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Null [ENLUMINURE]. [LIVRE DE CHŒUR].
Deux initiales historiées extraites d’un li…

Description

[ENLUMINURE]. [LIVRE DE CHŒUR]. Deux initiales historiées extraites d’un livre de chœur. - Initiale C historiée : Mise au tombeau. Dimensions : 98 x 90 mm - Initiale C historiée : Vierge aux sept douleurs, son cœur transpercé de sept glaives. Tempera, encre et or liquide sur parchemin. Espagne (?), vers 1550-1600 Dimensions de chaque initiale : 100 x 93 mm ; 103 x 110 mm Bon état général.

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[ENLUMINURE]. [LIVRE DE CHŒUR]. Deux initiales historiées extraites d’un livre de chœur. - Initiale C historiée : Mise au tombeau. Dimensions : 98 x 90 mm - Initiale C historiée : Vierge aux sept douleurs, son cœur transpercé de sept glaives. Tempera, encre et or liquide sur parchemin. Espagne (?), vers 1550-1600 Dimensions de chaque initiale : 100 x 93 mm ; 103 x 110 mm Bon état général.

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Estim. 2 500 - 4 500 EUR

CHOPARD MILLE MIGLIA. GRAND PRIX HISTORIQUE DE MONACO. REF. 16/1256. Édition limitée à 250 exemplaires Montre bracelet en or gris 18K (750) sur cuir avec chronographe. Modèle né du partenariat entre Chopard et le Grand Prix de Monaco. Boîtier : rond, fond vissé saphir. Cadran : noir avec index chiffres arabes et aiguilles lumineux. Deux compteurs blancs pour les 30 minutes et les 12 heures du chrono. Logo du Monaco Automobile Club à 6h. Mouvement : automatique, cal. 1188. Bracelet cuir perforé avec boucle déployante en acier signée Chopard. Cadran, boîtier et mouvement signés. Numérotée 1084355 et 221/250. Diam. : 40 mm Poids brut : 124,3 g

Estim. 6 000 - 8 000 EUR

SERGE MOUILLE (1922-1988) POUR UN INTÉRIEUR DÉCORÉ PAR LOUIS SOGNOT (1882-1970) À PARIS VII Cocotte, le modèle conçu vers [1957], notre épreuve laquée blanc d’origine, le seul (ou l’un des seuls) exemplaire(s) réalisé(s) à l’époque et connu(s) à ce jour Très rare version de lampe à lumière orientable et pouvant former applique (par accrochage). La base en V réalisée en métal plein et laquée blanc d’origine. Le fût en métal tubulaire et laqué blanc d’origine ; terminé à sa sortie par une bague de laiton et recevant en partie haute une rotule de type Olive petit modèle et une rondelle en laiton d’origine. Le cache-ampoule ogival en aluminium laqué blanc d’origine (extérieur et intérieur) ; complet de sa languette intérieure destinée à recevoir la douille. Édition ancienne de la fin des années 1950. État d’usage, importants manques, sauts, soulèvements et rayures à la laque blanche, taches, oxydations aux parties ferreuses (base et fût) et à la rotule. Hauteur : + ou - 30 cm – Longueur : 34 cm Provenance : - M. et Mme X., Paris. Œuvre s’inscrivant dans une décoration conçue par Louis Sognot à la fin des années 1950 pour leur appartement du VIIe arrondissement à Paris. - Mme X., Paris. Arrière-petite fille des précédents. Œuvre détenue par voie de descendance. Bibliographie : - Pierre Émile Pralus – Serge Mouille – Un classique français – Les Éditions du Mont Thou, Saint-Cyr-au-Mont-d’Or, 2006. Une lampe Cocotte, version noire, reproduite page 206 ; l’historique du modèle décrit à la même page. - Collectif - Jean Prouvé/Serge Mouille, deux maîtres du métal – Catalogue de l’exposition organisée en mai 1985 à la Galerie De Lorenzo à New-York puis à l’automne à la Galerie Alan et Christine Counord à Paris, édition bilingue des deux galeries, Paris, 1985. Une lampe Cocotte, version noire, reproduite page 130 (ill. 2). - Alan et Christine Counord – Serge Mouille – Luminaires 1953-1962 – Édition Galerie 1950, Paris, 1983. Une lampe Cocotte, version noire, reproduite page 41.

