Souvenirs historiques

PRÉSENT CARTIER OFFERT PAR LA REINE ELIZABETH II (1926-2022) - Épingle de cravate en or 9k au chiffre de la Reine Elizabeth II, dans son écrin d’origine de la Maison CARTIER de Londres en maroquin rouge frappé également de son chiffre à l’or. Elle est accompagnée d’un courrier adressé au matelot Claude Sellier pour le remercier du succès et de la sécurité du séjour que Sa Majesté effectua à bord du “Borde Fretigny”, signé par son secrétaire Edward Ford. À Paris, le 11 avril 1957. H. 6,6 cm. Poids brut : 1,25 g.

Faustin BESSON (Dole, 1821-Paris, 1882) - Marie Antoinette au Petit Trianon. Huile sur panneau. Porte une trace de signature en bas à droite en rouge. H. 58 x L. 38,5 cm. Dans un cadre en bois et stuc doré de style rocaille (petits manques). Oeuvres en rapport - Cette composition a été gravée par Eugène-Pontus Jazet (1815-1856) (voir ill. 1) - Une version plus grande de notre composition (H. 91 x L. 68 cm), anonyme, avec des traces de signature en bas à droite, vendue chez Joron-Derem, 28 avril 2023, lot 120 (adjugé 2.730€). - Le Musée des Beaux de Dole conserve une autre version à l’huile sur toile et une esquisse à l’huile sur panneau. Lot présenté avec M. Jean RIDEAU, expert.

SERBIE - Croix de 4e classe (chevalier) de l’ordre de Takovo (institué en 1865), en vermeil et émaux (éclats et manques à l’émail). Sans son ruban. Poids brut : 20,66 g. L. 3,5 cm.

LOUIS XVIII (1755-1824) - Lettres patentes d’anoblissement par le roi Louis XVIII du Capitaine de Vaisseau Jacques Epron-Desjardins (1766-1837), datées du 16 décembre 1815 et accompagnées de l’empreinte du sceau royal en cire verte figurant d’un côté Louis XVIII en tenue de sacre et assis sur le trône, de l’autre ses armes couronnées et surplombant l’ordre du Saint-Esprit, dans sa boîte en étain. La déclaration du Roi stipule que l’officier de Marine pourra “prendre la qualité d’écuyer pour lui et toute sa descendance”, ses armoiries sont décrites comme “d’azur à un mât alésé d’argent, la voile du même chargée de la lettre M de sable et accosté de deux étoiles d’or : l’écu timbré d’un casque taré de profil orné de ses lambrequins”, et sont peintes polychromes en haut à gauche. La déclaration est adressée à la cour royale de Rennes pour faire valoir ce que de droit, et porte les signatures autographes de Louis XVIII “Louis” et deux fois celle du Garde des sceaux de France, François Barbé-Marbois (1745-1837). Feuille en vélin in-plano. Diamètre du sceau : 12,5 cm. Historique Jacques Epron-Desjardins commandait L'Argonaute, navire de ligne de soixante-quatorze canons, lors de la défaite de Trafalgar en 1798, ce qui lui valut le déshonneur aux yeux de Bonaparte. Ayant atteint le grade de Capitaine de vaisseau et ayant été nommé chevalier de la Légion d'Honneur en 1804, il fut encore promu officier et reçut l'ordre de Saint-Louis en 1814. Dès le début de la Restauration, il fut anobli par Louis XVIII, ce 16 décembre 1815. Il finit sa carrière dans la Marine en tant que Contre-amiral, pour enfin servir comme maire de Saint-Servan de 1830 à 1835.

