Null Mexico 1968. Morelon-Trentin, tandem © Robert Legros/L'Équipe 21 octobre 19…
Description

Mexico 1968. Morelon-Trentin, tandem © Robert Legros/L'Équipe 21 octobre 1968. Depuis une semaine, le vélodrome Agustin-Melgar est devenu le terrain de jeu de deux copains voisins de palier à Créteil. Daniel Morelon, le brun élancé, et Pierre Trentin, le blond baraqué, ont déjà gagné un titre chacun (vitesse pour Morelon, kilomètre pour Trentin) avant d'unir leurs forces en tandem. En demi-finales contre les Belges (ici en tête), ils ne s'imposent que dans les derniers mètres mais dé- bordent sans souci les Néerlandais en finale. Leur secret ? «On avait des repères, des signes, un code quoi!, expliquera Morelon. Pour démar- rer ensemble, accélérer ensemble et être à fond ensemble. On n'avait parfois même pas besoin de se parler. Quand il voyait que je me levais, il se levait aussi pour le démarrage. Parfois, je lui disais ‘'Allez'', ça voulait dire que c'était le moment de tout mettre.» Tirage unique postérieur. Edition 1/1. Impression noir et blanc en piezographie sur papier Hahnemühle FineArt Baryta Satin 300g. Encadrement d'art Flamant. 40 x 60 cm

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Mexico 1968. Morelon-Trentin, tandem © Robert Legros/L'Équipe 21 octobre 1968. Depuis une semaine, le vélodrome Agustin-Melgar est devenu le terrain de jeu de deux copains voisins de palier à Créteil. Daniel Morelon, le brun élancé, et Pierre Trentin, le blond baraqué, ont déjà gagné un titre chacun (vitesse pour Morelon, kilomètre pour Trentin) avant d'unir leurs forces en tandem. En demi-finales contre les Belges (ici en tête), ils ne s'imposent que dans les derniers mètres mais dé- bordent sans souci les Néerlandais en finale. Leur secret ? «On avait des repères, des signes, un code quoi!, expliquera Morelon. Pour démar- rer ensemble, accélérer ensemble et être à fond ensemble. On n'avait parfois même pas besoin de se parler. Quand il voyait que je me levais, il se levait aussi pour le démarrage. Parfois, je lui disais ‘'Allez'', ça voulait dire que c'était le moment de tout mettre.» Tirage unique postérieur. Edition 1/1. Impression noir et blanc en piezographie sur papier Hahnemühle FineArt Baryta Satin 300g. Encadrement d'art Flamant. 40 x 60 cm

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EDUARDO ARRANZ BRAVO (Barcelone, 1941-Vallvidrera, 2023). "Home orellut", 1985. Bronze, copie P.A. 1/2. Signé et numéroté. Dimensions : 21 x 28,5 x 8,5 cm : 21 x 28,5 x 8,5 cm. Eduardo Arranz Bravo a été formé à l'École des beaux-arts de Sant Jordi, à Barcelone, entre 1959 et 1962. Il fait ses débuts individuels en 1961, au Club universitaire de Barcelone, mais l'exposition qui le fait connaître des critiques barcelonais est celle organisée par l'Ateneo de Barcelone en 1961. Entre 1968 et 1970, il fait partie du groupe formé par Gerard Sala, Robert Llimós et Rafael Lozano Bartolozzi. Il continue à collaborer avec ces derniers jusqu'en 1982, alternant expositions communes et expositions personnelles. Le contact avec ces artistes a influencé son style initialement abstrait, qui s'est rapproché de la nouvelle figuration et du pop art. Il a exposé dans toute l'Espagne, ainsi qu'à Paris, Amsterdam, Venise, São Paulo et Rio de Janeiro. En 1983, il a organisé une exposition anthologique de son œuvre à la Sala Gaspar de Barcelone et, entre 1986 et 1988, il a été chargé de la direction artistique des films de Jaime Camino "El balcón abierto" et "Luces y sombras". Il participe au VIIIe Salón de Mayo à Barcelone et aux expositions "Muestra de Arte Nuevo" (Barcelone, 1971), "Picasso 90" (Musée du Louvre, 1971), "Experiencias conceptuales" (Barcelone, 1971-72), entre autres. En 1989, il a présenté une exposition des travaux de ses trois dernières années au musée d'art moderne de São Paulo, ainsi qu'une exposition anthologique au Palau Robert de Barcelone. Parmi les prix qu'il a reçus, citons la IIe Biennale internationale du sport, le prix de la figure de la Biennale Estrada Saladich et le prix du dessin Ynglada-Guillot. Ses œuvres sont exposées au musée Reina Sofía de Madrid, aux musées des beaux-arts de Vitoria et de Séville, au musée de São Paulo et au musée d'art moderne de New York.