Les œuvres des galeries

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Paire de lampes Napoléon III France Circa 1860 Verre églomisé, Bronze doré Hauteur : 77 cm ; Diamètre : 16,5 cm Paire de lampes en verre églomisé et bronze doré. Panse à motifs de feuilles et pampres de vigne en camaïeu brun-doré sur fond vert moiré. Col en bronze doré à motifs de lambrequins et raies de cœur, surmonté d’un globe en verre dépoli. Base ajourée ornée de rinceaux fleuris et ajourés. La technique du verre églomisé remonte à l’Antiquité. Elle consiste à fixer une mince feuille d’or ou d’argent sous le verre ; le dessin est exécuté à la pointe sèche et maintenu par une deuxième couche ou une plaque de verre. Ce procédé était utilisé en Bohême sous le nom de « Zwischengoldglasser ». En France, c’est sous Louis XV que l’encadreur parisien Jean-Baptiste Glomy (vers 1711-1786) remit ce procédé à la mode. Il utilisa notamment cette technique pour encadrer ses gravures en les entourant d’un filet d’or, donnant par la suite son nom au procédé. Il l’appliqua au passe-partout des gravures et connut un tel succès que le verre églomisé perpétua son nom. Au XIXème siècle, divers décorateurs combinèrent cette dorure avec de la gravure et des peintures sous verre. Ils réalisèrent ainsi des ornements destinés à couvrir le plafond, les murs et la devanture des magasins. De véritables chefs-d’œuvres ont égayé les rues du Paris de la Belle Epoque puis de toutes les grandes villes du monde. Ils portent les signatures oubliées d’Anselm, Benoist et fils, Panzani, Raybaud, Thivet, Dailland, Dewever et de bien d’autres.

6 500 EUR

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Ender - Action May 68, 2018, Technique mixte sur la couverture originale du magazine «Action», 54 × 37 cm 42 artistes d’art urbain s’expriment sur des unes originales d’Action journal militant de Mai 68.  Fondée à Paris par Claude Kunetz en 2011, la Galerie Wallworks s’est rapidement fait une place sur la scène du graffiti art avec des solo-shows consacrés à des graffeurs français (Nebay, Tilt) ou américains (Rime, Haze) et des group-shows pour lesquels les artistes sont invités à customiser du mobilier urbain. A l’origine producteur de cinéma, Claude Kunetz adapte son savoir-faire en production au montage d’expositions en rassemblant du mobilier urbain vintage qu’il confie comme supports de création à des artistes issus du mouvement graffiti et de l’art urbain. Avec “Ne Pas Effacer” (2012), ”Intérieur Rue” (2013), “Pièces détachées” (2014), “Morceaux de rue” (2015) et “Dehors Dedans” (2016), il s’est fait une spécialité de ces expositions pour lesquelles de nombreux graffeurs et street-artists interviennent sur tout type de mobilier urbain : cabines téléphoniques, boîtes aux lettres, feux de circulation, panneaux lumineux, lampadaires, plaques de métro, plaques émaillées de rue, rideaux de fer, arrêts d’autobus, panneaux de signalisation routiers et ferroviaires, banquettes de train, pièces détachées de voitures...  A l’occasion des 50 ans de Mai 68, il renouvelle l’expérience en confiant cette fois aux artistes des exemplaires originaux du journal Action. Créé par le journaliste Jean Schalit, Action sort son premier numéro le 7 mai 1968. Il sert de relais aux revendications de plusieurs mouvements étudiants et de comités d’action lycéens.  Les pages d’Action s’ouvrent à de nombreux dessinateurs comme Siné, Topor ou Wolinski. Conservés depuis 50 ans, tous ces documents ont été rassemblés à l’époque par Claude Kunetz lorsque, préadolescent, il vivait chez ses parents rue Gay-Lussac. Impressionné par l’effervescence des barricades qu’il observait depuis sa fenêtre, il a alors entrepris de collecter ces documents méthodiquement. L’exposition présente également une sélection de tracts et de documents de l’époque.

1 500 EUR

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Monkeybird - " Alcade " 65 x 50 cm Pochoir sur assemblage de bois anciens 2022 Unique par son procédé, cet authentique pochoir finement assemblé sur du bois noble, vestige d'un usage clandestin urbain révèle la minutie de la technique propre aux pochoiristes dévoilant ses secrets dans la plus pure tradition des maîtres artisans d'enluminure, de gravure ou de marqueterie. Cette dentelle de papier ravira les plus exigents d'entre vous en quête d'objets de collection confidentiels. Créé en 2012, le collectif Monkey Bird Crew (MBC) est formé de deux jeunes artistes originaires de Bordeaux qui sont Temor et Blow the Bird (ou The Blow). Pochoiristes reconnus pour la précision de leur trait et la finesse de la découpe, entièrement réalisée à la main, ils sont spécialisés dans les représentations d'architectures métaphysiques où l'Oiseau (« Blow ») et du Singe (« Temor ») cohabitent. S'inspirant à la fois des traités de géométrie, de mécanique, de cosmologie et d'astronomie, il décline leur travail en utilisant toutes sortes de médiums et supports, utilisant également l'enluminure et de la calligraphie. Par ailleurs, ils ont l'obsession de réintroduire une présence animale sur les murs des villes. Ces animaux, pas si différents de ceux présents dans les fameuses fables de La Fontaine, nous renvoient malicieusement à nos propres préoccupations humaines à michemin entre désir de liberté et d'élévation (symbolisé par l'Oiseau) et les obsessions matérielles et corporelles dont l'homme ne peut s'affranchir (le Singe). S'ils investissent les murs des villes (Paris où ils vivent, Lille, Bordeaux mais aussi Amsterdam, New Delhi et plusieurs villes du Mexique), ils produisent également des œuvres sur différents supports de récupération (bois, métal, verre) et sur papier

2 800 EUR

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Marie-Louise Bruyère - Fashion design, "Nymphéas" - Marie-Louise Bruyère, 1930s. Nymphéas, dessin de mode des années 1930 pour la collection de Marie-Louise Bruyère. Aquarelle sur papier gris. Mme Bruyère (1884 - après 1959) est née dans la campagne française, mais ses parents ambitieux se sont installés dans la banlieue parisienne en pleine expansion, où ils ont prospéré. Ils habitaient le quartier chic de Saint Gratien, où vivait également la princesse Mathilde (nièce de Napoléon Ier). Elle se forme auprès de Louise Cheruit puis de Jeanne Lanvin. En 1928, elle ouvre sa propre maison "Bruyère Couture" et, avec ses collections du début des années 1930, elle se place parmi les jeunes créateurs de son temps tels que Schiaparelli, Alix, Rochas et Mainbocher. Sa renommée s'étend au niveau international, ce qui lui permet d'ouvrir un grand salon sur la place Vendôme en 1937. Ses créations sont également exportées aux États-Unis. En 1932, le nom de Bruyère est le troisième plus connu dans les magasins de Manhattan (derrière Vionnet et Lanvin). Ses vêtements sont chics, très faciles à porter et surtout à la mode, avec des éléments de design subtils et inhabituels. Avec deux défilés par an de 200 modèles chacun, sa production est énorme et en 1947, elle compte 328 employés. Son entreprise se développe jusqu'au milieu des années 1950, lorsque la mode passe au prêt-à-porter, et la société ferme ses portes après quelques années. Prix : Euro 750,- (cadre inclus)

