CINA - Periodo MING (1368 - 1644), XVI secolo Grande scatola rotonda in lacca rosso cinabro su corpo metallico con decorazione a rilievo sul coperchio di uno studioso in un padiglione e dei suoi servitori, sulla riva del fiume sotto i pini gru in volo e sulla riva steli di fiori tra le loro fronde sui lati. Interno e retro in lacca nera. Interno e rovescio in lacca nera. Diam. 33,5 cm. Altezza 8,3 cm. Esperto: Cabinet Portier et associés

COMMISSION ACHETEUR

Les acquéreurs paieront en sus des enchères les frais et taxes suivantes :

Vente volontaire 21.8% T.T.C - Vente judiciaire 14,28%.

MODALITÉS DE PAIEMENT

Le paiement se fait au comptant pour l'intégralité du prix, frais et taxes comprises. L'adjudicataire pourra s'acquitter par les moyens suivants:

- espèces jusqu'à 1000 euros frais et taxes compris (15 000 euros lorsque le débiteur justifie qu'il n'a pas son domicile fiscal en France et qu'il n'agit pas pour les besoins d'une activité professionnelle).

- chèques français établis à l'ordre de SVV POUSSE CORNET. Les chèques étrangers ne sont pas acceptés.

- virement bancaire : RIB ou IBAN sur demande à l'Étude

- Carte bancaire

IDENTITÉ DE L'ACHETEUR

Tout adjudicataire doit donner son nom et son adresse en présentant une pièce d'identité pour la bonne tenue du procès-verbal.

DÉLIVRANCE DES LOTS ACHETÉS

Les lots ne seront délivrés à l'acquéreur qu'après paiement intégral du prix, des frais et taxes. En cas de paiement par chèque non certifié, la délivrance des objets pourra être différée à l'encaissement définitif. Les lots adjugés demeureront aux risques, frais et périls des adjudicataires, dès l'adjudication prononcée, alors même que leur délivrance n'aurait pas lieu.

RETRAIT DES ACHATS

Les achats sont à retirer sur place le soir de la vente ou dans les dix jours suivants (horaires d'ouverture : du lundi au vendredi de 9h00 à 12h00 et de 14h00 à 18h00). Au-delà, des frais de magasinage seront facturés, 10€ par jour. Dans tous les cas, les objets sont sous votre entière responsabilité et nous déclinons toute responsabilité en cas de perte ou de dégradation lors du transport ou du stockage dans nos locaux.

GARANTIES

Conformément à la loi, les indications portées au catalogue, compte tenu des rectifications annoncées au moment de la vente et portées au procès-verbal de la vente, engagent la responsabilité du Commissaire-priseur ainsi que celle des éventuels experts ayant décrit le lot. Le délai de prescription des actions en responsabilité civile engagées à l'occasion des ventes volontaires est de cinq ans à compter de l'adjudication. Les objets sont vendus en l'état.

L'exposition préalable de la vente ayant permis aux acquéreurs l'examen des objets présentés, aucune réclamation ne sera admise une fois l'adjudication prononcée. Les dimensions et poids sont donnés à titre indicatif, ainsi que les indications sur l'existence d'une restauration ou d'un défaut. L'absence d'indication de restauration ou de défaut ne garantit pas que le bien en soit exempt. Inversement la mention de quelques défauts n'implique pas l'absence de tout autre défaut. Les reproductions au catalogue sont aussi fidèles que possible à la réalité mais n'ont pas valeur contractuelle, la proportion des objets pouvant ne pas être respectée et une différence de tons ou de coloris étant possible.

ASSURANCE

Dès l'adjudication, l'objet est sous l'entière responsabilité de l'adjudicataire. L'acquéreur est chargé de faire assurer ses acquisitions lui-même. Le Commissaire-priseur décline toute responsabilité quant aux dommages que l'objet acquis pourrait encourir, et ceci dès l'adjudication prononcée.

