Null Guillaume Dupré

Médaille en bronze représentant Christine de Bourbon, épou…
Description

Guillaume Dupré Médaille en bronze représentant Christine de Bourbon, épouse de Victor-Amédée de Savoie, par Guillaume Dupré, 1635. A/CHRISTIA. A FRANCIA DVCISSA SAB. REG. CY Buste de Christine de Bourbon à droite, signature G. DVPRE. F. 1635 R/PLVS DE FERMETE QUE DECLAT Diamant monté sur une pique, avec ruban autour . Diam : 5.2 mm ; SUP

70 
Online

Guillaume Dupré Médaille en bronze représentant Christine de Bourbon, épouse de Victor-Amédée de Savoie, par Guillaume Dupré, 1635. A/CHRISTIA. A FRANCIA DVCISSA SAB. REG. CY Buste de Christine de Bourbon à droite, signature G. DVPRE. F. 1635 R/PLVS DE FERMETE QUE DECLAT Diamant monté sur une pique, avec ruban autour . Diam : 5.2 mm ; SUP

Les enchères sont terminées pour ce lot. Voir les résultats

Vous aimerez peut-être

Plaque en fer repoussé en fort relief, damasquiné or et argent sur fond doré représentant Gabrielle d'Estrée (1573-1599) en buste de trois-quarts gauche. La favorite du roi Henri IV porte une épaisse fraise tuyautée et une robe ouvragée ; sa chevelure relevée, bouclée autour du front, est agrémentée d'une aigrette ; richement parée de perles tant dans ses cheveux, aux oreilles, autour du cou ou sur sa robe, elle arbore de grands bijoux étoilés sur sa tête et sa poitrine. Paris, atelier de Guillaume Dupré (Sissone, vers 1576 - Paris, 1643), premier tiers du XVIIe siècle H. 17,5 cm - L. 14,2 cm (adjonctions d'attaches au revers à une époque postérieure) Il ne semble pas que cette plaque ait été réalisée à partir d'une médaille de Guillaume Dupré. La position légèrement de trois-quarts vers la gauche, la chevelure relevée au-dessus de la tête, les perles aux oreilles ou en colliers ainsi que les ornements en forme d'étoile se retrouvent par contre sur une gravure anonyme datée de 1596 ou le portrait réalisé par Daniel Dumoûtier en 1599 conservé à la Bibliothèque nationale (fig. a et b). Cependant la technique du fer repoussé et damasquiné qui consistait à marteler à froid le revers de la plaque afin de dégager de forts reliefs côté face, destinés ensuite à être ciselés et incrustés de métaux précieux, était propre à l'armurerie et à l'orfèvrerie. Elle ne pouvait être maitrisée que par des artistes parmi les plus adroits dans l'art de travailler le métal à l'image du grand médailleur des rois et de la cour qu'était Guillaume Dupré.