750 EUR

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Pinel de Grandchamp - Louis Emile Pinel de Grandchamp (Paris, 14 juillet 1820 - Beaune, 13 mars 1894), La Belle Orientale, huile sur toile, 35,5 x 27 cm Tableau signé en bas à droite : « Pinel de Grandchamp » Louis Emile Pinel de Grandchamp est un peintre orientaliste français ayant connu une carrière fleurissante de son vivant, laissant une œuvre variée de toiles orientalistes et de scènes de genres contemporaines, dont on ne peut que saluer la redécouverte. Notre tableau compte parmi les œuvres inspirées par les quinze années passées au Proche- Orient du peintre Louis Emile Pinel de Grandchamp. Après un apprentissage artistique complet mené dans les ateliers d’Hippolyte Dubois et d’Édouard Picot à l’école des Beaux-Arts, il quitte Paris en 1849 pour l’Egypte. Par la suite, il vit et travaille à Tunis et à Constantinople, où une prestigieuse clientèle composée de beys, vice-rois et hauts-fonctionnaires lui commandent leurs portraits. De retour en France, à partir de septembre 1865, Louis Emile Pinel de Grandchamp compose de charmants sujets orientalistes en vogue au Salon des Beaux-Arts de Paris où il fait son entrée l’année suivante. Pendant vingt ans, il participe assidûment au rendez-vous annuel du Salon, y présentant ses œuvres de 1866 à 1889. Sa vie durant, il expose également dans les capitales régionales : aux Salons des Beaux-Arts du Havre, de Lyon, de Dijon, de Chalon-sur- Saône, de Bordeaux et de Rouen. Ponctuellement, ses œuvres se retrouvent sur les cimaises des salons européens de Bruxelles et d’Anvers. En 1876, Louis Emile Pinel de Grandchamp figure parmi les meilleurs représentants de l’art français selon le comité organisateur de la section des Beaux-Arts de l’Exposition universelle de Philadelphie qui sélectionne sa Fantaisie Orientaliste. Son nom circule dans les milieux artistiques internationaux et ses œuvres sont accueillies avec enthousiasme par la critique, appréciées pour leurs effets de mouvements rendus par le traitement plastique de la lumière. Les nombreuses reproductions photographiques publiées dans le quotidien L’Art Contemporain et sous forme de carte-album par la compagnie Braun, Clément & Cie, successeurs et l’éditeur Adolphe Block témoignent de la grande visibilité des œuvres de Louis Emile Pinel de Grandchamp et de leurs circulations.

Prix sur demande

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Eugène Grasset - Froideur - Eugène Grasset, 1897. Froideur [coldness], lithographie dessinée par Eugène Grasset en 1897, publiée par G. de Malherbe. Taille : Ø 68,5 cm. De la série Dix Estampes Décoratives (caracteres de femmes, fleurs emblématiques) publiée dans une édition 750. Eugène Samuel Grasset (1841 -1917) était un artiste décorateur franco-suisse qui a travaillé à Paris, en France, dans divers domaines de la création à la Belle Époque. Il est considéré comme un pionnier du design Art nouveau. Fils d'un ébéniste et d'un sculpteur, il est élevé dans un environnement artistique. Il a étudié le dessin avec François Bocion (1828-1890) et est allé à Zürich en 1861 pour étudier l'architecture. Il devient un admirateur de l'art japonais, qui influence certaines de ses créations. Entre 1869 et 1870, Grasset travaille comme peintre et sculpteur à Lausanne. Il s'installe à Paris en 1871 où il conçoit des meubles, des tissus et des tapisseries, ainsi que des céramiques et des bijoux. Ses pièces d'art décoratif étaient fabriquées à partir d'ivoire, d'or et d'autres matériaux précieux dans des combinaisons uniques et ses créations sont considérées comme la pierre angulaire des motifs et des dessins de l'Art nouveau. En 1877, Eugène Grasset s'est tourné vers le graphisme, produisant des produits générateurs de revenus tels que des cartes postales et éventuellement des timbres-poste pour la France et la Suisse. Cependant, c'est l'art de l'affiche qui devient rapidement son point fort. Certaines de ses œuvres font partie des Maîtres de l'Affiche. Grasset a passé la majeure partie de ses dernières années à enseigner dans diverses écoles de Paris. Nombre de ses élèves deviendront eux-mêmes d'éminents artistes, sans surprise, dont beaucoup au sein du mouvement Art nouveau. Sa polyvalence, ses instincts et ses capacités n'ont pas seulement influencé ceux à qui il a enseigné, mais aussi des artistes éminents comme Alphonse Mucha, et ont laissé une marque émouvante sur les arts et les artistes qui ont suivi. Prix : Euro 1.850,- (Cadre inclus)

