Null MULCO (PLONGEUR SUPER COMPRESSOR GT - ESCAFANDRA DIVER’S RÉF. 250-202), VER…
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MULCO (PLONGEUR SUPER COMPRESSOR GT - ESCAFANDRA DIVER’S RÉF. 250-202), VERS 1972 Exceptionnelle état pour cette montre de plongeur Waterproof / Antimagnetic à très grande ouverture des collections Super Compressor (produite par l'atelier des mythique Polaris de la manufacture JaegerLeCoultre), certaines de ces pièces furent en dotation dans l’Armée Américaine. Boîtier en acier à anses bec, lunette lisse, couronnes quadrillées et fond vissé (décoré de l’espadon, signé Mulco et numéroté 7-72). Cadran noir mat avec lunette intérieure graduée sur 60 (actionnée par la couronne à 2h), mise à l’heure par la couronne à 4h et guichet de date à 3h. Index et chiffres arabes appliqués, version aiguille des minutes flèche squelette luminescents. Bracelet Tropic d'époque en caoutchouc. Mouvement : Calibre mécanique à remontage automatique / base Eta 2472 Swiss. Diam. 42 mm. État : Très bon état (Ecrin plumier d'époque).

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MULCO (PLONGEUR SUPER COMPRESSOR GT - ESCAFANDRA DIVER’S RÉF. 250-202), VERS 1972 Exceptionnelle état pour cette montre de plongeur Waterproof / Antimagnetic à très grande ouverture des collections Super Compressor (produite par l'atelier des mythique Polaris de la manufacture JaegerLeCoultre), certaines de ces pièces furent en dotation dans l’Armée Américaine. Boîtier en acier à anses bec, lunette lisse, couronnes quadrillées et fond vissé (décoré de l’espadon, signé Mulco et numéroté 7-72). Cadran noir mat avec lunette intérieure graduée sur 60 (actionnée par la couronne à 2h), mise à l’heure par la couronne à 4h et guichet de date à 3h. Index et chiffres arabes appliqués, version aiguille des minutes flèche squelette luminescents. Bracelet Tropic d'époque en caoutchouc. Mouvement : Calibre mécanique à remontage automatique / base Eta 2472 Swiss. Diam. 42 mm. État : Très bon état (Ecrin plumier d'époque).

