Null MANUSCRITS. 10 manuscrits autographes signés.

André Berry, Ce qui paraît s…
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MANUSCRITS. 10 manuscrits autographes signés. André Berry, Ce qui paraît sur les auteurs du répertoire : Molière et Marivaux ; Henri Cacho, Francis de Croisset ; Jean Canolle, sur le théâtre et son Hamlet de Tarascon (non signé) ; Pierre Descaves, sur la tournée de la Comédie-Française en Amérique ; Maurice Escande ; Marcel Idzkowski, L’heure H : 0h 14 ; André Maurois, sur Jacques Dacqmine et le Bossu ; Jean Sarment, Maurice Escande, Doyen et Administrateur général de la Comédie Française ; Jean-Louis Vaudoyer, sur Édouard Bourdet ; Bernard Zimmer, À propos de la tragédie. On joint un tapuscrit corrigé de José Bruyr sur Offenbach, un ms non identifié sur le Bossu, 3 tapuscrits de J. Crépineau ; et un dossier sur Marcel Achard (coupures de presse, dessin de Siss le représentant lors de l’inauguration du buste de François André à Deauville).

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MANUSCRITS. 10 manuscrits autographes signés. André Berry, Ce qui paraît sur les auteurs du répertoire : Molière et Marivaux ; Henri Cacho, Francis de Croisset ; Jean Canolle, sur le théâtre et son Hamlet de Tarascon (non signé) ; Pierre Descaves, sur la tournée de la Comédie-Française en Amérique ; Maurice Escande ; Marcel Idzkowski, L’heure H : 0h 14 ; André Maurois, sur Jacques Dacqmine et le Bossu ; Jean Sarment, Maurice Escande, Doyen et Administrateur général de la Comédie Française ; Jean-Louis Vaudoyer, sur Édouard Bourdet ; Bernard Zimmer, À propos de la tragédie. On joint un tapuscrit corrigé de José Bruyr sur Offenbach, un ms non identifié sur le Bossu, 3 tapuscrits de J. Crépineau ; et un dossier sur Marcel Achard (coupures de presse, dessin de Siss le représentant lors de l’inauguration du buste de François André à Deauville).

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Louis ARAGON (1897-1982). Manuscrit autographe signé, avec L.A.S. d’envoi [à André Gide], La Demoiselle aux Principes, [1918]; 5 et 1pages petit in-4 (25,5 x 22 cm). Manuscrit complet de ce conte recueilli dans Le libertinage (Éditions de la Nouvelle Revue Française, 1924). Il a été d’abord publié dans Les Écrits nouveaux (II, 10, août-septembre 1918). Marqué, au dire d’Aragon lui-même, d’un certain dandysme, ce conte, d’inspiration gidienne dans le style de Paludes, y fut dédié à André Gide. «La Marchande offrait des violettes: Denis les acheta, puis, embarrassé, les tendit à Céline qui fut la première femme venue. Elle croyait à deux vérités: l’immortalité de l’âme et l’omnipotence de l’amour»… Le conte insère un poème de 12 vers composé par Denis. Le manuscrit est soigneusement mis au net, à l’encre turquoise sur des feuillets de papier vélin fort; il est signé «Louis Aragon». Il est resté inconnu des éditeurs des Œuvres romanesques complètes, qui n’ont recensé aucun manuscrit pour ce conte. Il est accompagné d’une lettre d’envoi à André Gide, le mercredi 27 [février ou mars 1918]: «Maître J’ose vous envoyer ce conte, tout indigne qu’il soit de sa présenter devant vous. Plus désireux d’être jugé sur ma bonne volonté que sur mes faibles moyens, j’ai conçu le projet de vous le dédier: m’y autoriserez-vous? Déjà trop indiscret en vous priant de lire cet essai malhabile, je veux me borner ici à vous assurer de ma particulière et respectueuse admiration qui, elle, n’a point de bornes»…