1 850 EUR

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PAIRE D'APPLIQUES ROYALES EN BRONZE DORÉ À DEUX LUMIÈRES D'ÉPOQUE LOUIS XVI Provenant de la chambre à coucher de la reine Marie-Amélie au château d'Eu Époque Louis XVI, Paris, vers 1785. Marques aux fers : EU sous couronne royale, surmontant les numéros d'inventaire 1558 et 1559, visibles sur le côté gauche de chaque applique. H. 54,5 x L. 37,5 cm. Provenance - Probablement Jean-Jacques Régis de Cambacérès (1753-1824), duc de Parme, provenant des hôtels d'Elbeuf et de Roquelaure avant 1816. - Collection de la duchesse douairière d'Orléans, née Louise-Marie-Adélaïde de Bourbon-Penthièvre (1753-1821). - Par descendance, à son fils Louis-Philippe d'Orléans (1773-1850), futur roi Louis-Philippe Ier, au château d'Eu à partir de 1821. - Mentionnées dans l'inventaire de 1841 du château d'Eu (Archives nationales, 300 AP 1-1595) dans la « Chambre à coucher de Sa Majesté la Reine ». - Probablement ventes de la succession du roi Louis-Philippe, Christie's Londres, 5 mai 1853 ou 5-6 juin 1857. - Galerie Perrin, Paris. - Collection privée, France. Archives Un inventaire du garde-meuble du Roi au château d'Eu, énumérant les entrées avant 1841, mentionne nos bras de lumières dans les appartements de la reine Marie-Amélie, et plus précisément dans la « Chambre à coucher de Sa Majesté la Reine » (Archives nationales, 300 AP 1-1595) : - 1558 1 bras doré, forme ancienne, surmonté d'un vase, 2 lumières. - 1559 1 bras idem. Historique La traçabilité de notre paire de bras de lumière est quasiment certaine à partir de 1816, par sa présence dans l'inventaire de 1841, mais elle reste non établie pour la période antérieure. Cependant, certains constats nous permettent légitimement d'en tracer l'histoire, jusqu'à remonter à l'époque de leur fabrication sous le règne de Louis XVI (1774-1792). Bien différentes du style Louis-Philippe de la chambre de la Reine au château d'Eu, nos appliques décrite de "forme ancienne" dans l'inventaire de 1841 sont incontestablement d'époque Louis XVI, le travail de la ciselure du bronze doré étant même de très haute qualité. Il est très probable qu'elles proviennent de la succession de la mère du roi Louis-Philippe, la duchesse douairière d'Orléans, fille du duc de Penthièvre. En effet, Louis-Philippe et sa soeur Adélaïde vont hériter de leur mère un important patrimoine immobilier et mobilier, dont plusieurs meubles et objets d'art de provenances illustres, d'époque Louis XVI, qu'ils vont répartir entre le Palais Royal et le château d'Eu. Ces objets proviennent pour une partie des collections du duc de Penthièvre, et pour l'autre de l'hôtel de Roquelaure à Paris, acheté en 1816 par la Duchesse douairière d'Orléans à l'archichancelier de l'Empire Régis de Cambacérès (1753-1824), contraint à l'exil. Napoléon avait auparavant doté Cambacérès d'une première résidence parisienne, l'hôtel d'Elbeuf, tout en le meublant en puisant dans les réserves de l'ex-garde meuble royal, riche d'un patrimoine provenant notamment des émigrés. C'est ainsi qu'on a retrouvé à Eu et chez les Orléans un mobilier prestigieux et de haute qualité, quasiment royal, à l'instar des encoignures de Levasseur, réalisées pour Mesdames, filles de Louis XV, à Bellevue, qu'on retrouve au Palais Royal sous la Restauration (vente Sotheby's, Monaco, 1er juillet 1995, lot 105). Il en va de même pour une série de fauteuils d'époque Louis XVI, laqués blanc, par J.-B. Sené, avec les marques du château d'Eu, dont quatre sont récemment passés en vente provenant de l'hôtel de Cambacérès puis de la collection Pierre Durand (vente Christie's, New-York, 27 janvier 2022, lot 136, adjugé 62,500$). Encore plus récemment, dans la vente de collection Givenchy, un fauteuil d'époque Empire par Jacob-Desmalter jouissait de la même provenance (Christie's, Paris, 17 juin 2022, lot 196). Le Château d'Eu Situé dans la vallée de la Bresle qui sépare la Normandie de la Picardie, à quatre kilomètres du Tréport (Seine-Maritime), le château d'Eu fut la résidence préférée de Louis-Philippe d'Orléans (Paris, 1773-Claremont, 1850), « Roi des Français » sous le nom de Louis-Philippe 1er de 1830 à 1848. Il le fit restaurer et réaménager dès 1821 avec de nouveaux appartements, des « reconstitutions » dans les styles Renaissance et Louis XIII et des galeries de « portraits historiques » qui annonçaient déjà les futures réalisations du Roi au château de Versailles. C'est à Eu que Louis-Philippe reçut à deux reprises la Reine Victoria en 1843 et en 1845. La demeure dont l'histoire remonte à l'époque médiévale fut, avant Louis-Philippe, l'objet de nombreuses restructurations. Elle échut en dot en 1570 à Henri 1er de Guise, dit le Balafré (1549-1588). Le Duc entreprit la construction du château actuel en 1578 sur les plans des frères Leroy, natifs de Beauvais. Le domaine resta dans l'apanage de la famille de Guise jusqu'en 1660. Saisi, il fut vendu par décret le 24 août 1661 à Anne-Marie-Louise d'Orléans (1627-1693), Duchesse de Montpensier et cousine de Louis XIV, c

Prix sur demande

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Romain Thiery - Romain Thiery, Requiem pour un piano - N°108, 2021, Photographie, 60 x 90 cm, Œuvre signée. Romain Thiery, né à Bergerac en 1988, est un artiste photographe vivant et travaillant près de Montpellier. Romain est un pianiste amateur qui a commencé́ la photographie il y a plus de quinze ans à la suite du travail de sa mère spécialisée dans la photographie patrimoniale. Romain Thiery estime que le piano est profondément enraciné dans les profondeurs de notre culture, et a cherché́ à explorer l’instrument sous un angle original. Il s’est donné pour mission de combiner ses deux plus grandes passions et s’est mis à la recherche de bâtiments où de vieux pianos sont laissés à l’abandon. Depuis 2014, il a découvert plus de cent pianos, en autant de lieux à la foudroyante beauté́. Scènes dont il ne change jamais rien, laissant l’endroit tel quel. «  Même au m ilieu d’un espace dégradé, le piano ne cesse de conserver sa puissance. Il est là, il trône de tout sa noblesse  ». Au-delà de son travail photographique, Romain enregistre in situ, lorsque cela est possible, note par note, l’intégralité́ des sons des pianos qu’il découvre. Ils permettront de fabriquer une collection d’instruments virtuels qu’il rendra disponible au public en ligne et lors de ses expositions. Cette méthode lui permet de créer un modèle sonore réaliste, d’immortaliser le son de ces pianos et de capturer leurs identités. Ces bibliothèques de samples donneront une seconde vie aux pianos abandonnés et parfois difficilement accessibles, en donnant à des centaines de musiciens à travers le monde l’opportunité́ de les faire résonner. Cette recherche l’a amené́ à visiter une grande partie de l’Europe ainsi que les États-Unis. La série issue de ses œuvres s’intitule  Requiem po ur pianos  et a fait décoller sa notoriété́ à l’international. Ces dernières années, il a remporté́ de grands prix internationaux de photographie dans différents concours. Ses expositions individuelles et collectives ont été vues en Amérique du Nord, en Europe et en Asie. Ses photographies ont été exposées dans des galeries et festivals à New York, San Francisco, St Pétersbourg, Tokyo, Seoul, Paris, Madrid, Tel-Aviv et bien d'autres encore. Les titres de presse les plus prestigieux ont déjà̀ salué ou traité son travail dans leurs pages comme El País, Der Spiegel, The Guardian, Daily Mail, Lonely Planet, Cultura Inquieta, Point de vue, Esquire, Beijing News... et lors de reportages TV à M6 (France), DW (Allemagne), Channel Cuatro (Espagne), TV5 Monde (France) et I24 News (France et Israël).

