois H. 31 cm Très grande statuette momiforme, seules les mains dépassant du linceul sont visibles, les bras sont croisés sur la poitrine. Deux longs pans de la perruque tripartite retombent sur la poitrine, un large pan sur le dos. Le visage est finement sculpté, marqué par des joues saillantes et des lèvres charnues au sourire mystérieux. La grâce qui se dégage de ce visage rappelle la statuaire du début du Nouvel Empire. Il reste quelques traces de polychromie sur les yeux et la bouche. Les chaouabtis ont été introduits pour la première fois au Moyen Empire comme substituts de la momie au cas où elle serait détruite. Au cours de la Deuxième Période Intermédiaire, des statuettes en bois inscrites appelées chaouabtis (d'après le mot égyptien désignant le bois, chawab) commencent à être placées dans les tombes, puis au Nouvel Empire, les chaouabtis jouent un nouveau rôle, celui de serviteurs du défunt. Ils peuvent être représentés avec les instruments aratoires. À la Troisième Période Intermédiaire, le nombre de chaouabtis placés dans la tombe pouvait atteindre 401 (365 ouvriers et 36 surveillants). Au cours de la Basse Époque, le nom de ces statuettes funéraires change. Elles sont appelées oushebtis (répondants). Elles représentaient des serviteurs qui répondaient comme par magie lorsqu'ils étaient appelés à effectuer des tâches agricoles pour le défunt dans l'au-delà. Leur fonction principale était d'assurer le confort et la liberté de l'individu du travail quotidien dans la vie après la mort. Provenance : - Ancienne collection particulière du Colonel Tweedie, acquis à Exeter (UK) Septembre 1953 - Ancienne collection particulière Ernst Dreyfus, Suisse (décédé en 1978), puis par descendance familiale Littérature comparative : - G. James, Shabtis, A Private View, Paris 2002 - J. & L. Aubert, Statuettes Egyptiennes, Chaouabtis et Oushebtis, Paris 1974