"[Voyage] Jean GIRAUDEAU - L'Italie, la Sicile, Malte, la Grèce, l'Archipel, les îles ioniennes et la Turquie, souvenirs de voyage historiques et anecdotiques Chez l'auteur, Delaunay, Laisné, Bohaire à Paris, 1835 - Superbe exemplaire de ce très rare récit de voyage, en seconde édition à la date de l'originale. Bien complet des 15 planches lithographiées hors-texte dont un portrait dépliant d'Othon roi des Grecs, une planche dépliante représentant le voyage de la duchesse de Berry à bord du Francesco et les deux dernières planches comportant chacune 5 vignettes, en plus des nombreuses vignettes in-texte. Intérieur bien frais dans l'ensemble, rousseurs légères et un peu plus prononcées sur quelques planches. Exemplaire très bien relié en reliure d'époque, plein veau romantique bleu, doubles encadrements de filets dorés sur les plats, dos à 4 nerfs aux caissons richement ornés, filets dorés sur les coupes et tranches marbrées, dentelles dorées aux contreplats. Etiquette du libraire Bossange Père au contreplat. Très légers frottements et petits accrocs en tête et queue du premiers mors sans gravité, très belle condition pour cet ouvrage devenu particulièrement rare, seul récit de voyage du médecin Jean Giraudeau Saint Gervais. In-8, 404pp + 2 planches in fine."

FRANCE - Rare aigle d’or du 1er type (1804-1806) de l’Ordre de la Légion d’honneur, en or (750 millièmes) et émail, revers avec aigle à droite, avec son ruban à bouffette. Bon état, petits manques à l’émail bleu. Époque Premier Empire. Poids brut : 9,7 g. L. 3,5 cm. Ø: 3.5 cm

École française de la seconde moitié du XVIIe siècle, d'après Simon Vouet (Paris 1590-1649). - La Vierge à l'Enfant demandant le sein. Huile sur panneau. Petit soulèvement horizontal au milieu à droite. H. 21 x L. 15 cm. Dans un cadre rapporté en bois doré. Historique Cette vierge délicate fut très certainement réalisée d'après la gravure de Jean Boulanger (Amiens, 1608-1660), éditée en 1661, avec pour modèle un dessin de François Tortebat (Paris, 1616-1690), lequel fut réalisé d'après l'oeuvre peinte de Simon Vouet. L'œuvre peinte était considérée comme perdue jusqu'à sa réapparition en ventes aux enchères, à Stockholm, en 2008 (Bukowski's, 28/05/2008, 89 x 73,5 cm, vendue 3.650.000 couronnes, soit environ 390.000€). Elle est dans le même sens que la gravure et donc que notre tableau. Notre version diffère par l'ajout, en partie supérieure, de ce drap vert formant un dai. La gravure était accompagnée de ce poème : "jure ocule dextraque manu pressa ubera signat / queis lactens veré lac deus est homini" ("En voyant cette main droite se presser contre le sein / et y demander le lait, on voit bien que Dieu s'était fait homme"). Lot présenté par M. Pierre-Antoine MARTENET, expert en Dessins et Tableaux anciens.

FRANCE - Rare aigle d’or du 3e type (1808-1812) de l’Ordre de la Légion d’honneur, en or (750 millièmes) et émail, avec partie de ruban à bouffette. Petits éclats à l’émail. Époque Premier Empire. Poinçon au 1er coq (1798-1809). Poids brut : 23,1 g. L. 4 cm. Ø: 3.9 cm