1 500 EUR

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Trebor - Sans titre (Garges Les Gonesse), 2022, marqueur sur panneau signalétique de bus en métal, 33 x 43 cm Mobilier urbain customisé et objets des transports en commun graffés et réinterprétés ont envahi l’espace en sous-sol de la galerie Wallworks pour l’exposition hors du commun «ESPACE PUBLIC EN SOUS-SOL». On y accède en empruntant un escalier tapissé de tags et de graffs. Pièces chinées ou récemment acquises lors de la vente de la RATP, les artistes s’emparent de tous types d’éléments urbains et des transports publics : cabines télé- phoniques, feux de circulation, lampadaires, plaques émaillées de rue, rideau de fer, boîtes aux lettres, plaques des métros de Paris, Moscou et New York, têtes de vache d’arrêt d’autobus, panneaux de signalisation routiers et ferroviaires, lavabo SNCF, sièges de la RATP et autres pièces détachées de voitures... Sept pièces présentées au vernissage encore vierges – dont l’emblématique M en plastique jaune, des plaques émaillées et une porte de métro – sont destinées à être customisées par de nouveaux artistes et finalisées lors de futures performances artistiques.Du mouvement graffiti ou de l’art urbain, 36 artistes américains, européens, sud-asiatiques et russes redonnent une nouvelle vie à tous ces objets du quotidien en un grand bazar graffé et haut en couleur.  Ce nouveau group show renoue avec le principe des précédentes expositions collectives réunissant une cinquantaine de street artistes – “Ne Pas Effacer” (2012), ”Intérieur Rue” (2013), “Pièces détachées” (2014), “Morceaux de rue” (2015) et “Dehors Dedans” (2016) – dont Claude Kunetz a le secret. Adaptant au montage d’exposition le savoir faire de son métier initial de producteur de cinéma, il chine du mobilier urbain vintage qu’il confie aux artistes pour qu’ils le customisent.  Récemment acquis lors de la vente aux enchères de la RATP au profit du Recueil Social, l’emblématique M en plastique jaune – rétroéclairé par néon – et des plaques signalétiques du métro en fer émaillé, ainsi que des sièges circulaires “A Kiko” – initialement conçus selon leurs designers et concepteurs comme « résistant aux brûlures, rayures, graffitis (sic) et efforts mécaniques » – sont présentés tels quels dès le vernissage. Ils seront ensuite confiés à de nouveaux artistes qui les customiseront, leur donnant la touche finale lors de performances artistiques qui se tiendront tout au long de l’exposition.  Aux côtés de quelques pièces plus anciennes des précédentes expositions, deux grandes plaques émaillées du nom des stations Trocadéro et Strasbourg Saint-Denis, respectivement réalisées par COLORZ et PSYCKOZE, viennent compléter cet ensemble d’éléments des trans- ports en commun et de mobilier urbain, tous librement et artistiquement réinterprétés.

900 EUR

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ARDPG - " Hello You #09 " 28 x 14 x 14 cm Composition de bois gravé, découpé et peint sous cloche 2022 Cette série nous fait voyager dans l'histoire de l'art au travers de contrastes de petits fragments... Chaque œuvre sous cloche propose une composition unique jouant sur la juxtaposition de petits éléments issus de plusieurs époques artistiques. Né en 1980 Arnaud Puig aka ARDPG est un artiste bordelais. Au milieu des années 90, il se met au graffiti et commence à écrire dans la ville et sur les terrains vagues. Au début des années 2000, il entame des études d’histoire de l’art à la faculté et celles-ci vont nourrir son amour pour l’art. Il décide alors de commencer un travail sur toile où il va marier ses passions pour l’architecture, les lignes et les mots. Il quitte ensuite Bordeaux pour Paris où il va y vivre et travailler durant 15 ans en tant qu’assistant d’un grand designer, mais également dans son atelier où il commence à produire des œuvres visibles en galeries. En 2015, il décide de revenir sur Bordeaux avec sa famille tout en continuant sa carrière artistique. Son univers artistique est toujours ancré dans cette histoire de l’art et il cherche toujours avec ses mots ou ses contrastes visuels à creuser la surface des choses afin de montrer que ce que nous regardons n’est qu’une partie de la création et c’est à nous de chercher plus loin pour obtenir des réponses artistiques… ARDPG expose aujourd’hui dans des galeries et musées en France et à l’étranger.

500 EUR

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Hobz - Action May 68, 2018, Technique mixte sur la couverture originale du magazine «Action», 54 × 37 cm 42 artistes d’art urbain s’expriment sur des unes originales d’Action journal militant de Mai 68.  Fondée à Paris par Claude Kunetz en 2011, la Galerie Wallworks s’est rapidement fait une place sur la scène du graffiti art avec des solo-shows consacrés à des graffeurs français (Nebay, Tilt) ou américains (Rime, Haze) et des group-shows pour lesquels les artistes sont invités à customiser du mobilier urbain. A l’origine producteur de cinéma, Claude Kunetz adapte son savoir-faire en production au montage d’expositions en rassemblant du mobilier urbain vintage qu’il confie comme supports de création à des artistes issus du mouvement graffiti et de l’art urbain. Avec “Ne Pas Effacer” (2012), ”Intérieur Rue” (2013), “Pièces détachées” (2014), “Morceaux de rue” (2015) et “Dehors Dedans” (2016), il s’est fait une spécialité de ces expositions pour lesquelles de nombreux graffeurs et street-artists interviennent sur tout type de mobilier urbain : cabines téléphoniques, boîtes aux lettres, feux de circulation, panneaux lumineux, lampadaires, plaques de métro, plaques émaillées de rue, rideaux de fer, arrêts d’autobus, panneaux de signalisation routiers et ferroviaires, banquettes de train, pièces détachées de voitures...  A l’occasion des 50 ans de Mai 68, il renouvelle l’expérience en confiant cette fois aux artistes des exemplaires originaux du journal Action. Créé par le journaliste Jean Schalit, Action sort son premier numéro le 7 mai 1968. Il sert de relais aux revendications de plusieurs mouvements étudiants et de comités d’action lycéens.  Les pages d’Action s’ouvrent à de nombreux dessinateurs comme Siné, Topor ou Wolinski. Conservés depuis 50 ans, tous ces documents ont été rassemblés à l’époque par Claude Kunetz lorsque, préadolescent, il vivait chez ses parents rue Gay-Lussac. Impressionné par l’effervescence des barricades qu’il observait depuis sa fenêtre, il a alors entrepris de collecter ces documents méthodiquement. L’exposition présente également une sélection de tracts et de documents de l’époque.