DÉFAUT DE PAIEMENT

A défaut de paiement par l'adjudicataire, après mise en demeure restée infructueuse, le vendeur peut dans un délai de trois mois suivant la vente, opter pour la remise en vente sur folle enchère de l'adjudicataire défaillant, soit pour la résolution de plein droit de la vente. En cas de remise en vente, l'adjudicataire défaillant devra acquitter la différence entre le prix pour lequel il s'était porté acquéreur et le prix définitivement obtenu lors de la remise en vente. Dans tous les cas, l'adjudicataire défaillant pourra être redevable de dommages et intérêts.

Par ailleurs, le commissaire priseur se réserve le droit de procéder à toute compensation avec les sommes dues à l'adjudicataire défaillant.

ORDRE D'ACHAT ET ENCHÈRES TÉLÉPHONIQUES

Les ordres d'achat et enchères téléphoniques sont un service rendu par le commissaire priseur. Ils ne seront pris en considération que confirmés par écrit, accompagnés d'une photocopie de la pièce d'identité de l'enchérisseur ainsi que d'un moyen de paiement, reçus au moins 24 heures avant le début de la vente. L’étude décline toute responsabilité en cas d'omission d'exécution d'un ordre d'achat, au cas où la communication n'aurait pu être établie ou d'erreur relative à la réception des enchères par téléphone.

EXPORTATION

L'exportation de certains biens hors de France, que cela soit vers un pays membre de la communauté européenne ou non, est subordonnée à la délivrance d'un certificat par le Ministère de la Culture (décret n° 2004-709 modifiant le décret 93-124) qu'il est de la responsabilité de l'adjudicataire de demander. Le fait qu'une autorisation d'exporter soit tardive ou refusée ne pourra pas justifier l'annulation de la vente, ni aucun retard de paiement du montant dû.

DROIT DE PRÉEMPTION DE L'ÉTAT FRANÇAIS

L'État français dispose d'un droit de préemption des œuvres vendues. L'exercice de ce droit intervient immédiatement après l'adjudication, le représentant de l'État manifestant alors la volonté de ce dernier de se substituer au dernier enchérisseur et devant confirmer la préemption dans les 15 jours.

La straordinaria spada d'oro di Constantin GRAVIER, comte de Vergennes, capitano-colonnello delle Gardes de la Porte 1815.

Il 30 settembre 1815, il re Luigi XVIII decretò lo scioglimento della compagnia delle Gardes de la Porte. In questa occasione, Constantin GRAVIER, Comte de Vergennes, capitano-colonnello di questa prestigiosa compagnia, riceve una spada d'oro in ricordo del suo lungo servizio nelle Guardie.

Questo dono, probabilmente di origine reale, si presenta sotto forma di una magnifica spada con un'elsa d'oro finemente cesellata che raffigura illustri reali, tra cui lo stesso Luigi XVIII, nonché divinità antiche come Atena, Apollo e Niké, e gli elementi decorativi neoclassici molto in voga durante l'Impero sotto l'impulso del pittore David e degli architetti Percier & Fontaine. La lama è incisa in oro su fondo azzurrato: " La compagnie des Gardes de la Porte du Roi " su un lato, "Au Comte de Vergennes capitaine-colonel.¹ novembre 1815". Questa

spada, rimasta in famiglia fino ad oggi, fa parte di quello che i suoi membri chiamavano "il tesoro di Vergennes"

In quanto tale, questa spada è emblematica del periodo del ritorno della regalità e dei Borboni dopo i Cento Giorni, un periodo in cui i simboli in voga sotto l'Impero non erano ancora stati cancellati. Ovunque, su edifici, mobili, documenti ufficiali e persino sulle armi dei soldati, la vituperata aquila fu sostituita dai fleurs-de-lis reali.Come scrive Henri Vever nella sua storia della gioielleria francese del XIX secolo, pubblicata nel 1906 (1) (La bijouterie française au XIXe siècle 1800-1900), "Subito dopo la caduta dell'Impero, i Borboni tornarono in Francia senza alcun gusto per l'arte e il fasto.

