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57 aquarelles, dessins, croquis de Théodore Géricault reproduit par Léon Marotte. Paris, Helleu et Sergent, 1928.

57 aquarelles, dessins, croquis de Théodore Géricault reproduit par Léon Marotte. Paris, Helleu et Sergent, 1928.

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Théodore GÉRICAULT (1791-1824) Portrait de Galaor, chien de l’artiste Vers 1818-1819 Aquarelle sur traits de crayon graphite 15,5 x 15,5 cm PROVENANCE : - Collection de la famille Bro de Comères jusqu’en 1925 - Collection Edouard Mortier, duc de Trévise jusqu’en 1946 - Galerie Aubry en 1964 - Collection privée EXPOSITIONS : - Exposition du Centenaire de Géricault, organisée par le duc de Trévise, N°223, Paris, Galerie Charpentier, 24 avril-16 mai 1924 - Exposition Géricault, Musée des Beaux-Arts de Rouen, 1924 - Exposition Géricault, peintre et dessinateur (1791-1824), organisée au bénéfice de la «Sauvegarde de l’Art français», introduction par le duc de Trévise, catalogue par Pierre Dubaut, n°225. Paris, Galerie Bernheim-Jeune, 10 mai - 29 mai 1937 - Exposition Géricault cet inconnu, n°63. Paris, Galerie Étienne Bignou, mai 1950. - Exposition Gros-Géricault-Delacroix. Organisée en souvenir du duc de Trévise, président de la Sauvegarde de l’Art français, par M. M. Dubaut, Delestre et Lebel, n°68. Paris, Galerie Bernheim-Jeune, 9 janvier - 15 mars 1954. - Exposition Géricault, organisée au bénéfice de la Société des Amis du Louvre, catalogue par Claude Roger-Marx, n°50. Paris, Galerie Claude Aubry, 6 novembre - 7 décembre 1964. BIBLIOGRAPHIE : - CLÉMENT Charles, Géricault : étude biographique et critique avec le catalogue raisonné de l’oeuvre du maître, n°57, p. 338. Didier, Paris, 1868. «Galaor, chien de l’espèce mâtin qui appartenait à Géricault. Il est couché, la moitié du corps passant hors de sa niche de pierre. Aquarelle. Au colonel Olivier Bro de Comères». - Catalogue de l’exposition du Centenaire de Géricault, n°223 p. 72, 1924. - EITNER Lorenz, Charles Clément, Géricault, Paris-Laget, p. 463, 1973. - BAZIN Germain, Géricault, tome V, p. 73. Wildenstein Institute, La bibliothèque des Arts, Paris, 1987-1992. « Clément a catalogué au n°57 (dessins) un certain « Galaor ». Chien de l’espèce mâtin qui appartenait à Géricault, il est couché, la moitié du corps passant hors sa niche de pierre. Aquarelle. Au colonel O. Bro de Comères. H. 0,155 ; L. 0,155 ». NOTE : Cette aquarelle de Théodore Géricault représente son chien, couché dans une niche, sa tête dépassant au-dehors. Ce chien de race indéterminée s’appelle Galaor, probablement nommé ainsi par dérision envers le comte d’Artois (Charles X) qui se faisait appeler ainsi dans sa jeunesse (Bazin, p.73). En effet ce dessin date de la période pendant laquelle l’artiste, ancien mousquetaire du roi, s’engage dans l’opposition. Notre feuille reste dans la famille Bro de Comères, proches amis du peintre, pendant près de cent ans, avant de passer dans la collection du duc de Trévise, et enfin dans une collection privée. On peut le rapprocher d’un croquis figurant le même animal dans une niche, conservé à l’Art Institute de Chicago, partie d’un carnet de la période 1818-1819. L’aquarelle de Géricault a été décrite par : Hubert DUCHEMIN, 8, rue de Louvois, 75002 PARIS +33(0)1.42.60.83.01, [email protected]

Théodore GERICAULT (1791-1824) Tête de bouledogue, vers 1818-1820 Huile sur toile, (rentoilage des années 1970-1980). Verso : Inscriptions anciennes, à l'encre noire, en haut à gauche, sur un châssis datant probablement du milieu XIXe siècle : « C. M. MATHIEU ». 24, 2 x 32, 2 cm Provenance : « Tableaux/ Géricault (Théodore)/ - Tête de chien/ Belle étude » (Catalogue de tableaux anciens et modernes, dessins et aquarelles [...] provenant de la collection de feu M. Mathieu, E. Girard, commissaire-priseur, Féral, peintre-expert, Paris, Hôtel Drouot, salle n° 7, lundi 11 décembre 1876, n° 5). Paris, collection Edmond Courty (1896-1972). Paris collection particulière. Tantôt agressif, tantôt aimant, la figure du chien tient une place importante dans l’œuvre de Théodore Géricault. À travers cette puissante image, le peintre représente une tête de bouledogue dont la vitalité est amplifiée par un traitement onctueux de la matière. L’embrasement de l’ensemble, par des couleurs chaudes et puissantes, rappelle la place que l’éminent Géricault occupe parmi les romantiques français, fervents défenseurs de l’utilisation de la couleur comme le plus sûr moyen d’exacerber les sentiments. Nous connaissons plusieurs études de têtes de bouledogue dont celle conservée à Paris, Musée du Louvre (inv. RF 212), dont le traitement est très proche de la nôtre. Nous remercions Monsieur Bruno Chenique d’avoir confirmé l’authenticité de notre œuvre après un examen de visu, qui sera intégrée au catalogue raisonné en préparation sur l'artiste.