BAROMÈTRE À l’AIGLE IMPÉRIALE PAR CHEVALLIER, INGÉNIEUR-OPTICIEN DE JÉRÔME BONAPARTE - Rare baromètre en fixé sous verre noir et or sur fond bordeaux, bordé d’une frise de grecques, dans son cadre en bois et stuc doré surmonté par une aigle impériale couronnée retenant un foudre. Petits manques et accidents. Signé en bas dans un cartouche de “CHEVALLIER, ingénieur de S.M. le Roi de Vestphalie (sic), Membre de plusieurs académies, à Paris”. Époque Premier Empire, 1807-1813. H. 100 x L. 62 cm (cadre). Historique Jean Gabriel Augustin CHEVALLIER (1778-1848), dit « l’Ingénieur Chevallier », était ingénieur-opticien, membre de la société royale académique des sciences, opticien de S. M. Jérôme Napoléon, roi de Westphalie (1807-1813), et notamment de S. A. S. le prince de Condé. Son grand-père maternel était François Trochon, opticien réputé à Paris, qui avait établi un magasin dans la tour de l’horloge au 1 place de l’Horloge en 1740, dont Chevallier hérita en 1796. Ses premiers catalogues indiquent la production (ou la vente, du moins) d’une grande variété d’appareils optiques, scientifiques et d’ingénierie. En plus de ses relations scientifiques et politiques, Chevallier utilisa un certain nombre de techniques pour élargir sa clientèle. Très tôt, il monta un très grand thermomètre sur le mur à l’extérieur de sa boutique, qui attira les foules, en particulier par temps très froid ou chaud. Chevallier a également enregistré les conditions climatiques d’un observatoire dans le haut de son bâtiment, et rapporta des observations quotidiennes. Ouvrier habile, il adopte l’honorifique « l’Ingénieur » et signe souvent ses microscopes, télescopes et autres instruments sous le nom de «l’Ingénieur Chevallier». Il reçut de nombreux honneurs de la République, de l’empereur Napoléon et de la royauté subséquente, il est chevalier à la Légion-d’Honneur. Le Nouveau Guide de Paris de Galignani de 1827 le recommandait aux touristes : «Chevallier (le Chevalier), 1, Tour de l’horloge du Palais, face au Marché aux Fleurs, Opticien au Roi et à la Famille Royale, inventeur du « gardien de vue », inventeur des lunettes d’opéra appelées cylindres et lunettes isocentriques pour lire, écrire et voir de loin, pour lesquelles des brevets lui ont été accordés. Il inventa les cadrans solaires pour différentes latitudes, le baromètre mécanique, le Saccharimètre, le Galamètre, etc. (voir ill. 1 le montrant dans son atelier).

ITALIE - SARDAIGNE - Rare médaille de la Valeur Militaire Sarde en argent, gravée au revers “GUERRA CONTRO L'IMPERO D'AUSTRIA” décernée à « CAP(ITA)NO BIANCHI CESARE - 8° REGGTO FANT. - VINZAGLIO · 30 · MAGGIO 1859 ». Ruban rapporté. Circa 1859. H. 9,2 cm. Poids brut : 17,6 g. Historique Cesare Bianchi est bien mentionné en tant que capitaine dans le 8e régiment d’infanterie parmi les récipiendaires italiens de la Valeur Militaire Sarde en argent.

SERBIE - Croix de 4e classe (chevalier) de l’Ordre de la Couronne de Yougoslavie, en argent et émaux, avec son ruban. Dans son écrin d’origine de la maison Huguenin au Locle en Suisse. Bon état. Poids brut : 32,78 g. L. 4,9 cm.

Sébastien LECLERC (Metz, 1637-Paris, 1714), atelier de. - Le mariage de Léopold Ier de Lorraine et d’Elisabeth Charlotte d’Orléans en 1698. Plume et encre noire, lavis gris, gouache blanche. Pliure horizontale et verticale, accroc en bas à droite. 14,3 x 20,6 cm (forme irrégulière). Dans un cadre en pitchpin. Historique Notre dessin illustre les deux époux agenouillés devant l'autel, entourés par le clergé et la Cour. La présence de la croix de Lorraine, ainsi que les trois fleurs de lys que l'on devine sur le tabard armorié d'un garde, ainsi que l'Ordre du Saint-Esprit, visible au cou de plusieurs prélats ne laisse pas de doute sur l'identité des époux. Ce dessin est probablement un projet pour une vignette d'un almanach annuel, comme celui conservé à la BnF, édité par Gérard Jollain, en 1699 (Est. : Rés. Qb-201 (73)-Ft 5. Epr. complète). Il est vraisemblable qu'il s'agisse du premier des deux offices qui unirent les époux : le mariage par procuration, qui eut lieu à Fontainebleau le 13 octobre, et par lequel le duc de Lorraine était représenté par son cousin le duc d'Elboeuf, Charles III de Lorraine-Guise. Le jeune duc Léopold rejoint ensuite Élisabeth-Charlotte à Vitry-le-François et renouvella son mariage à Bar-le-Duc, le 25 octobre. Les mémorialistes s'enthousiasmèrent de faire savoir que le mariage fut consommé la nuit-même. Il sera fécond : 14 enfants virent le jour. Le couple, qui défendit l'indépendance de la Lorraine contre les menées françaises, firent des travaux considérables d'embellissement de leur château de Lunéville. Lot présenté par M. Pierre-Antoine MARTENET, expert en Dessins et Tableaux anciens.

