1968 – Jaguar Mk II 240 
Ajout hors catalogue

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Description

1968 – Jaguar Mk II 240

Ajout hors catalogue Merci de noter que la direction et le train avant sont à vérifier avant de prendre la route. Carte grise française Châssis n°IJ30518 Un des 159 exemplaires vendus en France Voiture saine et bien entretenue Idéal premier achat collection Présentée en 1959, la Mark II se définit à l'époque comme la berline de série la plus rapide du monde. Elle est une évolution de la Mk I qui fut la première berline Jaguar monocoque. La Mk II réussit à faire évoluer une ligne déjà très réussie, à la fois chic et sportive. L'automobile est homogène, beaucoup plus sportive que sa ligne élégante et cossue ne le laisse supposer. La Jaguar Mk II était proposée en trois cylindrées : 2,4 l, 3,4 l et 3,8 l, avec des transmissions manuelles, avec ou sans overdrive, ou automatiques, surtout destinées aux Etats-Unis. Ce modèle a été marqué par le développement de quelques innovations techniques marquantes. Elle fut en effet la première automobile à coque autoporteuse de la marque, munie de suspension à roues indépendantes à l'arrière et des freins à disques aux quatre roues. La voie arrière plus large que celle de la Mk I améliorait la tenue de route de l'auto. La Mk II arriva aussi au moment de la mise en service du réseau autoroutier qui permettait de cruiser en tout confort à plus de 160 km/h. Son luxe et son confort intérieur offraient standing et volupté. Lorsqu’en 1967 les ventes de Mk II s’essoufflent, Jaguar prolongera l’existence du modèle en leur apposant de nouveaux badges 240 et 340. Ils assureront l’intérim jusqu’à l’introduction de la XJ6.  Le modèle que nous vous présentons est une Jaguar Mk II 240 immatriculée pour la première fois le 1 er octobre 1968. Restaurée il y a une dizaine d’années, cette auto fut repeinte dans sa teinte Old English White et nous notons que, plus récemment, les bas de caisse et les longerons furent à leur tour refaits. Les roues fils chromées brillent d’un bel éclat et la sellerie et les moquettes ont également été refaits (nous avons noté un défaut au niveau du siège conducteur). Depuis cette restauration esthétique, notre Jaguar a aussi bénéficié d’une large révision mécanique. Prises de compressions, contrôle de la pompe à eau, réglage des soupapes, dépose et traitement du radiateur, changement complet de l’allumage, trains roulants, embrayage, système de freinage, etc… Le 6-cylindre tourne très rond et prend bien ses tours. Le futur acquéreur devra néanmoins réviser la direction qui s’est avéré lors de notre essai, très lourde et floue. Avec seulement 159 exemplaires livrés par l’importateur français Royal Elysées, cette 240 est devenu une rareté très abordable procurant un rapport prix-plaisir de conduite inédit. 

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1968 – Jaguar Mk II 240

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