Null Joaquin SOROLLA Y BASTIDA (1863-1923)
Les roses blanches, 1916-1919
Huile s…
Description

Joaquin SOROLLA Y BASTIDA (1863-1923) Les roses blanches, 1916-1919 Huile sur toile, signée en bas à droite. Porte une inscription au verso « Donné par BM à Geneviève en 1965 ». 63 x 75 cm (63 x 91,5 cm) Lignes de craquelures verticales. Montée sur un châssis réduisant la composition. Provenance : - Septima D'URSEL (1883-1970) - Donné à sa belle-fille Geneviève V. en 1965 - Par descendance à l'actuel propriétaire OEuvres en rapport : - Les roses de la Maison Sorolla, Collections du Musée Sorolla, MS 1240 BPS 3405. - Les Lys, Collections du Musée Sorolla, MS 1245 BPS 3410. Nous remercions vivement Madame Blanca Pons-Sorolla de nous avoir confirmé l'authenticité de cette oeuvre, ainsi que pour les précieuses informations qu'elle nous a transmises. L'oeuvre sera incluse dans le 4ème volume du catalogue raisonné en préparation, par Madame Blanca Pons- Sorolla sous le nº BPS 3151. Joaquín Sorolla réalise cette toile entre 1916 et 1919, en prenant pour modèle les fleurs du jardin de sa demeure madrilène qui abrite aujourd'hui le Musée Sorolla. Construit dès 1910 selon les désirs du peintre, ce jardin, dont la disposition est typique des jardins espagnols, est un sujet de prédilection de l'artiste, qui en croque différents points de vue entre 1916 et 1920. Les roses, par leur vertueuse blancheur, irradient la toile de lumière, faisant ressortir toute leur force symbolique aux yeux du spectateur. « Le Maître de la lumière » comme le décrit Claude Monet, dans ses roses ne sont pas sans évoquer les célèbres Nymphéas.Joaquin SOROLLA Y BASTIDA (1863-1923) Les roses blanches, 1916-1919 Huile sur toile, signée en bas à droite. Porte une inscription au verso « Donné par BM à Geneviève en 1965 ». 63 x 75 cm (63 x 91,5 cm) Lignes de craquelures verticales. Montée sur un châssis réduisant la composition. 15 000 / 20 000 € Provenance : - Septima D'URSEL (1883-1970) - Donné à sa belle-fille Geneviève V. en 1965 - Par descendance à l'actuel propriétaire OEuvres en rapport : - Les roses de la Maison Sorolla, Collections du Musée Sorolla, MS 1240 BPS 3405. - Les Lys, Collections du Musée Sorolla, MS 1245 BPS 3410. Nous remercions vivement Madame Blanca Pons-Sorolla de nous avoir confirmé l'authenticité de cette oeuvre, ainsi que pour les précieuses informations qu'elle nous a transmises. L'oeuvre sera incluse dans le 4ème volume du catalogue raisonné en préparation, par Madame Blanca Pons- Sorolla sous le nº BPS 3151. Joaquín Sorolla réalise cette toile entre 1916 et 1919, en prenant pour modèle les fleurs du jardin de sa demeure madrilène qui abrite aujourd'hui le Musée Sorolla. Construit dès 1910 selon les désirs du peintre, ce jardin, dont la disposition est typique des jardins espagnols, est un sujet de prédilection de l'artiste, qui en croque différents points de vue entre 1916 et 1920. Les roses, par leur vertueuse blancheur, irradient la toile de lumière, faisant ressortir toute leur force symbolique aux yeux du spectateur. « Le Maître de la lumière » comme le décrit Claude Monet, dans ses roses ne sont pas sans évoquer les célèbres Nymphéas.

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Joaquin SOROLLA Y BASTIDA (1863-1923) Les roses blanches, 1916-1919 Huile sur toile, signée en bas à droite. Porte une inscription au verso « Donné par BM à Geneviève en 1965 ». 63 x 75 cm (63 x 91,5 cm) Lignes de craquelures verticales. Montée sur un châssis réduisant la composition. Provenance : - Septima D'URSEL (1883-1970) - Donné à sa belle-fille Geneviève V. en 1965 - Par descendance à l'actuel propriétaire OEuvres en rapport : - Les roses de la Maison Sorolla, Collections du Musée Sorolla, MS 1240 BPS 3405. - Les Lys, Collections du Musée Sorolla, MS 1245 BPS 3410. Nous remercions vivement Madame Blanca Pons-Sorolla de nous avoir confirmé l'authenticité de cette oeuvre, ainsi que pour les précieuses informations qu'elle nous a transmises. L'oeuvre sera incluse dans le 4ème volume du catalogue raisonné en préparation, par Madame Blanca Pons- Sorolla sous le nº BPS 3151. Joaquín Sorolla réalise cette toile entre 1916 et 1919, en prenant pour modèle les fleurs du jardin de sa demeure madrilène qui abrite aujourd'hui le Musée Sorolla. Construit dès 1910 selon les désirs du peintre, ce jardin, dont la disposition est typique des jardins espagnols, est un sujet de prédilection de l'artiste, qui en croque différents points de vue entre 1916 et 1920. Les roses, par leur vertueuse blancheur, irradient la toile de lumière, faisant ressortir toute leur force symbolique aux yeux du spectateur. « Le Maître de la lumière » comme le décrit Claude Monet, dans ses roses ne sont pas sans évoquer les célèbres Nymphéas.Joaquin SOROLLA Y BASTIDA (1863-1923) Les roses blanches, 1916-1919 Huile sur toile, signée en bas à droite. Porte une inscription au verso « Donné par BM à Geneviève en 1965 ». 63 x 75 cm (63 x 91,5 cm) Lignes de craquelures verticales. Montée sur un châssis réduisant la composition. 15 000 / 20 000 € Provenance : - Septima D'URSEL (1883-1970) - Donné à sa belle-fille Geneviève V. en 1965 - Par descendance à l'actuel propriétaire OEuvres en rapport : - Les roses de la Maison Sorolla, Collections du Musée Sorolla, MS 1240 BPS 3405. - Les Lys, Collections du Musée Sorolla, MS 1245 BPS 3410. Nous remercions vivement Madame Blanca Pons-Sorolla de nous avoir confirmé l'authenticité de cette oeuvre, ainsi que pour les précieuses informations qu'elle nous a transmises. L'oeuvre sera incluse dans le 4ème volume du catalogue raisonné en préparation, par Madame Blanca Pons- Sorolla sous le nº BPS 3151. Joaquín Sorolla réalise cette toile entre 1916 et 1919, en prenant pour modèle les fleurs du jardin de sa demeure madrilène qui abrite aujourd'hui le Musée Sorolla. Construit dès 1910 selon les désirs du peintre, ce jardin, dont la disposition est typique des jardins espagnols, est un sujet de prédilection de l'artiste, qui en croque différents points de vue entre 1916 et 1920. Les roses, par leur vertueuse blancheur, irradient la toile de lumière, faisant ressortir toute leur force symbolique aux yeux du spectateur. « Le Maître de la lumière » comme le décrit Claude Monet, dans ses roses ne sont pas sans évoquer les célèbres Nymphéas.

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