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Rolex, Sea-Dweller COMEX n° 3153, Réf. 16660, dite "Triple Six", n° 896xxxx, absolument full-set, garantie d'origine punchée code pays 119 et historique complet du plongeur. Une très belle et rarissime montre de plongée en acier, modèle de transition, lunette tournante graduée, valve de décompression, cadran noir "stardust" marqué COMEX, aiguilles et index lumineux, date à 3h. Couronne et fond vissés gravé COMEX avec le numéro du plongeur 3153, mouvement mécanique à remontage automatique calibre 3035. Bracelet acier Oyster 93160A à boucle déployante. Livrée absolument complète, contre boîte, écrin, porte documents, rallonge, ancre, lunette d'origine, outil, tables de plongées et garantie d'origine punchée code pays 119. Nous joignons à la montre de très nombreux documents permettant de retracer la carrière du plongeur, Jacques G. La montre est en très bel état de conservation après une pareille carrière, avec un très beau cadran patiné homogènement "stardust" et des micro rayures d'usage sur l'ensemble, sans choc profond. Selon nos informations, environ 150 Sea-Dweller Comex référence 16660 index cerclés auraient été produites. Si une Rolex 16660 COMEX est rare, il est absolument exceptionnel de la trouver accompagnée de ses documents d’origine concernant à la fois la montre mais aussi le plongeur. La montre est en excellent état, avec un cadran superbement patiné par les nombreuses contraintes imposées par Jacques G, tant sous l’eau qu’au soleil des nombreux pays visités dans le cadre de ses activités. Une occasion rare d’acquérir un icone de la marque à la couronne, à l’historique limpide et magnifiquement renseigné. La Sea-Dweller 16660 est une référence de transition affectueusement surnommée « Triple Six » par les collectionneurs. Produite une dizaine d’années à partir de 1978 et simultanément à la Sea-Dweller 1665 pendant presque 5 ans, la « triple 6 » fait transition entre sa devancière et la 16660, apportant entre autres évolutions un nouveau calibre avec date rapide et une plus grande résistance à l’eau avec l’utilisation du verre saphir. Jacques G a été moniteur de plongée à l'EPAT, l'école des plongeurs parachutistes de l'armée de terre. La mission de ce corps d'armée est d'assister le franchissement de fleuves des chars AMX30 et AMX10 et en cas de besoin de secourir les équipages de chars d'assauts en péril lors de ces périlleuses traversées. Contacté par le SNETI (Syndicat National des Travaux Immergés) alors qu'il était encore à l'EPAT, Jacques G intègre d'abord la SOGETRAM (Société Générale de Travaux Maritimes), détentrice en novembre 1963 du record du monde de la première plongée à -100m de profondeur. La SOGETRAM est alors l'entreprise la plus importante de France en nombre de scaphandriers. Elle effectue des travaux maritimes et fluviaux partout dans l'hexagone et les DOM TOM et ce dans tous les domaines de travaux subaquatiques (port, digues, raffineries, ouvrages d'art, barrages, écluses, quais, ponts, piscines de centrales nucléaires, ouvrage maritimes, navires…). A son intégration à la SOGETRAM, cette dernière est reprise par la C.G.DORIS (Compagnie Générale pour le Développement Opérationnelle des Richesses Sous-marines) qui lui ouvre les portes sur l'Off-Shore international. La C.G DORIS est une entreprise travaillant dans la conception de plateforme pétrolière. Elle possède également plusieurs unités flottantes opérationnelles tel que Supply (bâtiment de ravitaillement) et surtout des barges de travail ce qui augmente ainsi son effectif de 90 scaphandriers dont de nombreux plongeurs que Jacques G a formé à l'école de Plongée de l'Armée de Terre. Les missions sont alors étendues mondialement dans les domaines maritimes fluviaux (plateformes pétrolières, pétroliers, pipelines, ports, barrages, super tanker) avec une activité intense en Afrique du Nord (Mauritanie, Égypte), Afrique noire (Gabon, Cameroun, Angola, Côte d'Ivoire, Ghana…) mais aussi en Polynésie Française avec l’assistance sous-marine aux essais nucléaires pour le CEA (Commissariat à l'énergie atomique) dans le GISM (Groupe d'Intervention sous la Mer). A ce titre, Jacques G effectuera plusieurs missions sur les atolls de Mururoa et Fangataufa. Plus tard COMEX SERVICES reprendra l'ensemble des effectifs des scaphandriers dont Jacques G en créant la STOLT COMEX SEAWAY tout en maintenant l'ensemble des activités. Liste non exhaustive des documents concernant Jacques G joints à la montre : Pin's Comex des différentes missions en plongées profondes Tables de plongée Fenzi COMEX 2 Carnets de plongées : 1994, 1995, 1996, 1997, 1998 Photos en mission Livret professionnel de scaphandrier délivré par la SNETI : 1983, 1984, 1985, 2 cartes individuelles de sécurité de scaphandrier plongeur : 1983, 1984, 1985, 1989 Certificat d'aptitude à l'hyperbarie : 1993 Relevé i

Jaeger-Lecoultre, Polaris, vers 1968. Une grande et mythique montre de plongée en acier à 3 couronnes, boîtier compressor, lunette tournante intérieure graduée, cadran noir, aiguilles et index lumineux patinés, guichet dateur à 3h, trotteuse centrale et fonction réveil. Mouvement mécanique à remontage automatique calibre 825. La montre est en excellent général tant esthétique que mécanique, avec ses couronnes d'origine. Montre de plongée mythique, la Polaris est équipée du premier calibre de l’histoire de l’horlogerie qui offrait à la fois le remontage automatique et le réveil, fonction essentielle pour rappeler au plongeur le moment de la remontée vers la surface, et ce grâce à un ingénieux boîtier à triple fond optimisant la diffusion du son en milieu acquatique. La production totale, entre 1965 et 1970, est estimée à moins de 2.000 exemplaires toutes variantes comprises. Diam 42 mm A large and legendary stainless steel 3 crowns alarm diver's wristwatch, compressor case, inner graduated revolving bezel. Black dial, "luminous" hands & indexes, date aperture at 3, sweep center seconds & alarm function. Automatic winding movement caliber 825. The present timepiece is preserved in good overall condition, running, still with its original crowns. Mythical diving watch, the Polaris is equipped with the first caliber in the history of watchmaking which offered both automatic winding and alarm clock, an essential function to remind the diver of the moment of ascent to the surface, thanks to to an ingenious triple case-back optimizing sound diffusion in an aquatic environment. Total production, between 1965 and 1970, is estimated at less than 2,000 examples, all variants included.