Estim. 30 000 - 50 000 EUR

ATELIERS JEAN PROUVÉ D’APRÈS UN MODÈLE DE PIÈTEMENT INITIALEMENT CONÇU PAR JEAN PROUVÉ (1901-1984) Tabouret à dossier, la réalisation par les Ateliers Jean Prouvé à partir de [1954] Deux chaises de travail pivotantes et réglables en hauteur. Les bases quadripodes en tôle d’acier pliée et laquée vert au four ; chaque pied terminé par un patin circulaire en métal. Les fûts centraux constitués de deux parties cylindriques en tôle d’acier laquée vert et assorties chacune d’un système de pas de vis interne permettant le réglage en hauteur. Les repose-pieds en lame d’acier cintré laquée et accueillant chacun un parement en aluminium (manquant) ; les patères cylindriques en tôle d’acier laquée vert également. Les assises circulaires et les dosserets légèrement cintrés en contreplaqué ; les dosserets maintenant par des pastilles d’aluminium (deux manquantes sur l’un des sièges, une remplacée sur l’autre). Les bras de maintien cylindriques des dosserets en tôle d’acier laquée vert au four. Vers 1954. État d’usage, importants manques et usures à la laque verte, taches, rayures et manques sur les parties en contreplaqué, manquent deux pastilles en aluminium d’origine sur un des sièges et une remplacée sur l’autre, manquent les bandeaux en aluminium sur les repose-pieds. Hauteur : + ou – 92 cm Diamètre de l’assise : 32 cm Archives : Archives Jean Prouvé - Départementales de Meurthe-et-Moselle, Nancy – Le plan de notre modèle de tabouret (à dossier) est conservée dans cette institution sous le numéro 186.193. Bibliographie : - Peter Sulzer - Jean Prouvé œuvre complète, vol.3, 1944-1954 – Éditions Birkhäuser, Bâle, 2005. Un modèle identique reproduit page 258 sous la référence et l’illustration 1239. - Jacques Barsac – Charlotte Perriand – L’œuvre complète, volume 3, 1956-1968 – Archives Charlotte Perriand & Éditions Norma, 2017. Un siège décrit comme prototype de notre modèle de tabouret à dossier figurant sur une photographie de l’appartement de Charlotte Perriand, situé rue Las Cases Paris VII, reproduite page 319.

Estim. 30 000 - 50 000 EUR

ATELIERS JEAN PROUVÉ D’APRÈS UN MODÈLE DE PIÈTEMENT INITIALEMENT CONÇU PAR JEAN PROUVÉ (1901-1984) Tabouret à dossier, la réalisation par les Ateliers Jean Prouvé à partir de [1954] Deux chaises de travail pivotantes et réglables en hauteur. Les bases quadripodes en tôle d’acier pliée et laquée vert au four ; chaque pied terminé par un patin circulaire en métal. Les fûts centraux constitués de deux parties cylindriques en tôle d’acier laquée vert et assorties chacune d’un système de pas de vis interne (un défectueux) permettant le réglage en hauteur. Les repose-pieds en lame d’acier cintré laquée et accueillant chacun un parement en aluminium (manquant) ; les patères cylindriques en tôle d’acier laquée vert également. Les assises circulaires et les dosserets légèrement cintrés en contreplaqué ; les dosserets maintenant par des pastilles d’aluminium (manquantes et remplacées sur l’un des sièges). Les bras de maintien cylindriques des dosserets en tôle d’acier laquée vert au four. Vers 1954. État d’usage, importants manques et usures à la laque verte, taches, rayures et manques sur les parties en contreplaqué, manquent les pastilles en aluminium d’origine sur l’un des sièges, système de réglable en hauteur défectueux sur l’un des sièges, manquent les bandeaux en aluminium sur les repose-pieds. Hauteur : + ou – 92 cm Diamètre de l’assise : 32 cm Archives : Archives Jean Prouvé - Départementales de Meurthe-et-Moselle, Nancy – Le plan de notre modèle de tabouret (à dossier) est conservée dans cette institution sous le numéro 186.193. Bibliographie : - Peter Sulzer - Jean Prouvé œuvre complète, vol.3, 1944-1954 – Éditions Birkhäuser, Bâle, 2005. Un modèle identique reproduit page 258 sous la référence et l’illustration 1239. - Jacques Barsac – Charlotte Perriand – L’œuvre complète, volume 3, 1956-1968 – Archives Charlotte Perriand & Éditions Norma, 2017. Un siège décrit comme prototype de notre modèle de tabouret à dossier figurant sur une photographie de l’appartement de Charlotte Perriand, situé rue Las Cases Paris VII, reproduite page 319.

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