Null Rio 2016.
Estelle Mossely, boxe © Alain Mounic/L'Équipe 19 août 2016.
C'est…
Description

Rio 2016. Estelle Mossely, boxe © Alain Mounic/L'Équipe 19 août 2016. C'est l'anniversaire d'Estelle Mossely. Pour ses 24 ans, elle s'offre une médaille d'or olympique en finale -60kg, la première pour une boxeuse française, et ni la Chinoise Yin Junhua ni Mme Paulo Souza, l'arbitre, ne lui ont fait de cadeau. Du jour où elle a poussé la porte d'un club de boxe de Champigny à ce soir de gloire au Brésil, Estelle Mossely s'est beaucoup battue, pour mener de front études et entraînements notamment. Deux jours plus tard, elle assistera à la victoire de son compagnon Tony Yoka. Encore un beau cadeau. Tirage unique postérieur. Edition 1/1. Impression sur papier Hahnemühle FineArt Baryta Satin 300g. Encadrement d'art Flamant. 40 x 60 cm

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Rio 2016. Estelle Mossely, boxe © Alain Mounic/L'Équipe 19 août 2016. C'est l'anniversaire d'Estelle Mossely. Pour ses 24 ans, elle s'offre une médaille d'or olympique en finale -60kg, la première pour une boxeuse française, et ni la Chinoise Yin Junhua ni Mme Paulo Souza, l'arbitre, ne lui ont fait de cadeau. Du jour où elle a poussé la porte d'un club de boxe de Champigny à ce soir de gloire au Brésil, Estelle Mossely s'est beaucoup battue, pour mener de front études et entraînements notamment. Deux jours plus tard, elle assistera à la victoire de son compagnon Tony Yoka. Encore un beau cadeau. Tirage unique postérieur. Edition 1/1. Impression sur papier Hahnemühle FineArt Baryta Satin 300g. Encadrement d'art Flamant. 40 x 60 cm

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STATUETTE DE HEVAJRA EN ALLIAGE DE CUIVRE DORÉ TIBET CENTRAL, XVE/XVIE SIÈCLE Himalayan Art Resources item no. 1822 23.8 cm (9 3/8 in.) high Footnotes: A GILT COPPER ALLOY FIGURE OF HEVAJRA CENTRAL TIBET, 15TH/16TH CENTURY  Published Meinrad Maria Grewenig & Eberhard Rist (eds), Buddha: 2000 Years of Buddhist Art, 232 Masterpieces, Völklingen, 2016, p. 454, no. 200. Exhibited Buddha: 2000 Years of Buddhist Art, 232 Masterpieces, Völklingen, 24 June 2016 —19 February 2017. Provenance Private European Collection This bold casting of one of Tantric Buddhism's foremost meditational deities (yidams) depicts the 'Mother-Father' (yab-yum) union of Hevajra and Nairatmya, embracing in an interpenetrative cosmic dance. This sixteen-armed form known as Kapaladhara Hevajra, shows Hevajra holding an array of skull cups, with eight containing animals representing the Eight Diseases, and the other eight containing deities representing the corresponding cures. His consort, Nairatmya, is a tantric manifestation of Prajnaparamita, the mother of all Buddhas.  Among the animals representing diseases modeled in the skull cups is a bad-tempered cat (liver disease), asharabha(disease of the spleen), a man (smallpox), a camel (leprosy), a bull (brain hemorrhage), a horse (insanity), and an elephant (lung disease). As Hevajra and Nairatmya represent the chrysalis through which to transcend these diseases, the animals turn inwards towards the divine couple, while the deities turn outwards, bestowing health and good fortune on the viewer. The youthful cosmic couple is beautifully adorned with opulent gilding, detailed jewelry, and red pigment, reinforcing the perfection of their bodies and minds. Their physiognomy, consisting of widened eyes and furrowed brows, together with the slender modeling of limbs standing over ovoid bases are characteristic of gilt bronzes dated to the 15th and 16th centuries, a high point of Tibetan art history. Compare these features to another multi-armed tantric form of Chakrasamvara (Bonhams, Hong Kong, 1 December 2023, lot 1820) and to another of the same subject in Fondation Alain Bordier, at the Tibet Museum in Gruyères (ABS 179).  銅鎏金喜金剛像 藏中 十五/十六世紀 著錄 Meinrad Maria Grewenig 及 Eberhard Rist 編,《Buddha:2000 Years of Buddhist Art,232 Masterpieces》,弗爾克林根,2016年,頁454,編號 200 展覽 「Buddha:2000 Years of Buddhist Art,232 Masterpieces」,弗爾克林根,2016年6月24日至2017年2月19日 來源 歐洲私人珍藏 此尊風格鮮明之造像呈現密宗中最重要的觀想本尊之一,為喜金剛與無我佛母「陰陽雙運」交融於靈性之舞。此十六臂形態之形象被稱為持嘎巴拉喜金剛,呈現喜金剛手臂依次展開,各持骨碗,其中八隻盛裝八獸,象征八疾;另八隻碗中則有八尊神祇,象征對治相應疾苦。其明妃為無我佛母,乃眾佛之母般若波羅蜜多佛母之密宗化現。 骨碗中代表疾病的動物則包括怒貓(肝病)、八足獸(脾病)、男人(天花)、駱駝(麻風)、公牛(腦溢血)、馬(癔癥)以及象(肺病)。喜金剛與無我佛母則象征消除疾病之轉化途徑,因此諸獸朝向雙身佛,而諸神朝外,將健康與好運賜予觀者。 這尊年輕的雙身神祇像飾以華麗鎏金與精緻珠寶,髮上則施赤色顏料,更顯其身心已圓滿具足。其面容突出,蹙眉怒目、肢體纖長,立於橢圓底座之上,屬十五至十六世紀這段西藏藝術史鼎盛時期之銅鎏金造像特徵。可參考另一密宗形象之多臂勝樂金剛像(邦瀚斯,香港,2023年12月1日,拍品1820)以及瑞士格呂耶爾Alain Bordier 基金會之西藏博物館所藏同題材造像(館藏編號 ABS 179)。 This lot is subject to the following lot symbols: * * VAT on imported items at a reduced rate of 5.5% on the hammer price and the prevailing rate on buyer's premium if the item remains in EU. TVA sur les objets importés à un taux réduit de 5.5% sur le prix d'adjudication et un taux en vigueur sur la prime d'achat dans le cas où l'objet reste dans l'Union Européenne. For further information on this lot please visit Bonhams.com

