Null Auguste DUMERIL (1812-1870), zoologiste. L.A.S. À « Monsieur et cher collèg…
Description

Auguste DUMERIL (1812-1870), zoologiste. L.A.S. à « Monsieur et cher collègue » [Isidore Geoffroy Saint-Hilaire]. 4 pp. in-8. 14 août 1860. Belle lettre sur la mort de son père, le zoologiste André Marie Constant Duméril (1774-1860), écrite le jour même de son décès (14 août). « Peu d'instants après votre départ hier au soir, le mal a tout à coup fait de si effrayants progrès que dès lors nous avons regardé comme très prochaine la fatale issue, et nous venons en effet, d'éprouver la douleur de voir s'éteindre mon excellent père, dont les derniers moments heureusement n'ont pas été aussi pénibles que nous pouvions le craindre []. Comme directeur du Muséum, c'est vers vous qui aimiez tant mon pauvre père que se portent nos pensées pour la solennité du convoi où, nous serions tous si profondément touchés, que vous voulussiez bien prendre la parole au nom de cet établissement. J'hésite, au milieu de vos propres douleurs, à vous adresser cette demande que je vous fais au nom de toute ma famille, mais à qui peut-on demander cela mieux qu'à un ami comme vous [] ». Il le prie de l'excuser auprès de Nilsson.

11 

Auguste DUMERIL (1812-1870), zoologiste. L.A.S. à « Monsieur et cher collègue » [Isidore Geoffroy Saint-Hilaire]. 4 pp. in-8. 14 août 1860. Belle lettre sur la mort de son père, le zoologiste André Marie Constant Duméril (1774-1860), écrite le jour même de son décès (14 août). « Peu d'instants après votre départ hier au soir, le mal a tout à coup fait de si effrayants progrès que dès lors nous avons regardé comme très prochaine la fatale issue, et nous venons en effet, d'éprouver la douleur de voir s'éteindre mon excellent père, dont les derniers moments heureusement n'ont pas été aussi pénibles que nous pouvions le craindre []. Comme directeur du Muséum, c'est vers vous qui aimiez tant mon pauvre père que se portent nos pensées pour la solennité du convoi où, nous serions tous si profondément touchés, que vous voulussiez bien prendre la parole au nom de cet établissement. J'hésite, au milieu de vos propres douleurs, à vous adresser cette demande que je vous fais au nom de toute ma famille, mais à qui peut-on demander cela mieux qu'à un ami comme vous [] ». Il le prie de l'excuser auprès de Nilsson.

Les enchères sont terminées pour ce lot. Voir les résultats