1 500 EUR

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Kongo - Sans titre (Siège en bois), 2012, marqueur sur siège en bois du métro parisien, 200 x 47 x 42 cm  Mobilier urbain customisé et objets des transports en commun graffés et réinterprétés ont envahi l’espace en sous-sol de la galerie Wallworks pour l’exposition hors du commun «ESPACE PUBLIC EN SOUS-SOL». On y accède en empruntant un escalier tapissé de tags et de graffs. Pièces chinées ou récemment acquises lors de la vente de la RATP, les artistes s’emparent de tous types d’éléments urbains et des transports publics : cabines télé- phoniques, feux de circulation, lampadaires, plaques émaillées de rue, rideau de fer, boîtes aux lettres, plaques des métros de Paris, Moscou et New York, têtes de vache d’arrêt d’autobus, panneaux de signalisation routiers et ferroviaires, lavabo SNCF, sièges de la RATP et autres pièces détachées de voitures... Sept pièces présentées au vernissage encore vierges – dont l’emblématique M en plastique jaune, des plaques émaillées et une porte de métro – sont destinées à être customisées par de nouveaux artistes et finalisées lors de futures performances artistiques.Du mouvement graffiti ou de l’art urbain, 36 artistes américains, européens, sud-asiatiques et russes redonnent une nouvelle vie à tous ces objets du quotidien en un grand bazar graffé et haut en couleur.  Ce nouveau group show renoue avec le principe des précédentes expositions collectives réunissant une cinquantaine de street artistes – “Ne Pas Effacer” (2012), ”Intérieur Rue” (2013), “Pièces détachées” (2014), “Morceaux de rue” (2015) et “Dehors Dedans” (2016) – dont Claude Kunetz a le secret. Adaptant au montage d’exposition le savoir faire de son métier initial de producteur de cinéma, il chine du mobilier urbain vintage qu’il confie aux artistes pour qu’ils le customisent.  Récemment acquis lors de la vente aux enchères de la RATP au profit du Recueil Social, l’emblématique M en plastique jaune – rétroéclairé par néon – et des plaques signalétiques du métro en fer émaillé, ainsi que des sièges circulaires “A Kiko” – initialement conçus selon leurs designers et concepteurs comme « résistant aux brûlures, rayures, graffitis (sic) et efforts mécaniques » – sont présentés tels quels dès le vernissage. Ils seront ensuite confiés à de nouveaux artistes qui les customiseront, leur donnant la touche finale lors de performances artistiques qui se tiendront tout au long de l’exposition.  Aux côtés de quelques pièces plus anciennes des précédentes expositions, deux grandes plaques émaillées du nom des stations Trocadéro et Strasbourg Saint-Denis, respectivement réalisées par COLORZ et PSYCKOZE, viennent compléter cet ensemble d’éléments des trans- ports en commun et de mobilier urbain, tous librement et artistiquement réinterprétés.

4 000 EUR

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André Charles Boulle - André Charles BOULLE 1642-1732 Dimensions : H 80 cm x L 182 cm x P 89 cm De forme rectangulaire, il ouvre à trois tiroirs en ceinture, à décor de marqueterie en contrepartie : de laiton sur fond d’ébène. Il repose sur des pieds cambrés. Ornementation de bronzes ciselés et dorés : lingotière en bec de corbin, écoinçons en palmette, angles en têtes des pieds, cadres moulurés, entrées de serrure aux masques de Bacchus, poignées tombantes aux pastilles en rosette, chutes aux satyres, sabots en acanthe montantes, masque de Bacchante et masque de Sylème en tablier sur les côtés. Dessus gainé de cuir. Les tiroirs sont montés en noyer. Attribué à André-Charles BOULLE (1642-1732) - Vers 1710 (Une entrée de serrure rapportée, renforts sous le plateau et restaurations d’usages) Bibliographie : Alexandre Maral - « Girardon Le sculpteur de Louis XIV » Edt. ARTHENA - 2015, Alexandre Pradère - « Les Ebénistes Français de Louis XIV à la Révolution » Edt CHENE - 1989, Jean Réné. Ronfort - « André Charles Boulle Un nouveau style pour l’Europe » cat. expo. Frankfurt - 2009. Pierre Kjellbergrg, « Le mobilier français du XVIIIe siècle -Paris 1986 – page 110. Musée des Arts et Décoratifs, Paris, (inv. 723B) - Dessin d’André Charles Boulle, vers 1710, plume lavée de bistre. Notre bureau plat est réalisé suivant le dessin du bureau inventé par André-Charles Boulle dans les premières années du XVIIIe siècle. Les grands bronzes en tablier sur les côtés représentent les masques de Bacchante et de Sylème. L’entrée de serrure représente Héraclite et elle est conforme au dessin d’André-Charles Boulle (inv. 723B). Le dessin des chutes en bronze représentant des têtes de satyres est d'après l'historien et conservateur du Château de Versailles Alexandre Maral, du Sculpteur du Roi : François Girardon (1628-1715) (Paris, musée du Louvre, département des Arts graphique « Girardon Le sculpteur de Louis XIV » par Alexandre Maral - Edt. ARTHENA 2015) - (Reproduction Fig. 45 page 71). Le noyer employé pour la fabrication des tiroirs est en noyer dit "noyer noir", choisis avec soins et qui ne présente aucune trace des gelées de 1705. Il s'agit d'une fabrication, qui serait, vers 1710.

Prix sur demande

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Crush - Stamped for Life, 2012, Aquarelle sur papier canson 310 g/m², fond sérigraphié, 76 x 57 cm. Pionnier du street-art aux Etats-Unis, exposé dans le monde entier, Crash se définit avant tout comme Graffiti artiste. Pour la galerie Wallworks, il crée ici une série spécifique de 34 œuvres sur papier réalisées selon deux modes d’expression ancestraux : la sérigraphie et l’aquarelle. Chaque pièce unique est ensuite rehaussée à l’aquarelle, à l’encre de Chine, à l’acrylique ou encore de collages. L’ensemble est complété d’œuvres sur plaques d’immatriculation de voitures américaines, ainsi que de dix peintures sur toile, emblématiques de sa production de ces vingt dernières années.  Librement inspiré des comics américains et du Pop Art, l’univers de Crash mixe ici de multiples références personnelles à celles du street art (les lettrages, les chaînes dorées...), aux codes de la bande dessinée des années 60 et 70 (les onomatopées figurant chocs et explosions...), ou au Pop Art (les point colorés et, plus explicitement, le clin d’œil à l’œuvre Whaam ! peinte par Roy Lichtenstein en 1963). Le nom de la série – Stamped for Life – évoque pour l’artiste le fait que rien ne s’efface, qu’il se sent marqué à vie par ce qui l’inspire et ce qu’il est : “I have been stamped for life”.  Né en 1961 à New York, John Matos prend le nom de Crash au milieu des années 1970 et commence à poser, dès l’âge de 13 ans, des graffitis sur les lignes de métro du Bronx. En 1979, il rejoint les artistes Kel, Daze, Zephyr, Dondi et Futura au sein du Studio Graffiti, un projet financé par le collectionneur Sam Esses, qui leur permet de passer à la toile. Tous fréquentent alors le mythique Fashion Moda, créé en 1978 par Stefan Eins, lieu culte de la scène new yorkaise où se croisent, entre autres, Keith Haring, Jenny Holzer et de nombreux graffiti artists. En 1980, Crash y organise l’exposition au titre prémonitoire “GAS : Graffiti Art Success”. Le succès est en effet tel que, la même année, le New Museum of Contemporary Art de Manhattan reprend l’exposition, légèrement remaniée et intitulée “Events, Fashion Moda”. Les expositions présentées à Fashion Moda attirent alors l’attention des galeries américaines, puis européennes, contribuant à l’essor du mouvement graffiti.  A partir de 1983, et pendant près de dix ans, Crash est représenté par la Sydney Janis Gallery de New York, partageant les cimaises avec Keith Haring et Jean-Michel Basquiat. Fin 1984, il est invité à participer à l’exposition “5/5 Figuration Libre, France/USA” au Musée d’art moderne de la Ville de Paris, aux côtés de Rémi Blanchard, François Boisrond, Robert Combas, Hervé et Richard Di Rosa, Louis Jammes, Jean-Michel Basquiat, Keith Haring, Tseng Kwong Chi et Kenny Scharf. Ses œuvres ont été exposées à travers tous les Etats-Unis, ainsi qu’en Espagne, en France et aux Pays-Bas. Son style reconnaissable allie une pratique du lettrage propre au graffiti à celle du portrait inspiré de la bande dessinée, du Pop Art ou encore du procédé Ben-Day cher à Roy Lichtenstein.  En marge de ses expositions, Crash réalise également plusieurs projets pour de grandes marques, comme pour la fondation néerlandaise Peter Stuyvesant en 1988, ou pour la compagnie British American Tabacco et la collection Lucky Strike en 1995. En 1996, il customise une guitare électrique – le modèle Stratocaster de la marque Fender – pour Eric Clapton que le chanteur utilisera lors d’une tournée en 2001. Fender en commercialisera cinquante exemplaires baptisés Crashocasters. Plus récemment, il a créé un visuel pour Absolut Vodka. En 2011, la maison TUMI lui a passé com- mande pour quatre modèles de bagages dans une ligne intitulée Tumi-Tag. Les œuvres de Crash ont été acquises par un nombre impressionnant de collections publiques ou privées à travers le monde comme le Brooklyn Museum et le MoMA à New York, le NOMA de La Nouvelle Orleans, le Cornell Museum en Floride, la Rubell Collection à Miami, la fondation Frederick R. Weisman à Los Angeles, la fondation Dakis Joannou à Athènes, le Mambo de Bologne, le Groninger Museum de Groningen, le musée Boijmans Van Beuningen de Rotterdam, le Stedelijk Museum d’Amsterdam...

