Null ÉCOLE FRANÇAISE DU XIXe SIÈCLE D'APRÈS CHRISTOPHE-GABRIEL ALLEGRAIN (1710-1…
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ÉCOLE FRANÇAISE DU XIXe SIÈCLE D'APRÈS CHRISTOPHE-GABRIEL ALLEGRAIN (1710-1795) Baigneuse dite Vénus sortant du bain Bronze doré Porte une signature (sic) ALLEGRIN (pour Allegrain) Porte le cachet de l'éditeur " EDR DELESALLE " (Usures à la patine) A French school giltbronze bather, after Christophe-Gabriel Allegrain's work, 19th century 41 CM - 16,1 IN Œuvre en rapport : -Christophe-Gabriel Allegrain, Baigneuse dite Vénus sortant du bain, 1767, H. 174 cm, Paris, Musée du Louvre, n°Inv. M.R. 1747 Le roi Louis XV commande à Christophe-Gabriel Allegrain une Vénus sortant du bain en marbre pour orner le château de Choisy, conservée aujourd'hui au musée du Louvre. L'esquisse est présentée au Salon de 1757, la critique accueille ensuite très favorablement le marbre au Salon de 1767, Diderot déclare à son sujet " Belle, belle, sublime figure, ils disent même la plus belle, la plus parfaite figure de femme que les modernes aient faite ". L'œuvre est finalement offerte par le roi à sa favorite Madame du Barry en 1772 et placée dans le parc du château de Louveciennes. Les éditeurs de bronze du XIXème siècle s'emparent du sujet qui connait un fort engouement dans des dimensions réduites pour orner les intérieurs bourgeois. "400

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ÉCOLE FRANÇAISE DU XIXe SIÈCLE D'APRÈS CHRISTOPHE-GABRIEL ALLEGRAIN (1710-1795) Baigneuse dite Vénus sortant du bain Bronze doré Porte une signature (sic) ALLEGRIN (pour Allegrain) Porte le cachet de l'éditeur " EDR DELESALLE " (Usures à la patine) A French school giltbronze bather, after Christophe-Gabriel Allegrain's work, 19th century 41 CM - 16,1 IN Œuvre en rapport : -Christophe-Gabriel Allegrain, Baigneuse dite Vénus sortant du bain, 1767, H. 174 cm, Paris, Musée du Louvre, n°Inv. M.R. 1747 Le roi Louis XV commande à Christophe-Gabriel Allegrain une Vénus sortant du bain en marbre pour orner le château de Choisy, conservée aujourd'hui au musée du Louvre. L'esquisse est présentée au Salon de 1757, la critique accueille ensuite très favorablement le marbre au Salon de 1767, Diderot déclare à son sujet " Belle, belle, sublime figure, ils disent même la plus belle, la plus parfaite figure de femme que les modernes aient faite ". L'œuvre est finalement offerte par le roi à sa favorite Madame du Barry en 1772 et placée dans le parc du château de Louveciennes. Les éditeurs de bronze du XIXème siècle s'emparent du sujet qui connait un fort engouement dans des dimensions réduites pour orner les intérieurs bourgeois. "400

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