Eugène BELLANGÉ (Rouen, 1837 - Paris, 1895). - Sapeurs d'infanterie se préparant pour la fête de l'Empereur le 15 août 1866 (1891) Huile sur toile, signée et datée en bas à gauche “Eug. Bellangé, 1891”. Manques et légères restaurations anciennes. H. 81 x L. 101 cm. Oeuvre en rapport Une huile sur toile figurant le même campement, intitulée “Le camps de Châlons en 1866”, mesurant (142 xm x 101 cm) est conservée au Musée de l’Armée (Inv : 4999). Historique En 1866, Bellangé a immortalisé les préparatifs de la fête de la Saint-Napoléon, célébrée le 15 août en l'honneur de l'Empereur. L'action se déroule au sein d'un cantonnement d'une unité de sapeurs d’infanterie, reconnaissable à leurs uniformes rouges caractéristiques et à l'insigne des sapeurs ornant leur manche. Cette scène dévoile le caractère presque bucolique du camp de Châlons, présentée comme une vitrine de l'armée impériale et un lieu de célébration plutôt que de manœuvres militaires. Les clichés du "camp de Châlons", confiés aux soins des photographes G. Le Gray et M. Masson par l'Empereur lui-même, sont autant de témoignages de cette atmosphère festive.

Ordre royal et militaire de Saint-Louis. - Empreinte de sceau en cire rouge aux armes de France provenant d'un diplôme de remise de l’Ordre de Saint-Louis. Dans sa boîte en étain. Un éclat. Époque Restauration. D. 5 cm.

Croix de chevalier de l’ordre royal de Georges Ier de Grèce, - à titre civil, en métal avec son ruban pourpre, accompagné de son diplôme de remise officiel au nom du roi Paul Ier au matelot Claude Sellier, à Paris le 5 juin 1956. Dans son écrin d'origine par Spink & Son Ltd, King street, London. H. 6,2 x L. 3,7 cm (croix).

Boîte ronde en poudre de corne pressée, - le couvercle estampé du chiffre du roi Louis XVIII entouré de l’inscription “Boîte Royale de France - Année 1823”, bordé d’une frise de fleurs de lys. Le revers inscrit “Boîte Française - Morel”. Usures et petites égrenures à l’intérieur. Époque Restauration. Par Gabriel-Raoul MOREL (1762-1832), Paris, circa 1823. D. 8,3 cm. Provenance Famille d’Orléans.

Ecole FRANCAISE du XIXème siècle - Cuirassiers et soldats Huile sur toile Signé en bas à droite L Doyen 1891 99,5 x 80,5 cm Restaurations

Hautes-Pyrénées BATSERE (B.) Excursion dans les Hautes-Pyrénées. Souvenirs Historiques, Rêveries. Itinéraire : Tarbes-Bagnères-Barèges-St Sauveur-Cauterets-vallée d'Argelès-Lourdes. Vues et costumes des Pyrénées ; Renseignements indispensables aux Touristes ; Indication des propriétés curatives de chaque source thermale ; Personnel médical ; Tarifs et règlements ; Hôtels, restaurants, cercles, etc. ; Description exacte du tracé de chemin de fer entre la France et l'Espagne par Gavarnie. L'ouvrage est terminé par Une nuit de décembre dans les Pyrénées. 2ème édition. Tarbes, Telmon, 1858. Petit in-8 carré : 146pp. ; 9 planches hors texte gravées sur bois dont 8 de costumes (2 rehaussées en couleurs). Manque de papier en dessous du texte de la dernière page (renfort de papier en restauration). ½ percaline bleu pétrole à la Bradel, pièce de titre rouge sur dos, fer central doré, couverture bleue éditeur conservée. Seconde édition avec un chapitre "Une nuit au mois de décembre dans les Hautes-Pyrénées, méditation" ajouté, qui ne se trouve pas dans l'édition originale (Labarère 99).