1 000 EUR

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Gurnard (fish) - Marcus Elieser Bloch, 1782-1795 - LE GURNARD GRIS "Trigla Gurnardus/Der Graue seehahn/The grey Gurnard/Le Gurneau" (planche 24), gravure sur cuivre réalisée par Ludwig Schmidt d'après le dessin de Krüger jr, pour l'"Allgemeine Naturgeschichte der Fische" de Markus Elieser Bloch, publiée à Berlin entre 1782 et 1795. Avec coloriage original à la main. Dimensions : 19 x 38 cm. Le travail de Bloch sur l'"Allgemeine Naturgeschichte der Fische" a occupé une grande partie de sa vie et est considéré comme ayant jeté les bases de la science de l'ichtyologie. La publication a été encouragée par une souscription importante et a connu rapidement cinq éditions en allemand et en français. Bloch n'apporta que peu ou pas de modifications à l'arrangement systématique de Peter Artedi et Carl Linnaeus, bien qu'il ait été disposé à introduire dans la classification certaines modifications dépendant de la structure des branchies. Au nombre de genres déjà établis, il a jugé nécessaire d'en ajouter dix-neuf nouveaux, et il a décrit 276 espèces nouvelles pour la science, dont beaucoup habitent les parties les plus reculées de l'océan et sont, par l'éclat de leurs couleurs ou la singularité de leurs formes, autant d'objets d'admiration populaire que de curiosité scientifique. Bloch est considéré comme le plus important ichtyologiste du 18e siècle. Le grondin gris est une espèce de poisson appartenant à la famille des Triglidae. C'est une espèce qui vit sur le fond et que l'on trouve communément dans les eaux tempérées de l'Atlantique et de la Méditerranée. Le grondin gris a une tête distinctive de forme triangulaire, de grands yeux et des plaques osseuses sur le corps qui l'aident à se protéger des prédateurs. Il se nourrit de petits crustacés et de mollusques qu'il détecte à l'aide de ses barbillons sensoriels. Le grondin gris n'est pas couramment consommé comme poisson de consommation, car il a une structure dure et osseuse, mais il est parfois utilisé pour son foie, qui est considéré comme un mets délicat dans certaines cultures. Prix de vente : Euro 350,-

350 EUR

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Nebay - On Shape, 2021, acrylique et encre aérosol sur double toile, 50 × 40 × 5 cm. Sans jamais quitter le mur ou l’intervention en rue, Nebay est de ces artistes de graffiti pour qui le passage à la toile est un élément supplémentaire, source d’expériences et riche en découvertes. Son style est inspiré par ses pairs new-yorkais, il est parmi les premiers à expérimenter le dripping – jets de peinture au sol – sur les trottoirs parisiens et sur la toile. Riche, coloré et rempli d’énergie, son univers mixe pêle-mêle affiches détournées, taches colorées et abstraites, wild style et dripping sur toile, porteur d’un message de colère toujours empreint d’espoir.  Graffeur parisien depuis plus de 30 ans, avide de créations murales, Nebay commence à graffer en 1987 dans les rues de Paris et intègre le collectif JCT – Je Cours Toujours à 100 à l’heure. Né en 1973, Nebay est un artiste de rue qui s’inscrit dans son temps et investit son environne- ment : la ville. Il aime dire qu’il est « un jardinier du béton qui fait pousser de la couleur ».  C’est au début des années 2000, lors d’un voyage initiatique de plusieurs mois à travers le monde, que se produit le déclic : aller au bout de ses rêves, voir grand. Ses lectures, rencontres et la découverte des pays qu’il traverse – Russie, Mongolie, Chine, Vietnam, Cambodge, Laos et Thaïlande – lui font prendre conscience du monde qui l’entoure et de ce qu’il souhaite laisser comme trace. De retour en France, il provoque sa chance et change de vie pour devenir artiste à part entière.  Le graffiti est un art éphémère, qui foisonne et l’oblige à se réinventer et à se dépasser sans cesse. Le graffiti correspond bien plus, finalement, à un style de vie. En résonance avec l’espace où il s’exécute, il rend l’expérience vivante : sensations de peindre dehors, en extérieur, dans les rues, sous les ponts, dans des lieux abandonnés... Les façades travaillées sont dynamiques, elles présentent des irrégularités qui ne se retrouvent pas sur toile. En s’appropriant l’espace public et la rue, Nebay s'inscrit dans une démarche ancienne de participation à la vie de la cité. Le graffiti, pratique illégale, devient un acte politique : il appartient à la sphère publique, tout en véhiculant un message à connotation politique, sociale ou environnementale. Nebay veille toujours à transformer son support en un véritable pan de mémoire : mémoire collective, mémoire des événements, mémoire individuelle... en y exprimant sa recherche identitaire, ses sentiments, ses déclarations et hommages. Les visiteurs de ses expositions s’autorisent ainsi à voyager en sa compagnie, captant les émotions que l’artiste leur transmet généreusement.

