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Description
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COMMODE BOMBE SERPENTINE LOUIS XV EN BOIS ROI ET BRONZE DORÉ ATTRIBUÉE À GILLES JOUBERT (1689-1775), C.1755-60 le dessus en marbre rouge griotte avec un bord mouluré, au-dessus de panneaux de treillis de parquet et de montures Rococo à volutes, équipé de deux tiroirs, sur des pieds cabriole se terminant par des pattes de lion, avec des altérations 90.7cm de haut, 125cm de large, 53.4cm de profondeur Provenance Alfred de Rothschild (1842-1918) the Bamfylde Room, Halton House, Buckinghamshire Lionel de Rothschild (1882-1942) Edmund de Rothschild (1916-2009) The Trustees of Exbury House Literature Rothschild Archive, London, Manuscript : 000/174/C/3, Christie, Manson & Woods Probate Valuation of 'The Estate of Alfred C. de Rothschild, Esq. C.V.O. décédé, Halton House Tring'. 1918. Une commode parqueterie Louis XV avec deux tiroirs incrustés de panneaux à motif de treillis et de cubes, dans des bordures en bois de roi montées avec des bordures en bronze doré et des coins ciselés avec un travail de volutes entrelacées de branches de fleurs et avec des pieds à griffes de lion, surmontée d'une dalle en marbre rouge veiné, £2,500.0.0'. Note du catalogue Gilles Joubert (français 1689-1775) est né à Paris dans une famille de menuisiers. Il devint apprenti à l'âge de treize ans chez un marqueteur et épousa en 1714 Michelle Collet, la fille d'Edmond Collet, un ébéniste du Faubourg et cousin de Pierre II Mignon, l'ébéniste préféré de Madame de Pompadour. Joubert commence à fournir des meubles au Garde-Meuble Royal en 1748 et ses livraisons à la cour deviennent plus importantes après 1751 lorsque Gaudreaus le Jeune cesse de travailler pour la Couronne. À partir de cette date, Joubert est le principal fournisseur de meubles de la cour royale et le restera pendant près de vingt-trois ans. Pour répondre à la forte demande de la Couronne, Joubert sous-traite souvent des travaux à ses confrères ébénistes, dont Antoine-Mathieu Criaerd, Léonard Boudin et surtout Roger Vandercruse. Le travail de Joubert est difficile à identifier, car l'estampillage n'était pas obligatoire au début de sa carrière ; il n'existe qu'une dizaine de pièces portant sa signature. Une fois qu'il est devenu ébéniste de la Couronne en 1763, il a été libéré des règlements de la guilde et n'a plus eu à signer ses œuvres. Par conséquent, l'œuvre de Joubert ne peut être étudiée avant ses premières livraisons au Garde-Meuble Royal en 1748, alors qu'il avait déjà près de soixante ans. On ne sait rien de sa production avant cette date. La conception de Joubert peut être caractérisée par un style rococo sobre, avec des montures en bronze doré à volutes dans un motif symétrique, la marqueterie dans un arrangement géométrique de losanges, souvent des placages de tulipier encadrés par des bandes de bois royal. Le même cartouche se retrouve sur la façade de plusieurs de ses commodes, ainsi que sur celles en laque réalisées par Marchand pour la chambre de la reine à Fontaineblau en 1755 et celles réalisées l'année précédente par Criaerd pour le pavillon de la Muette. Les montures d'angle de ces pièces présentent souvent de grands motifs symétriques, souvent un bouquet de fleurs percé'. (Meubles français p.212) Joubert prend sa retraite en 1774 à l'âge de 85 ans et Riesener lui succède au poste d'ébéniste du Roi. Joubert est mort en 1775. L'attribution à Joubert est basée sur une commode royale de Joubert récemment découverte et qui se trouve maintenant dans la collection du Château de Fontainebleau et qui a des montures frontales presque identiques à notre commode. Elle a été fabriquée à l'origine pour la chambre à coucher de Louis XV au château de Fontainebleau et a été installée par Joubert en 1754. Déclaré trésor national, il a été acquis pour la nation au prix de 1 000 000 d'euros. Littérature Alexandre Pradere, Meubles français, l'art de l'ébéniste de Louis XIV à la Révolution, pp.208-215.

wiltshire, Royaume-Uni