Élément fragmentaire de calvaire en albâtre en deux parties Support en bois Travail de la première partie du XVIIe H. 14 cm - L. 6,5 cm (accidents, manques et restauration)

Porte-lettres en cuir rouge du lieutenant Le Boullenger (1740-?), - frappé en lettres d’or “Ls Le Boullenger”, fermoir en acier, intérieur à double compartiment. Fin du XVIIIe siècle. H. 13 x L. 21,5 cm (fermé). ON Y JOINT 3 documents d’époque révolutionnaire attestant que la citoyenne Marguerite Françoise, ne figure pas sur les listes d’Emigrés datés entre 1791 et 1793.

MEILLON (Alphonse Auguste) Recueil factice contenant 3 publications d'Alphonse MEILLON : * Triangulation Géodésique complémentaire de la Région de Cauterets (Hautes-Pyrénées). Tableau des Coordonnées Géographiques et des Altitudes des Points Trigonométriques, Carte Schéma et Panorama de la Région. IIIe partie. Préface de Henri VALLOT. Cauterets, Cazaux, 1920 - ** Avec Étienne de LARMINAT : Notice sur la carte au 1/20.000ème du massif du Vignemale. Régions sud de Cauterets, ouest et nord-ouest de Gavarnie. Pau, Garet-Haristoy, 1928. - *** Avec Étienne de LARMINAT : Notice sur la Carte au 20 000ème avec l'Explication des Noms de Lieux et de Montagnes de la Région de Cauterets. Pau, Marrimpouey, 1933. 3 ouvrages en un volume grand in-8 : * 28pp., 1f. ; une carte et 2 panoramas photos dépliants hors texte, illustrations photographiques in texte - ** 84 pp., 2f., impression sur papier glacé, illustrations photographiques in texte - *** 80pp., illustrations photographiques in texte. ½ basane verte, pièces de titre et d'auteur rouges sur dos à nerfs. Réunion de 3 publications : * Troisième partie seule des " Excursions Topographiques dans la Vallée de Cauterets". Les titres et le format (du dernier) étant différents, on ne s'étonnera pas de ne jamais les voir réunis. Les deux premières parties sont intitulées :"Exposé Chronologique des Opérations, Notes Géologiques. Souvenirs Historiques, etc. 1ère partie Préface de F. SCHRADER - Triangulation Géodésique complémentaire de la Région de Cauterets (Hautes-Pyrénées)" et "Panoramas extraits des Tours d'Horizon photographique des principales stations - 2ème partie", qui comporte uniquement 20 planches photo recto verso. Il n'existe pas d'autre édition de cette série (Labarère 1030-1032) - ** Cette Notice contient une étude de la photographie aérienne appliquée à la topographie en montagne, et une importante étude toponymique de MEILLON concernant les vallées d'Ossoue, d'Aspé, et du rio Ara. Notice devant être complétée par la carte des mêmes Meillon et Larminat. *** Cette notice illustre la "Carte des Environs de Cauterets, Hautes Pyrénées, Vallée de Lutour, de Yérét, de Gaube, du Marcadau et du Camp Basque" publiée par MEILLON en 1933. Avec MEILLON se termine une épopée pyrénéenne : la période scientifique qui débuta dans les années 1860. Avec les nouveaux moyens techniques, notamment l'aviation, l'ère des pionniers s'achève.

un lot de 8 médailles diverses en bronze - Croix de Lorraine, Débarquement et Général de Gaulle - TTB

Pipe en écume de mer montée en or 9k - à décor gravé de rinceaux végétaux et du monogramme BWB. Fin du XIXe siècle. L. 16 cm. Poids brut : 60,97 g.

un lot : Compagnie Générale Transatlantique - deux médailles en bronze - TTB