Null ÉCOLE FRANÇAISE VERS 1830, SUIVEUR DE JACQUES LOUIS DAVID
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Description

ÉCOLE FRANÇAISE VERS 1830, SUIVEUR DE JACQUES LOUIS DAVID « Portrait de l’Empereur Napoléon Ier en buste de ¾ en uniforme de colonel des grenadiers à pied de la Garde » Toile Cadre en bois 63 x 52 cm Reprise partielle et avec variantes du portrait de Napoléon 1er dans son bureau des Tuileries, peint par Jacques Louis David en 1812, et appartenant à la Kress Collection de la National Gallery of Art de Washington. Ce portrait de l’Empereur fut commandé par l’écossais Alexandre Douglas, futur duc de Hamilton, pour la somme très importante à l’époque de 1 000 guinées. L’affaire était surprenante car les deux pays étaient en guerre depuis 1803. Sur ce portrait en pied, Napoléon figure comme un chef d’état et un homme de loi, travaillant jusque tard dans la nuit à son bureau et non pas comme un héros des champs de batailles. Vêtu de son uniforme de colonel des Grenadiers, il s’apprête à passer les troupes en revue. Informé de cette commande, Napoléon apprécia ce tableau et chercha à l’acquérir, mais David persista à vouloir honorer son contrat. L’Empereur lui aurait alors dit : « Vous m’avez bien deviné cher David, la nuit je m’occupe du bonheur de mes sujets et le jour je travaille à la gloire de la France ».

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ÉCOLE FRANÇAISE VERS 1830, SUIVEUR DE JACQUES LOUIS DAVID « Portrait de l’Empereur Napoléon Ier en buste de ¾ en uniforme de colonel des grenadiers à pied de la Garde » Toile Cadre en bois 63 x 52 cm Reprise partielle et avec variantes du portrait de Napoléon 1er dans son bureau des Tuileries, peint par Jacques Louis David en 1812, et appartenant à la Kress Collection de la National Gallery of Art de Washington. Ce portrait de l’Empereur fut commandé par l’écossais Alexandre Douglas, futur duc de Hamilton, pour la somme très importante à l’époque de 1 000 guinées. L’affaire était surprenante car les deux pays étaient en guerre depuis 1803. Sur ce portrait en pied, Napoléon figure comme un chef d’état et un homme de loi, travaillant jusque tard dans la nuit à son bureau et non pas comme un héros des champs de batailles. Vêtu de son uniforme de colonel des Grenadiers, il s’apprête à passer les troupes en revue. Informé de cette commande, Napoléon apprécia ce tableau et chercha à l’acquérir, mais David persista à vouloir honorer son contrat. L’Empereur lui aurait alors dit : « Vous m’avez bien deviné cher David, la nuit je m’occupe du bonheur de mes sujets et le jour je travaille à la gloire de la France ».

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