Sergio CAMARGO (1930-1990) Relief, 1964 Bois peint Dédicacé, signé et daté en dessous : pour Chevalier / Très amicalement / Camargo Paris 64. Inscription au feutre en dessous : D. 1995.3.7. 28 x 19 x 13 cm Le certificat d’authenticité de la galerie Raquel Arnaud sera remis à l’acquéreur. PROVENANCE : don de l’artiste à Denys Chevalier (1921-1978) ; succession Denys Chevalier. EXPOSITIONS : La collection Eva et Denys Chevalier, Meudon, musée d’Art et d’Histoire, 1995, n°16 ; dépôt au musée d’Art et d’Histoire de la Ville de Meudon, département du Salon de la Jeune Sculpture. BIBLIOGRAPHIE : La collection Eva et Denys Chevalier, cat. exp., Meudon, musée d’Art et d’Histoire, 1995, n°16, p. 22 (repr.). LITTERATURE EN RAPPORT : Denys Chevalier, « Carmargo », Aujourd’hui : Art et Architecture, Paris, n°46, juillet 1964, p. 71 ; Denys Chevalier, « Camargo’s Art of Lyrical Light », Signals, Londres, n° 5, décembre 1964 - janvier 1965 ; Sculptures récentes de Sergio de Camargo à la Galerie Bellechasse, Paris, cat. exp., Paris, Galerie Bellechasse,1982 ; Ronaldo BRITO, Sergio Camargo, São Paulo : Cosac & Naify Edições, 2000 ; Sergio Camargo : percurso escultórico, cat. exp., Curitiba, Museo Oscar Niemeyer, 2012 ; Mathilde Desvages, Le Salon de la Jeune Sculpture (1949-1978) au temps de Denys Chevalier (1921-1978), thèse de doctorat sous la direction de Paul-Louis Rinuy, université Paris 8 Vincennes – Saint-Denis, soutenue en septembre 2016 ; Mathilde Desvages, Œuvrer pour la sculpture. La collection Denys et Eva Chevalier, Paris, Éditions Mare & Martin, 2024. Né en 1930 à Rio de Janeiro, Sergio de Camargo étudie à l’Académie Altamira à Buenos Aires dans les ateliers d’Emilio Pettoruti et de Lucio Fontana. Un premier voyage à Paris en 1948, puis un séjour en 1952-1953 lui permettent de rencontrer Brancusi, Arp et Laurens, d’assister aux cours du sculpteur Emmanuel Auricoste à la Grande Chaumière, non loin de celui de Zadkine, et de suivre les cours de philosophie de Gaston Bachelard à la Sorbonne, avant de rentrer au Brésil et de voyager aux États-Unis. Il installe son atelier à Paris entre 1961 et 1973. Pendant cette période, il assiste aux cours de sociologie de l’art de Pierre Francastel à la Sorbonne. Profondément marqué par le constructivisme et l’enseignement de Lucio Fontana, Camargo se tourne vers la sculpture abstraite et, en particulier, la taille directe de formes épurées. Après 1973, il retourne définitivement au Brésil et se consacre à son œuvre, proche d’artistes et de critiques d’art. À partir de 1961, il débute une nouvelle série de Reliefs, caractéristiques de son art, réalisés à partir de bois peints en blanc, sur lesquels sont disposés plus ou moins partiellement, en surface, de petits éléments de cylindres peints en blanc qu’il découpe et assemble. Le contraste opérant entre les surfaces brutes du bois et celles organisées et construites au moyen de reliefs cylindriques est accentué par la lumière. Ce dialogue constitue l’un de ses principaux thèmes qu’il ne cessera d’explorer tout au long de sa vie artistique. À Paris, il se rapproche du Groupe de Recherche en Art Visuel – le GRAV, qui compte parmi ses membres François Morellet, Julio Le Parc, et Vera Molnar qui explore les limites entre le champ sculptural et le champ pictural. Il participe à de nombreuses expositions, notamment à la Galerie Denise René et obtient des récompenses successives : en 1964 à la Biennale de Paris, en 1965 à de la Biennale de São Paulo, en 1966 à la Biennale de Venise et en 1968 à la Documenta de Kassel. Notre Relief est dédicacé sous la base « pour Chevalier / Très amicalement / Camargo Paris 64 ». Camargo expose dès 1963 un Relief au Salon de la Jeune Sculpture alors présidé par le critique d’art Denys Chevalier. En 1964, il présente un ensemble de Reliefs pour lesquels il sera récompensé du Grand Prix de Sculpture de la Biennale de Paris. Denys Chevalier publie alors, en juillet 1964, un article dans Aujourd’hui : Art et Architecture : « Dématérialisé, l’art de Camargo n’utilise que des éléments impersonnels. D’où viennent donc, dans ce cas, l’évidence de sa présence et son lyrisme si flagrant ? D’où, sinon de la lumière, qui est, finalement, bien plus que le sable, ou le bois, à la fois son matériau et son outil. […] Une véritable ponctuation anime alors la composition, […]. Dans ses travaux les plus récents Camargo a introduit des plages, comme des zones de silence. Par cette réintervention de l’espace le sculpteur envisage la destruction du plan. » C’est à l’occasion de la parution de cet article que Camargo offre à Denys Chevalier ce Relief daté 64 qui lui est dédicacé, en remerciement pour sa contribution à la revue. L’article est publié en anglais quelques mois plus tard dans la rev