Realizzata in oro, l'elsa presenta diversi punzoni che purtroppo sono piuttosto sbiaditi. Mentre uno di essi, che compare quattro volte, riporta il "Tête de bébé 2", un marchio non ufficiale utilizzato dagli orafi parigini sui loro pezzi d'oro di secondo titolo, il marchio del maestro orafo, una caratteristica losanga, è completamente illeggibile, rendendo impossibile l'identificazione definitiva dell'orafo che ha creato un tale capolavoro di finezza, scultura e inseguimento.

Tuttavia, in questo periodo cruciale tra due regimi, un periodo di turbolenza se mai ce ne fu uno, il numero di argentieri capaci di un tale risultato si poteva contare sulle dita di una mano. Tra questi, Boutet, Odiot e Biennais, e persino Nitot fils. Erano tutti maestri orafi che avevano lavorato a lungo per il regime precedente e Napoleone aveva indubbiamente fatto la loro fortuna. Vi erano anche altri argentieri più modesti ma altrettanto competenti.

Gli elementi decorativiUno

studio meticoloso degli elementi decorativi di questa spada rivela che sono in linea con il repertorio neoclassico di Charles Percier: linee molto pulite sottolineate da filetti, cerchi, figure mitologiche, divinità greche o romane, ma anche figure egizie come la sfinge o la chimera, molto comuni nell'opera di questo architetto, motivi floreali, foglie di alloro, foglie d'acanto, antiche rosette romane e anche i simboli del regime, l'aquila o l'ape sotto l'Impero, sostituiti dal fleur-de-lys durante la Restaurazione.

Il pomoA

forma tronco-conica, è decorato su ciascun lato con una chimera alata con testa di leone e coda di serpente, un motivo ricorrente nell'opera di Percier & Fontaine. La parte superiore ovale raffigura un ritratto di profilo del re Enrico IV con una testa di alloro in un medaglione perlato. Cosa c'è di più naturale nel 1815, anno del ritorno dei Borboni, che raffigurare il fondatore della dinastia?

La miccia

tipica dell'opera di Biennais: un medaglione centrale perlato su ogni lato, al dritto (lato piastra di guardia) raffigurante Luigi XVIII di profilo, testa a sinistra, sormontato da un fascio di bandiere incorniciato da una foglia di palma e da una foglia di alloro e sormontato da una rosetta, sotto le insegne delle Guardie della porta: "Due chiavi in saltire accompagnate al centro da una spada in pallido puntata verso l'alto sormontata da una corona con un sole raggiante che brocca il tutto" . Al rovescio, il medaglione è decorato con una scena mitologica in cui la dea Atena, simbolo della saggezza, della strategia militare, delle arti e dell'industria, riceve una corona di alloro dalla dea Niké, messaggera della vittoria. Questa scena simboleggia la stretta relazione tra saggezza e vittoria ed è sormontata da una palma e da una foglia di alloro e da una figura femminile alata che rappresenta la vittoria e che tiene una corona di alloro in ogni mano. Sotto il medaglione, il grande stemma della Francia formato da tre fleurs-de-lys in campo azzurro in uno scudo sormontato da un trofeo d'armi. La simmetria tra i due lati è perfetta. I bordi sono decorati da una ghirlanda di foglie di alloro con una rosetta al centro. L'intera miccia ha un fondo amati, che accentua il rilievo degli elementi decorativi.

ramo di guardia

è particolarmente elaborato: è rappresentato sotto forma di due serpenti intrecciati, la cui unica coda forma il quillon curvo e le cui due teste si avvolgono intorno alla base del pomo. Nella mitologia, in particolare quella egizia, il serpente è simbolo di rinascita e rigenerazione, ma anche di forza e potenza. La parte centrale dell'arco del ramo è una rappresentazione della dea Atena elmata con l'egida ornata al centro dalla testa di Medusa, i cui capelli sono formati da serpenti.