Null Constantin ANDREOU (São Paulo, 1917- Athènes, 2007)
Pendentif rond, en méta…
Description

Constantin ANDREOU (São Paulo, 1917- Athènes, 2007) Pendentif rond, en métal doré, non signé D. 5,7 cm (Dépôt brun ou usure) On joint une chaîne en plaqué or Né en 1917 à São Paulo, Constantin Andreou passe les premières années de sa vie au Brésil, avant de rejoindre Athènes avec sa famille à l’âge de 8 ans. C’est en 1942 avec le Portrait de mon frère (1935), une tête en marbre exposée au Salon Panhellénique d’Athènes qu’il connaît la notoriété et obtient une bourse du gouvernement français. Arrivé à Paris en 1945, alors qu’il travaillait auparavant uniquement la pierre et le marbre, Andréou développe son expérience de métallurgiste, et met au point une technique de laiton soudé. L’ensemble d’œuvres - sculptures, peintures, dessins, lithographies, bijoux - présenté aujourd’hui est le témoignage de près de 40 ans d’amitié entre l’artiste et ses collectionneurs. Andréou a eu l’occasion de réaliser plusieurs bagues, colliers, et boucles de ceinture pour celle qu’il appelait sa « sœur » et qui s’habillait chez les couturiers parisiens, en particulier Yves Saint-Laurent.

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Constantin ANDREOU (São Paulo, 1917- Athènes, 2007) Pendentif rond, en métal doré, non signé D. 5,7 cm (Dépôt brun ou usure) On joint une chaîne en plaqué or Né en 1917 à São Paulo, Constantin Andreou passe les premières années de sa vie au Brésil, avant de rejoindre Athènes avec sa famille à l’âge de 8 ans. C’est en 1942 avec le Portrait de mon frère (1935), une tête en marbre exposée au Salon Panhellénique d’Athènes qu’il connaît la notoriété et obtient une bourse du gouvernement français. Arrivé à Paris en 1945, alors qu’il travaillait auparavant uniquement la pierre et le marbre, Andréou développe son expérience de métallurgiste, et met au point une technique de laiton soudé. L’ensemble d’œuvres - sculptures, peintures, dessins, lithographies, bijoux - présenté aujourd’hui est le témoignage de près de 40 ans d’amitié entre l’artiste et ses collectionneurs. Andréou a eu l’occasion de réaliser plusieurs bagues, colliers, et boucles de ceinture pour celle qu’il appelait sa « sœur » et qui s’habillait chez les couturiers parisiens, en particulier Yves Saint-Laurent.

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