Null MODÈLE DE ROBERT OSMOND,

HORLOGER (1711-1789)

CADRAN SIGNÉ GILLE LAINÉ À …
Description

MODÈLE DE ROBERT OSMOND, HORLOGER (1711-1789) CADRAN SIGNÉ GILLE LAINÉ À PARIS (PIERRE GILLE DIT GILLE L'AÎNÉ, MAÎTRE EN 1779). SCULPTEUR LAURENT GUIARD (1723-1788) FONDEUR ATTRIBUÉ À EDMÉ ROY ( EN 1764). IMPORTANTE PENDULE DE CHEMINÉE DITE « À LA GEOFFRIN » OU « À L'EMPLOI DU TEMPS ». Époque Louis XVI, vers 1760. Bronze doré. H. 43 cm L. 65 cm P. 23 cm Mécanisme d'époque à remettre en état. Balancier déposé. Provenance : - Vente du 26 juin 2001 chez Piasa, lot n°62, N.V. Bibliographie : - L'Estampille - L'Objet d'Art n° 224, avril 1989, pages 34 à 41 : « La pendule à la Geoffrin, un modèle à succès », par Christian Baullez. La jeune femme assise sur un petit banc lit un grand livre, son bras gauche posé sur le cadran. Il s'agit de Madame Geoffrin, née Marie-érèse Rodet (1699-1777). Elle tenait un salon littéraire réputé à Paris. (Voir le livre de Maurice Hamon, « Madame Geoffrin - Femme d'influence, femme d'affaires au temps des Lumières » paru aux éditions Fayard, 2010). Elle symbolise « l'Emploi du Temps », second nom donné à ce modèle de pendule. Le socle est orné en façade d'une frise d'entrelacs de feuillages. Le cadran est à chiffres romains pour les heures et chiffres arabes pour les minutes. Ce modèle créé en 1757 pour Madame Geoffrin eut un très grand succès au XVIIIe siècle, qui se prolongea pendant tout le XIXe siècle « ... Ma pendule de Guyard : elle m' est revenue à 3000 livres par ce que j'en ai fait faire le modèle ; elle est l'originale ». Toutefois les modèles du XVIIIe restent beaucoup plus rares. La porte arrière est munie d'un verre. Contresignée sur la platine arrière et porte le numéro 3029. Sur le pourtour du plateau du socle, usures de dorure en entourage.

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MODÈLE DE ROBERT OSMOND, HORLOGER (1711-1789) CADRAN SIGNÉ GILLE LAINÉ À PARIS (PIERRE GILLE DIT GILLE L'AÎNÉ, MAÎTRE EN 1779). SCULPTEUR LAURENT GUIARD (1723-1788) FONDEUR ATTRIBUÉ À EDMÉ ROY ( EN 1764). IMPORTANTE PENDULE DE CHEMINÉE DITE « À LA GEOFFRIN » OU « À L'EMPLOI DU TEMPS ». Époque Louis XVI, vers 1760. Bronze doré. H. 43 cm L. 65 cm P. 23 cm Mécanisme d'époque à remettre en état. Balancier déposé. Provenance : - Vente du 26 juin 2001 chez Piasa, lot n°62, N.V. Bibliographie : - L'Estampille - L'Objet d'Art n° 224, avril 1989, pages 34 à 41 : « La pendule à la Geoffrin, un modèle à succès », par Christian Baullez. La jeune femme assise sur un petit banc lit un grand livre, son bras gauche posé sur le cadran. Il s'agit de Madame Geoffrin, née Marie-érèse Rodet (1699-1777). Elle tenait un salon littéraire réputé à Paris. (Voir le livre de Maurice Hamon, « Madame Geoffrin - Femme d'influence, femme d'affaires au temps des Lumières » paru aux éditions Fayard, 2010). Elle symbolise « l'Emploi du Temps », second nom donné à ce modèle de pendule. Le socle est orné en façade d'une frise d'entrelacs de feuillages. Le cadran est à chiffres romains pour les heures et chiffres arabes pour les minutes. Ce modèle créé en 1757 pour Madame Geoffrin eut un très grand succès au XVIIIe siècle, qui se prolongea pendant tout le XIXe siècle « ... Ma pendule de Guyard : elle m' est revenue à 3000 livres par ce que j'en ai fait faire le modèle ; elle est l'originale ». Toutefois les modèles du XVIIIe restent beaucoup plus rares. La porte arrière est munie d'un verre. Contresignée sur la platine arrière et porte le numéro 3029. Sur le pourtour du plateau du socle, usures de dorure en entourage.

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