1 300 EUR

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DER - Sans titre (Panneau Interdiction), 2012, acrylique sur panneau de signalisation en métal, 47 x 47 cm Mobilier urbain customisé et objets des transports en commun graffés et réinterprétés ont envahi l’espace en sous-sol de la galerie Wallworks pour l’exposition hors du commun «ESPACE PUBLIC EN SOUS-SOL». On y accède en empruntant un escalier tapissé de tags et de graffs. Pièces chinées ou récemment acquises lors de la vente de la RATP, les artistes s’emparent de tous types d’éléments urbains et des transports publics : cabines télé- phoniques, feux de circulation, lampadaires, plaques émaillées de rue, rideau de fer, boîtes aux lettres, plaques des métros de Paris, Moscou et New York, têtes de vache d’arrêt d’autobus, panneaux de signalisation routiers et ferroviaires, lavabo SNCF, sièges de la RATP et autres pièces détachées de voitures... Sept pièces présentées au vernissage encore vierges – dont l’emblématique M en plastique jaune, des plaques émaillées et une porte de métro – sont destinées à être customisées par de nouveaux artistes et finalisées lors de futures performances artistiques.Du mouvement graffiti ou de l’art urbain, 36 artistes américains, européens, sud-asiatiques et russes redonnent une nouvelle vie à tous ces objets du quotidien en un grand bazar graffé et haut en couleur.  Ce nouveau group show renoue avec le principe des précédentes expositions collectives réunissant une cinquantaine de street artistes – “Ne Pas Effacer” (2012), ”Intérieur Rue” (2013), “Pièces détachées” (2014), “Morceaux de rue” (2015) et “Dehors Dedans” (2016) – dont Claude Kunetz a le secret. Adaptant au montage d’exposition le savoir faire de son métier initial de producteur de cinéma, il chine du mobilier urbain vintage qu’il confie aux artistes pour qu’ils le customisent.  Récemment acquis lors de la vente aux enchères de la RATP au profit du Recueil Social, l’emblématique M en plastique jaune – rétroéclairé par néon – et des plaques signalétiques du métro en fer émaillé, ainsi que des sièges circulaires “A Kiko” – initialement conçus selon leurs designers et concepteurs comme « résistant aux brûlures, rayures, graffitis (sic) et efforts mécaniques » – sont présentés tels quels dès le vernissage. Ils seront ensuite confiés à de nouveaux artistes qui les customiseront, leur donnant la touche finale lors de performances artistiques qui se tiendront tout au long de l’exposition.  Aux côtés de quelques pièces plus anciennes des précédentes expositions, deux grandes plaques émaillées du nom des stations Trocadéro et Strasbourg Saint-Denis, respectivement réalisées par COLORZ et PSYCKOZE, viennent compléter cet ensemble d’éléments des trans- ports en commun et de mobilier urbain, tous librement et artistiquement réinterprétés.

1 000 EUR

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Gilbert - Action May 68, 2018, Technique mixte sur la couverture originale du magazine «Action», 54 × 37 cm 42 artistes d’art urbain s’expriment sur des unes originales d’Action journal militant de Mai 68.  Fondée à Paris par Claude Kunetz en 2011, la Galerie Wallworks s’est rapidement fait une place sur la scène du graffiti art avec des solo-shows consacrés à des graffeurs français (Nebay, Tilt) ou américains (Rime, Haze) et des group-shows pour lesquels les artistes sont invités à customiser du mobilier urbain. A l’origine producteur de cinéma, Claude Kunetz adapte son savoir-faire en production au montage d’expositions en rassemblant du mobilier urbain vintage qu’il confie comme supports de création à des artistes issus du mouvement graffiti et de l’art urbain. Avec “Ne Pas Effacer” (2012), ”Intérieur Rue” (2013), “Pièces détachées” (2014), “Morceaux de rue” (2015) et “Dehors Dedans” (2016), il s’est fait une spécialité de ces expositions pour lesquelles de nombreux graffeurs et street-artists interviennent sur tout type de mobilier urbain : cabines téléphoniques, boîtes aux lettres, feux de circulation, panneaux lumineux, lampadaires, plaques de métro, plaques émaillées de rue, rideaux de fer, arrêts d’autobus, panneaux de signalisation routiers et ferroviaires, banquettes de train, pièces détachées de voitures...  A l’occasion des 50 ans de Mai 68, il renouvelle l’expérience en confiant cette fois aux artistes des exemplaires originaux du journal Action. Créé par le journaliste Jean Schalit, Action sort son premier numéro le 7 mai 1968. Il sert de relais aux revendications de plusieurs mouvements étudiants et de comités d’action lycéens.  Les pages d’Action s’ouvrent à de nombreux dessinateurs comme Siné, Topor ou Wolinski. Conservés depuis 50 ans, tous ces documents ont été rassemblés à l’époque par Claude Kunetz lorsque, préadolescent, il vivait chez ses parents rue Gay-Lussac. Impressionné par l’effervescence des barricades qu’il observait depuis sa fenêtre, il a alors entrepris de collecter ces documents méthodiquement. L’exposition présente également une sélection de tracts et de documents de l’époque.

1 500 EUR

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POES - Téléphone, 2014, marqueur et feutre sur téléphone public français, 46 x 31 x 17 cm Mobilier urbain customisé et objets des transports en commun graffés et réinterprétés ont envahi l’espace en sous-sol de la galerie Wallworks pour l’exposition hors du commun «ESPACE PUBLIC EN SOUS-SOL». On y accède en empruntant un escalier tapissé de tags et de graffs. Pièces chinées ou récemment acquises lors de la vente de la RATP, les artistes s’emparent de tous types d’éléments urbains et des transports publics : cabines télé- phoniques, feux de circulation, lampadaires, plaques émaillées de rue, rideau de fer, boîtes aux lettres, plaques des métros de Paris, Moscou et New York, têtes de vache d’arrêt d’autobus, panneaux de signalisation routiers et ferroviaires, lavabo SNCF, sièges de la RATP et autres pièces détachées de voitures... Sept pièces présentées au vernissage encore vierges – dont l’emblématique M en plastique jaune, des plaques émaillées et une porte de métro – sont destinées à être customisées par de nouveaux artistes et finalisées lors de futures performances artistiques.Du mouvement graffiti ou de l’art urbain, 36 artistes américains, européens, sud-asiatiques et russes redonnent une nouvelle vie à tous ces objets du quotidien en un grand bazar graffé et haut en couleur.  Ce nouveau group show renoue avec le principe des précédentes expositions collectives réunissant une cinquantaine de street artistes – “Ne Pas Effacer” (2012), ”Intérieur Rue” (2013), “Pièces détachées” (2014), “Morceaux de rue” (2015) et “Dehors Dedans” (2016) – dont Claude Kunetz a le secret. Adaptant au montage d’exposition le savoir faire de son métier initial de producteur de cinéma, il chine du mobilier urbain vintage qu’il confie aux artistes pour qu’ils le customisent.  Récemment acquis lors de la vente aux enchères de la RATP au profit du Recueil Social, l’emblématique M en plastique jaune – rétroéclairé par néon – et des plaques signalétiques du métro en fer émaillé, ainsi que des sièges circulaires “A Kiko” – initialement conçus selon leurs designers et concepteurs comme « résistant aux brûlures, rayures, graffitis (sic) et efforts mécaniques » – sont présentés tels quels dès le vernissage. Ils seront ensuite confiés à de nouveaux artistes qui les customiseront, leur donnant la touche finale lors de performances artistiques qui se tiendront tout au long de l’exposition.  Aux côtés de quelques pièces plus anciennes des précédentes expositions, deux grandes plaques émaillées du nom des stations Trocadéro et Strasbourg Saint-Denis, respectivement réalisées par COLORZ et PSYCKOZE, viennent compléter cet ensemble d’éléments des trans- ports en commun et de mobilier urbain, tous librement et artistiquement réinterprétés.

