Description
Victor Ségoffin (1867-1925) Étude pour la Sorcière Bronze à patine brun clair H. 29 cm dont base en marbre gris veiné H. 5 cm Ce bronze exprime l’intérêt de l’artiste pour la figure fragmentaire. Ségoffin fait ainsi le choix de couper son buste de manière hasardeuse et de disloquer la main du bras ouvrant la forme sur l’espace. L’œil reconstruit alors de lui-même cette forme invisible et pourtant perceptible. Le vide, autant que le plein, devient alors un élément clef de la construction de l’œuvre. Ainsi, au-delà de l’inspiration rodinienne de l’assemblage, dont l’influence de la Tête de Jean de Fiennes avec main gauche est ici évidente, Ségoffin s’ouvre plus encore sur les expériences du xxe siècle en faisant l’expérience du « vide actif » comme force unissant deux formes. Œuvre en rapport Victor Ségoffin, Femme nue accroupie (sorcière), Paris, musée Carnavalet, n° inv. S2004.
49
Victor Ségoffin (1867-1925) Étude pour la Sorcière Bronze à patine brun clair H. 29 cm dont base en marbre gris veiné H. 5 cm Ce bronze exprime l’intérêt de l’artiste pour la figure fragmentaire. Ségoffin fait ainsi le choix de couper son buste de manière hasardeuse et de disloquer la main du bras ouvrant la forme sur l’espace. L’œil reconstruit alors de lui-même cette forme invisible et pourtant perceptible. Le vide, autant que le plein, devient alors un élément clef de la construction de l’œuvre. Ainsi, au-delà de l’inspiration rodinienne de l’assemblage, dont l’influence de la Tête de Jean de Fiennes avec main gauche est ici évidente, Ségoffin s’ouvre plus encore sur les expériences du xxe siècle en faisant l’expérience du « vide actif » comme force unissant deux formes. Œuvre en rapport Victor Ségoffin, Femme nue accroupie (sorcière), Paris, musée Carnavalet, n° inv. S2004.
