Null 1930. Engagez-vous Rengagez-vous dans les Troupes Coloniales. Vers 1930. Af…
Description

1930. Engagez-vous Rengagez-vous dans les Troupes Coloniales. Vers 1930. Affiche originale éditée par le Ministère de la Guerre. Scène Cambodgienne illustrée par Léon Fauret (1863-1955). Dimensions : 121x77 cm. Années 1930. On joint: - 1923 Gala de Bienfaisance Ministre des Colonies et du Maréchal Joffre. 1923. Affiche entoilée. Gala de Bienfaisance Ministre des Colonies et du Maréchal Joffre. 1923. Bléjean Paris. Dimensions : 69x53 cm. Très bon état. - 1945. Adhérez à l'Association Nationale pour l'Indochine Française. Cotisation 10 F. Affiche de propagande éditée après le Coup de Force japonais de 1945. Dimensions : 55x42 cm. (Déchirures)

41 

1930. Engagez-vous Rengagez-vous dans les Troupes Coloniales. Vers 1930. Affiche originale éditée par le Ministère de la Guerre. Scène Cambodgienne illustrée par Léon Fauret (1863-1955). Dimensions : 121x77 cm. Années 1930. On joint: - 1923 Gala de Bienfaisance Ministre des Colonies et du Maréchal Joffre. 1923. Affiche entoilée. Gala de Bienfaisance Ministre des Colonies et du Maréchal Joffre. 1923. Bléjean Paris. Dimensions : 69x53 cm. Très bon état. - 1945. Adhérez à l'Association Nationale pour l'Indochine Française. Cotisation 10 F. Affiche de propagande éditée après le Coup de Force japonais de 1945. Dimensions : 55x42 cm. (Déchirures)

Les enchères sont terminées pour ce lot. Voir les résultats

Vous aimerez peut-être

Émile ZOLA. 4 L.A.S., Médan 14-24 novembre 1882, à un agent littéraire; 6pages in-8. Au sujet de la traduction en suédois d’Au Bonheur des Dames. 14 novembre. Il veut bien céder pour 550F «le droit de traduction en langue suédoise de mon roman: Au Bonheur des Dames. Je vous remettrai le premier tiers du manuscrit ces jours-ci, contre les 550f. Je vous donnerai ensuite le second tiers le 20 décembre et le troisième tiers le 31 janvier. Seulement vous vous engagez à ne pas commencer la publication dans les journaux de Suède avant le 16 décembre, le lendemain du premier feuilleton du Gil Blas. Vous ne dépasserez jamais ce journal et vous finirez en même temps que lui. Enfin, vous ne mettrez pas le volume en vente là-bas, avant que le texte original ait paru ici chez Charpentier»… 16 novembre. «Il me suffit que l’éditeur suédois suive au jour le jour la publication dans le Gil Blas, sans jamais la dépasser, et qu’il ne publie le roman en volume que lorsque le Gil Blas l’aura terminé»… 22 novembre. Il envoie «les cinq premiers chapitres d’Au Bonheur des Dames. L’œuvre doit en avoir quatorze […] Je vous adresserai la suite, suivant nos conventions». Il donne «l’autorisation de traduire Au Bonheur des Dames en langue suédoise, et de le publier en Suède et en Norwège»… 24 novembre. «Vous deviez tâcher de trouver un acquéreur pour la vente de la traduction en langue danoise. Je sais que mon confrère et ami Alphonse Daudet a vendu la traduction de son prochain roman cinq cents francs à un éditeur Danois. Je traiterai aussi à cinq cents francs»…

VIVIEN Renée (Pauline Tarn, dite) [Londres, 1877 - Paris, 1909], femme de lettres anglaise d'expression française. Ensemble de trois lettres signées portant sur le thème des fiançailles mystiques liant Renée Vivien à Kérimé. — [1905] ; 5 pages in-8°. « J'ai reçu le cher anneau avec une immense joie, ma bien-aimée. Et le doux symbole de ces coeurs unis m'a rendue heureuse infiniment. […] Chacune de vos paroles est précieuse et rare. Elles chantent dans mon coeur, elles chantent dans mon âme. Elles sont une musique de songe Je me sens chaque jour plus fervemment éprise. Vous êtes en moi, vous être autour de moi, vous êtes devenue ma pensée même. O ma très chère, comment se peut-il que mes portraits vous plaisent, à vous qui êtes si belle ? Vous seule êtes désirable, vous seule être lumineuse et pleine de grâce. Il ne se passe point de jour où je n'ai point contemplé, adoré dans une muette extase, votre image mille fois chère et attirante entre toutes ? Vous êtes si belle, si belle, que j'en ai l'âme émue et ravie. Et je vous évoque avec une passion presque farouche. […] Prenez mon coeur, prenez mon âme, prenez ce qu'il y a de meilleur en moi. Je ne trouve que ces pauvres notes passionnées. Je vous aime. Je vous aime. Je vous aime. » — [1904] ; 12 pages in-8°. « Votre lettre m'a été cruelle infiniment. Déjà, vous doutez de moi — déjà vous me faites inutilement souffrir ! Je suis allée vers vous éperdument, — comme on va vers la douleur exquise, comme on va vers le périlleux amour. Vous m'attristez irrésistiblement, fatalement — et jamais vous ne cesserez de m'attirer vers vous... Dites-moi, ma cruelle douce princesse de songe, laquelle d'entre nous n'a point un vivant passé ? Laquelle d'entre-nous a une vie sans complication, une vie nette, claire et simple comme un tableau sans ombre et sans nuances ? […] Croyez-moi, ma très chère, lorsque je vous affirme que vous vous êtes trompée. Ah mon amour lointain, mon amour inespéré, il est trop tard maintenant pour dire froidement, cruellement : " E finita la commedia". Vous vous êtes lassée, sans doute, de ce qui ne puis vous laisser aussi disparaître de ma vie. Ce jeu passionné a pris toute ma vie et toutes mes pensées, —je ne rêve que de vous : je ne songe qu'à vous. Vous êtes la chimère sans laquelle on ne saurait vivre. La chimère étincelante elante et suave. Et vous voulez me laisser retomber dans la nuit sans parfums et sans étoiles ! Non, ma lointaine bien-aimée, quoiqu'il arrive, je ne saurais vivre sans vous. » - [1904] ; 12 pages in-8°. « Enfin, je me retrouve dans ma solitude, ô ma Très-Chère ! Et ma première pensée est pour vous…. J'ai reçu, dès mon retour, votre chère lettre. Elle m'enivre comme un parfum, comme un chant entendu en rêve… Et vous voulez ne plus m'écrire ! »