1 400 EUR

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Romain Thiery - Romain Thiery, Requiem pour pianos N°10, 2008, Photographie, 50 x 75 x 4 cm, Œuvre signée Romain Thiery, né à Bergerac en 1988, est un artiste photographe vivant et travaillant près de Montpellier. Romain est un pianiste amateur qui a commencé la photographie il y a plus de quinze ans à la suite du travail de sa mère spécialisée dans la photographie patrimoniale. Romain Thiery estime que le piano est profondément enraciné dans les profondeurs de notre culture, et a cherché à explorer l’instrument sous un angle original. Il s’est donné pour mission de combiner ses deux plus grandes passions et s’est mis à la recherche de bâtiments où de vieux pianos sont laissés à l’abandon. Depuis 2014, il a découvert plus de cent pianos, en autant de lieux à la foudroyante beauté. Scènes dont il ne change jamais rien, laissant l’endroit tel quel. «  Même au milieu d’u n espace dégradé, le piano ne cesse de conserver sa puissance. Il est là, il trône de tout sa noblesse ». Au-delà de son travail photographique, Romain enregistre in situ, lorsque cela est possible, note par note, l’intégralité des sons des pianos qu’il découvre. Ils permettront de fabriquer une collection d’instruments virtuels qu’il rendra disponible au public en ligne et lors de ses expositions. Cette méthode lui permet de créer un modèle sonore réaliste, d’immortaliser le son de ces pianos et de capturer leurs identités. Ces bibliothèques de samples donneront une seconde vie aux pianos abandonnés et parfois difficilement accessibles, en donnant à des centaines de musiciens à travers le monde l’opportunité de les faire résonner. Cette recherche l’a amené à visiter une grande partie de l’Europe ainsi que les États-Unis. La série issue de ses œuvres s’intitule Requiem pour pianos et a fait décoller sa notoriété à l’international. Ces dernières années, il a remporté de grands prix internationaux de photographie dans différents concours. Ses expositions individuelles et collectives ont été vues en Amérique du Nord, en Europe et en Asie. Ses photographies ont été exposées dans des galeries et festivals à New York, San Francisco, St Pétersbourg, Tokyo, Seoul, Paris, Madrid, Tel-Aviv et bien d'autres encore. Les titres de presse les plus prestigieux ont déjà salué ou traité son travail dans leurs pages comme El País, Der Spiegel, The Guardian, Daily Mail, Lonely Planet, Cultura Inquieta, Point de vue, Esquire, Beijing News... et lors de reportages TV à M6 (France), DW (Allemagne), Channel Cuatro (Espagne), TV5 Monde (France) et I24 News (France et Israël).

1 000 EUR

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Console Neo-Pompéienne Probablement Italie Circa 1890 Hauteur totale : 264 cm Console – Hauteur : 98 cm ; Largeur : 173 cm ; Profondeur : 50,5 cm Miroir – Hauteur : 166 cm ; Largeur : 140 cm ; Profondeur : 17 cm Rare console en bois peint de style néo-Pompéien assortie de son miroir. L’ensemble est entièrement recouvert d’un décor peint sur fond rouge souligné par des frises à motifs floraux et d’entrelacs. La console est décorée sur son plateau d’un cartouche délimité par deux créatures mythologiques marines, des branches d’olivier et une guirlande perlée. Elle repose sur quatre pieds galbés décorés dans les angles de rameaux d’olivier. Cette console est probablement le fruit du travail d’un artiste inspiré par ce qu’il a pu voir lors d’un Grand Tour. Il s’agit à l’origine d’un long voyage éducatif en Europe effectué principalement par de jeunes hommes des plus hautes classes de la société européenne. Cette pratique, qui émerge vers le milieu du XVIe siècle, s’affirme tout au long du XVIIe siècle, pour culminer au XVIIIe siècle. Les destinations principales sont l’Italie, la France, les Pays-Bas, l’Allemagne et la Suisse. Les jeunes gens achetaient, suivant leurs moyens, des pièces d’art et d’antiquités et visitaient les ruines antiques romaines, ainsi que Pompéi et Herculanum qui avaient été récemment découverts. Aux XVIIIe et XIXe siècles, le Grand Tour est l’apanage des artistes, amateurs d’art, des collectionneurs et des écrivains.

12 000 EUR

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Romain Thiery - Romain Thiery, Requiem pour pianos N°33, 2017, Photographie, 50 x 70 x 4 cm, Œuvre signée Romain Thiery, né à Bergerac en 1988, est un artiste photographe vivant et travaillant près de Montpellier. Romain est un pianiste amateur qui a commencé la photographie il y a plus de quinze ans à la suite du travail de sa mère spécialisée dans la photographie patrimoniale. Romain Thiery estime que le piano est profondément enraciné dans les profondeurs de notre culture, et a cherché à explorer l’instrument sous un angle original. Il s’est donné pour mission de combiner ses deux plus grandes passions et s’est mis à la recherche de bâtiments où de vieux pianos sont laissés à l’abandon. Depuis 2014, il a découvert plus de cent pianos, en autant de lieux à la foudroyante beauté. Scènes dont il ne change jamais rien, laissant l’endroit tel quel. «  Même au milieu d’u n espace dégradé, le piano ne cesse de conserver sa puissance. Il est là, il trône de tout sa noblesse ». Au-delà de son travail photographique, Romain enregistre in situ, lorsque cela est possible, note par note, l’intégralité des sons des pianos qu’il découvre. Ils permettront de fabriquer une collection d’instruments virtuels qu’il rendra disponible au public en ligne et lors de ses expositions. Cette méthode lui permet de créer un modèle sonore réaliste, d’immortaliser le son de ces pianos et de capturer leurs identités. Ces bibliothèques de samples donneront une seconde vie aux pianos abandonnés et parfois difficilement accessibles, en donnant à des centaines de musiciens à travers le monde l’opportunité de les faire résonner. Cette recherche l’a amené́ à visiter une grande partie de l’Europe ainsi que les États-Unis. La série issue de ses œuvres s’intitule  Requiem po ur pianos  et a fait décoller sa notoriété à l’international. Ces dernières années, il a remporté de grands prix internationaux de photographie dans différents concours. Ses expositions individuelles et collectives ont été vues en Amérique du Nord, en Europe et en Asie. Ses photographies ont été exposées dans des galeries et festivals à New York, San Francisco, St Pétersbourg, Tokyo, Seoul, Paris, Madrid, Tel-Aviv et bien d'autres encore. Les titres de presse les plus prestigieux ont déjà salué ou traité son travail dans leurs pages comme El País, Der Spiegel, The Guardian, Daily Mail, Lonely Planet, Cultura Inquieta, Point de vue, Esquire, Beijing News... et lors de reportages TV à M6 (France), DW (Allemagne), Channel Cuatro (Espagne), TV5 Monde (France) et I24 News (France et Israël).

3 500 EUR