BIBLE. [COUSIN (Jean)]. Figures des histoires de la Saincte Bible, accompagnées …
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[COUSIN (Jean)]. Figures des histoires de la Saincte Bible, accompagnées de briefs discours, contenans la plus grande partie des histoires sacrées du vieil & nouveau Testament, & des œuvres admirables du Dieu vivant, Créateur du Ciel & de la Terre, & de Jésus-Christ son Fils unique nostre Sauveur & Rédempteur. Pour l'exercice ordinaire des âmes dévotes & contemplatives. Paris, Guillaume Le Bé, 1646. 2 parties en un volume in-folio, basane granitée, dos orné, pièce de titre rouge, tranches mouchetées de rouge (Reliure de l'époque). Remarquable suite gravée connue sous le nom de Bible de Jean Cousin, illustrée d'un grand nombre de compositions gravées sur bois à mi-page. Titres ornés d'une bordure ornementale à motifs de fleurs, de végétaux et d'oiseaux. Texte imprimé dans un cadre typographique. Ex-libris manuscrit du XVIIIe siècle sur l'un des titres et la première garde. Incomplet des feuillets C3, C4, N3 et N4. Feuillets Z2 et Z3 intervertis. Déchirure transversale sans manque au feuillet de dédicace, petite fente à quelques feuillets. Reliure frottée, mors fendus sur quelques centimètres.

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Jean Osouf (1898-1996) Coralie, demi-figure, 1935-1945 Épreuve en bronze Fonte à la cire perdue 32 x 12 x 9 cm Provenance : Suède, collection particulière Coralie pose pour Jean Osouf entre 1935 et 1945 environ. Durant cette dizaine d’années, Osouf crée un grand nombre de sculptures dans lesquelles il décline les attitudes et les expressions de son modèle : figures de Naïade, de Baigneuse, de Jeune fille, Buste de Coralie dit Petite reine, Buste de Coralie couronnée, Masque de Coralie dit Épiphanie... Le musée des Beaux-Arts d’Alger conserve une Baigneuse, le Musée d’Art et d’Histoire de Belfort deux Buste de Coralie, le Musée d’Art moderne de la Ville de Paris un Buste de Coralie couronnée. Coupée au-dessus des genoux, cette figure de Coralie est à rapprocher de la figure complète de Coralie datée de 1935 dont un bronze est conservé au musée des Beaux-Arts de Reims. Le musée des Beaux-Arts de Reims conserve également une Baigneuse, étude de Coralie, où la découpe au niveau des cuisses compose un torse encore plus court. Chacune des trois œuvres possède en outre de subtiles variantes, comme dans la coiffure par exemple. Littérature en rapport : : • Robert Couturier, Jean Osouf, Club Français de la Médaille, n°59/60, 2e trimestre 1978, p.26-27. • Jean Perrin, Jean Osouf, sculpteur, Société d’Histoire et d’Art de la Brie et du pays de Meaux, Meaux 1981. • Jean Osouf, Paris, galerie Martel-Greiner, 2000. • Anne Pingeot, Bonnard sculpteur. Catalogue raisonné, Musée d’Orsay, Éd. Nicolas Chaudun, 2006 (p. 56 à 62)

CHARLES VIII. Lettre signée « Charles » A LODOVICO SFORZA. Lyon, 16 avril [1494]. Une p. in-8 oblong, adresse au dos. « MON COUSIN, LE CAPPITAINE DIMENCHE DU REGNIER S’EN VA PAR-DELA POUR RECOUVRER SA PLACE DE BON VOISIN ASSISE OU MARQUISAT DE SALUCES que luy detient Anthoine-Marie de Sainct-Severin ainsi qu’il m’a dit, aussi pour avoir son droit de la succession de Becquerie qui luy appartient a cause de sa grant-mere, et pour ce que, obstant mon service ou tousjours ledit cappitaine a esté occupé, n’a peu plus tost aller par-dela, vous prye que luy vueillez estre ardant envers ledit de Sainct-Severin a ce qu’il puisse recouvrer sadite place et touchant ladite succession assise ou conté de Pavye et duché de Millan, luy faire bonne et briefve expedicion de justice, et vous me ferez en ce faisant plaisir trés agreable, et adieu mon cousin... » CHARLES VIII PREPARAIT ALORS SON EQUIPEE POUR NAPLES, avec l’intention de prendre possession du trône enlevé par les Aragonais à la Maison d’Anjou dont il avait hérité les droits. C’est de Lyon qu’il partirait en septembre 1494 pour mener ce qui est depuis désigné comme la première « guerre d’Italie ». REGENT ET FUTUR DUC DE MILAN (décembre 1494), LODOVICO SFORZA (1452-1508) portait alors le titre de duc de Bari (« mon cousin le duc de Bar »), et était encore allié à la France. — LE CONDOTTIERE ANTONIO-MARIA SANSEVERINO (« Anthoine-Marie de Sainct-Severin »), alors au service de Lodovico Sforza, allait bientôt passer à celui de Charles VIII. — MAITRE D’HOTEL DU ROI ET CAPITAINE DE 100 LANCES, DIMANCHE DU RAYNIER était un Piémontais passé au service de France, et fixé en Touraine après son mariage avec une femme de la Maison de Maillé : petit-fils du marquis Thomas de Saluces (mort en 1416) et de Marguerite de Pierrepont (morte en 1419), il prétendait à une part de l’héritage de la famille Beccaria, alliée aux Saluces. JOINT, une copie manuscrite de l’époque d’une décision du Parlement de Paris (1483) cassant une sentence du sénéchal de Poitou, le célèbre mémorialiste PHILIPPE DE COMMYNES (12 pp. 1/2 in-folio).