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[RECTIFICATIF] CONDORCET (Jean-Antoine-Nicolas Caritat de). Esquisse d'un …
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[RECTIFICATIF] CONDORCET (Jean-Antoine-Nicolas Caritat de). Esquisse d'un tableau historique des progrès de l'esprit humain. Ouvrage posthume. Seconde édition. Paris, Agasse, an III, (1795). In-8, VIII-389 pp., basane fauve racinée, dos lisse orné, pièce de titre rouge, tr. mouchetées de rouge (reliure de l'époque). Accroc en coiffe supérieure, coins abîmés. [[[[[TROUS ET GALERIES DE VERS A LA RELIURE ET PAR ENDROITS A L'INTERIEUR]]]]] Remise en vente avec une nouvelle page de titre de l'édition originale. Reliés à la suite : DESMOULINS (Camille) : Le Vieux Cordelier. Paris, Imprimerie de Desenne, s.d. [25 novembre 1793 - 4 février 1794], 7 livraisons, 172 pp. en numérotation continue. Tout ce qui a paru de ce périodique éphémère, mais célèbre. Hatin, p. 147. II. [BUTEL-DUMONT (Georges-Marie) : ] Essai sur les causes principales qui ont contribué à détruire les deux premières races des Rois de France ; ouvrage dans lequel on développe les constitutions fondamentales de la nation Françoise dans ces anciens tems : par l'auteur de la Théorie du luxe. Paris, Veuve Duchesne, 1776, [12]-191 pp.

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[RECTIFICATIF] CONDORCET (Jean-Antoine-Nicolas Caritat de). Esquisse d'un tableau historique des progrès de l'esprit humain. Ouvrage posthume. Seconde édition. Paris, Agasse, an III, (1795). In-8, VIII-389 pp., basane fauve racinée, dos lisse orné, pièce de titre rouge, tr. mouchetées de rouge (reliure de l'époque). Accroc en coiffe supérieure, coins abîmés. [[[[[TROUS ET GALERIES DE VERS A LA RELIURE ET PAR ENDROITS A L'INTERIEUR]]]]] Remise en vente avec une nouvelle page de titre de l'édition originale. Reliés à la suite : DESMOULINS (Camille) : Le Vieux Cordelier. Paris, Imprimerie de Desenne, s.d. [25 novembre 1793 - 4 février 1794], 7 livraisons, 172 pp. en numérotation continue. Tout ce qui a paru de ce périodique éphémère, mais célèbre. Hatin, p. 147. II. [BUTEL-DUMONT (Georges-Marie) : ] Essai sur les causes principales qui ont contribué à détruire les deux premières races des Rois de France ; ouvrage dans lequel on développe les constitutions fondamentales de la nation Françoise dans ces anciens tems : par l'auteur de la Théorie du luxe. Paris, Veuve Duchesne, 1776, [12]-191 pp.

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CONDORCET (Jean-Antoine-Nicolas de Caritat de). Lettre autographe signée à Noël-Gabriel-Luce Villar. [Lisieux], « le 25 » [septembre 1783]. Une p. in-12, adresse au dos avec cachet armorié de cire rouge ; déchirure au feuillet d’adresse et fente au feuillet de texte dues à l’ouverture avec atteinte à quelques lettres. « M. l’abbé BOSSUT [le mathématicien Charles Bossut, 1730-1814, collaborateur de l’Encyclopédie] étant parti, permettez-moi, Monsieur, de vous demander DES NOUVELLES DE M. D’ALEMBERT ; je vous prie de me les adresser à La Roche-Guion [château de la duchesse d’Enville, Marie-Louise Nicole de La Rochefoucauld]. Imaginez que je n’ai aucune nouvelle de lui, la mort de mon oncle qui était évêque ici [Jacques-Marie Caritat de Condorcet, mort le 21 septembre] m’a forcé de partir sur le champ de La Roche-Guion. Mes lettres de trois ou quatre jours sont restées absolument en arrière, je suis tout inquiet et tout éperdu. Racontez, je vous prie, tous mes malheurs à M. d’Alembert. J’ETAIS BIEN TRANQUILLE, COMPOSANT L’ELOGE DE VAUCANSON [le mécanicien Jacques Vaucanson, 1709-1782, qui avait été membre de l’Académie des sciences], lorsqu’il m’a fallu partir en poste accourir ici pour entendre parler... de convoi, d’économats, de scellés c c Enfin imaginez que je vous écris d’un corps de logis tandis que dans celui qui est vis-à-vis mon oncle exposé dans la chapelle est l’objet de la piété de tous les capucins et de la curiosité de tous les poliçons du pays. Tout cela ne vaut pas la peine d’être écrit. Ainsi, je finis en vous embrassant bien tendrement. de Condorcet, car je soupçonne que vous ne connaissez pas mon griffonage. » ECCLESIASTIQUE ACQUIS AUX IDEES NOUVELLES, L’ABBE VILLAR (1748-1826), était un Père de la Doctrine chrétienne qui enseigna d’abord dans sa ville natale de Toulouse puis au collège de La Flèche dont il devint le recteur. Évêque constitutionnel de la Mayenne de 1791 à 1798, il fut député à la Convention (1792) où il fit partie, comme Condorcet, du Comité de l’Instruction publique. Il fut ensuite membre du Conseil des Cinq-Cents (1795) et du Corps législatif (décembre 1799), et nommé inspecteur général des Études (1800). Membre de l’Institut (1795) il présida lors de l’organisation de l’Académie française en 1803, occupant alors le fauteuil de Condorcet. CONDORCET (Jean-Antoine-Nicolas Caritat de). Voir également ci-dessus le n° 44.