Exceptionnelle Crédence néo-Renaissance France Circa 1870 Noyer Hauteur : 183,5 cm ; Largeur : 171 cm ; Profondeur : 44 cm Exceptionnelle crédence en noyer richement sculpté, dans le style de la Renaissance. La partie haute est divisée en six compartiments répartis sur deux étages, ponctués de colonnes cannelées à chapiteaux corinthiens et arcatures, et surmontés d’un entablement sculpté à profils en médaillons en nymphe. La partie basse ouvre à trois vantaux, ornés de motifs feuillagés à mascarons, personnages hybrides tenant un sceptre et de figures en haut relief, reposant sur quatre forts pieds posés sur un emmarchement. Commentaire : Notre meuble s’inscrit dans le style Néo-Renaissance, apparu dans les années 1830 avec l’ornemaniste Claude-Aimé Chenavard (1798-1838), puis développé notamment par le décorateur Michel Liénard (1810-1870). Ce style succède au culte du Moyen-Âge et au néo-gothique, et connaît un succès durable. Les sources d’inspiration sont nombreuses en France, et la richesse iconographique du maniérisme flatte le goût du Second Empire. Les ébénistes s’inspirent notamment de la période Henri II et privilégient l’usage de bois massif sombre richement sculpté. Notre cabinet est un bel exemple de l’esprit d’interprétation et de synthèse qui prédomine alors. Il associe le classicisme de la Renaissance, par ses thèmes mythologiques et la rigueur de sa structure architecturée, avec une certaine exubérance héritée du romantisme du XIXe siècle.
Exceptionnelle Crédence néo-Renaissance France Circa 1870 Noyer Hauteur : 183,5 cm ; Largeur : 171 cm ; Profondeur : 44 cm Exceptionnelle crédence en noyer richement sculpté, dans le style de la Renaissance. La partie haute est divisée en six compartiments répartis sur deux étages, ponctués de colonnes cannelées à chapiteaux corinthiens et arcatures, et surmontés d’un entablement sculpté à profils en médaillons en nymphe. La partie basse ouvre à trois vantaux, ornés de motifs feuillagés à mascarons, personnages hybrides tenant un sceptre et de figures en haut relief, reposant sur quatre forts pieds posés sur un emmarchement. Commentaire : Notre meuble s’inscrit dans le style Néo-Renaissance, apparu dans les années 1830 avec l’ornemaniste Claude-Aimé Chenavard (1798-1838), puis développé notamment par le décorateur Michel Liénard (1810-1870). Ce style succède au culte du Moyen-Âge et au néo-gothique, et connaît un succès durable. Les sources d’inspiration sont nombreuses en France, et la richesse iconographique du maniérisme flatte le goût du Second Empire. Les ébénistes s’inspirent notamment de la période Henri II et privilégient l’usage de bois massif sombre richement sculpté. Notre cabinet est un bel exemple de l’esprit d’interprétation et de synthèse qui prédomine alors. Il associe le classicisme de la Renaissance, par ses thèmes mythologiques et la rigueur de sa structure architecturée, avec une certaine exubérance héritée du romantisme du XIXe siècle.
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