Pendules

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RÉGULATEUR DE PARQUET ANGLAIS À QUANTIÈME ET SONNERIE AU PASSAGE, LA FIN DU XVIIe-DÉBUT DU XVIIIe SIÈCLE Signé "Brounker Watts London" En placage de palissandre et marqueterie florale sur fond de noyer, échelle des heures argentée (usures) appliquée sur une plaque de laiton avec centre pointillé, quantième par guichet au centre, secondes à 12 heures, aiguilles en acier bleui ajouré, celle pour les secondes remplacée, pièces de coins en forme d'angelots ailés ; mouvement à platine à deux corps de rouage, cinq piliers tournés, échappement à ancre en acier, roue de compte à l'intérieur, sonnerie sur timbre, balancier simple avec lentille demi-plan, suspension à ressort ; poids cylindrique en laiton et clé à manivelle H. : 261 cm (102 ¾ in.) l. : 53 cm (20 ¾ in.) P. : 25 cm (9 ¾ in.) An English floral marquetry, rosewood and walnut longcase clock, by Brounker Watts, late 17th-early 18th century . * Information aux acheteurs : Pour une sortie de l'UE, un CITES de ré-export peut être nécessaire, celui-ci étant à la charge du futur acquéreur. * Information to buyers: For an exit from the EU, a CITES re-export certificate will be necessary, at the buyer's expense. Brounker Watts est apprenti chez Joseph Knibb à Londres de janvier 1685 à 1692. Reçu maître en février 1694 il travaille dans le Fleet Street jusqu'à son décès à la fin de 1717. Une pendule de Brounker Watts avec une caisse en marqueterie très proche à ceci a été vendue chez Bonhams, Londres le 16 décembre 2020 lot 57. Son panneau supérieur est identique à celui de notre pendule.

Estim. 5 000 - 8 000 EUR

PENDULE "AUX TROIS GRÂCES" DE STYLE LOUIS XVI D'après Etienne Maurice Falconnet (1716-1791) En marbre blanc sculpté, le cadran tournant inscrit dans un vase flanqué de figures féminines représentant les Trois Grâces, reposant sur un socle en marbre bleu turquin ; restaurations H. : 74 cm (29 ¼ in.) l. : 38,5 cm (15 ¼ in.) P. : 27 cm (10 ½ in.) Provenance : Vente Artcurial Paris, le 13 juin 2010, lot 154 ; Acquise au cours de cette dernière par l'actuel propriétaire. A Louis XVI style white marble mantel clock, after Etienne Maurice Falconnet (1716-1791) Cette pendule reprend le modèle créé à partir du groupe des Trois Grâces d'Etienne Maurice Falconet (1716-1791), par Lepaute et Vion, et livré à la comtesse du Barry en 1769. Le musée du Louvre conserve un exemplaire de cette pendule, d'époque Louis XVI, datée vers 1770, en marbre blanc. Elle provient de l'ancienne collection du baron Léopold Double. Objet phare de sa vente en 1881, Isaac de Camondo (1851-1911) en fit l'acquisition à cette occasion. Ce dernier, frère de Moïse de Camondo, jamais marié et resté sans héritier légitime, la légua à sa mort au musée du Louvre. Très populaire au XIXe siècle, plusieurs versions de cette pendule furent créées tantôt en marbre blanc et bronze doré (Christie's Londres, le 28 octobre 1999, lot 17) ou encore en biscuit (vente à Paris, hôtel Drouot, Million et associés, le 18 juin 2008). Une pendule similaire, datée vers 1870, a été vendue par Sotheby's Londres le 6 octobre 2000, lot 56 (£9.600).

Estim. 4 000 - 6 000 EUR

Émile GILIOLI (1911-1977) Astrale, 1966 Marbre blanc taille directe signée à la pointe sur la base. Important socle en bois laque noir portant un cartel avec le titre de l’œuvre. Infimes éclats sur un angle. 63,5 x 29 x 39 cm Socle 100 x 43 x 42,5 cm Outre ce modèle en marbre, il existe sept épreuves en bronze poli d’une hauteur de 31 cm et six épreuves en bronze poli d’une hauteur de 120 cm. REFERENCES : Le musée national d’art moderne/C.C.I Centre Georges Pompidou conserve sous le numéro d’inventaire AM.1980-436, une épreuve similaire, de même titre, en bronze poli, avec des dimensions supérieures. BIBLIOGRAPHIE/EXPOSITIONS : Ionel Jianou et Hélène Lassalle, Gilioli, Paris, Arted, Éditions d’art, 1971, référencée sous le n°402 dans le Catalogue des sculptures avec une dimension vraisemblablement erronée et décrite comme provenant de la galerie Edouard Loeb à Paris, un exemplaire en bronze poli reproduit sous le n°52. Collectif, Gilioli - Sculptures, juin-septembre 1979, Paris, Centre Georges Pompidou, 1979, l’exemplaire similaire en bronze, plus grand, reproduit en noir et blanc pages 33-35. Saint-Rémy-Lès-Chevreuse, Fondation Coubertin, Gilioli, 9 septembre-15 novembre 1998, un exemplaire en bronze poli de plus grandes dimensions, reproduit en noir et blanc sous le n°26, page 79 dans le catalogue de l’exposition. Collectif, Gilioli, Bruxelles, Galerie Veranneman, un exemplaire en bronze d’une hauteur de 120 cm reproduit page 73. Giovanni Carandente, Gilioli, Milan, Éditions Stendhal, 1980, reproduit en noir et blanc page 96 (un exemplaire similaire plus grand). Michel Ragon, Extrait de Cimaise n°143, “Gilioli”, 1979, reproduit en noir et blanc, non paginé (un exemplaire similaire plus grand).

Estim. 5 000 - 8 000 EUR