Pour enchérir sur ce lot, le dépôt d’une caution de 10000 euros (dix mille euros) est obligatoire. Merci de prendre contact avec l’étude au 0235225452. Aucune enchère en live ne sera prise en compte pour ce lot. Rembrandt BUGATTI (1884-1916) Deux grands léopards Epreuve en bronze à la cire perdue (n°2) à patine nuancée brun rouge et noir de l’édition originale A.A. Hébrard (C.1904-1934). Signée RBUGATTI, cachet de fondeur CIRE PERDUE A.A. Hébrard et le numéro de tirage (2) sur la terrasse. H. 32, L. 108, P. 15 cm Poids : 17.3 kg Modèle créé vers 1913, répertorié dans les archives du Conservatoire Rembrandt Bugatti sous le n° 307 P. 367. Notre exemplaire est accompagné d’un certificat de Madame Fromanger en date du 19 mars 2024. Provenance : Collection Marcel Carlier, puis conservé dans la famille par descendance. Exemplaires comparatifs en ventes publiques : Christies, 2016, exemplaire n° 5, Collection Alain Delon Sothebys, 2021, pour l’exemplaire n°8 Bibliographie comparative sur le sujet : FROMANGER Véronique, Rembrandt Bugatti. Répertoire monographique. Une trajectoire foudroyante, éditions de l’amateur/éditions des Arènes, Paris 2016, no. 307, p. 367. DEJEAN P, Carlo-Rembrandt-Ettore-Jean Bugatti, Éditions du Regard, Paris, 1981, p. 347 DES CORDES Jacques-Chalom. et FROMANGER DES CORDES Véronique, Rembrandt Bugatti, catalogue raisonne, Les Éditions de l’amateur, Paris, 1987, p. 272-273 HORSWELL E., Rembrandt Bugatti, Life in Sculpture, Éditions Sladmore Gallery, Londres, 2004, p. 26-27