Description
Anne-Louis GIRODET-TRIOSON. L.A.S., [1824 ?], à Madame de REISET ; 1 page petit in-8, adresse avec cachet de cire rouge aux armes (brisé). Il remercie sa correspondante de son bon souvenir " Je ne l'avais pas oubliée de mon côté, mais j'ai été assez indisposé depuis que j'ai eu l'honneur de la voir, et je ne croyais pas son départ si précipité ! Je lui envoye cette bagatelle qui n'a d'autre mérite que l'intention et je souhaite à Madame de Reizet un heureux voyage et un prompt retour à Paris"... On joint 2 L.A.S. à la même : par Fanny ROBERT (1795-1872, élève de Girodet), 16 décembre 1819 : "vous nous donnez une grande preuve de votre amour pour les arts en venant visiter de jeunes artistes, logés tout près du ciel [...]. Notre petit atelier est au sixième étage [...] j'aurai grand plaisir à vous y recevoir et à vous en faire les honneurs si notre Grand-Maître [Girodet] n'est pas assez heureux pour vous donner lui-même la main"... ; et par Julie JOLY, 2 septembre 1830, disant son désir d'être " agréable à une des amies les plus distinguées de mon illustre maître et l'une de celles dont il prisait le plus, le haut mérite"...
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Anne-Louis GIRODET-TRIOSON. L.A.S., [1824 ?], à Madame de REISET ; 1 page petit in-8, adresse avec cachet de cire rouge aux armes (brisé). Il remercie sa correspondante de son bon souvenir " Je ne l'avais pas oubliée de mon côté, mais j'ai été assez indisposé depuis que j'ai eu l'honneur de la voir, et je ne croyais pas son départ si précipité ! Je lui envoye cette bagatelle qui n'a d'autre mérite que l'intention et je souhaite à Madame de Reizet un heureux voyage et un prompt retour à Paris"... On joint 2 L.A.S. à la même : par Fanny ROBERT (1795-1872, élève de Girodet), 16 décembre 1819 : "vous nous donnez une grande preuve de votre amour pour les arts en venant visiter de jeunes artistes, logés tout près du ciel [...]. Notre petit atelier est au sixième étage [...] j'aurai grand plaisir à vous y recevoir et à vous en faire les honneurs si notre Grand-Maître [Girodet] n'est pas assez heureux pour vous donner lui-même la main"... ; et par Julie JOLY, 2 septembre 1830, disant son désir d'être " agréable à une des amies les plus distinguées de mon illustre maître et l'une de celles dont il prisait le plus, le haut mérite"...